- ENTREE de SECOURS -



mardi 16 janvier 2018

L’enfumage des énergies renouvelables « pas chères »

Les énergies renouvelables (à l’exception de l’hydraulique) servent de « pompes à fric » pour quelques intérêts particuliers et créent une bulle financière en profitant de promesses politiques inconsidérées.

Par Michel Gay
16 JANVIER 2018.

La France est un des rares pays industriels qui dépend peu du gaz et du charbon pour sa production d’électricité grâce principalement à son parc de 19 centrales nucléaires contenant 58 réacteurs. C’est aussi l’un de ceux où le prix de l’électricité est le plus bas, et l’air le moins pollué.

Faudrait-il se passer de ce remarquable atout au profit d’énergies renouvelables vantées comme « compétitives » dans certains médias ?

MAINTENIR L’ÉQUILIBRE DU RÉSEAU D’ÉLECTRICITÉ A UN COÛT

Pour maintenir un réseau électrique en permanence à l’équilibre entre la consommation et la production, il faut disposer en permanence de moyens pilotables pouvant réagir instantanément. C’est tout l’art des techniciens en charge du réseau de veiller à cette stabilité. Mais il y a des limites.

La plupart des énergies renouvelables, notamment les éoliennes et les panneaux photovoltaïques sont fatales et intermittentes. Leurs variations aléatoires ne sont pas contrôlées. Tout va bien tant que leur contribution à la puissance totale fournie est faible (moins de 20 %).

Lorsqu’une situation anticyclonique s’installe sur l’Europe, le vent peut manquer sur tout le continent, et il n’y a pas de soleil la nuit ni les jours nuageux, notamment en hiver.

Cette situation (qui devrait crever les yeux de tous) n’empêche cependant pas les adorateurs de l’éolien et du photovoltaïque de déclarer régulièrement que « ces deux énergies seront globalement moins chères que les énergies fossiles (fuel, gaz, charbon) ».

C’est non seulement faux mais c’est du bourrage de crâne auquel se prêtent certains journalistes alimentés par le Syndicat des énergies renouvelables.

Cette affirmation ne tient pas compte des diverses subventions publiques en amont (appelées « soutien »), ni du coût de l’intermittence supporté par le reste des productions et par les contribuables, mais pas par ces énergies renouvelables.

Sinon on se demande bien pourquoi la taxe CSPE qui figure sur toutes les factures d’électricité va coûter 8 milliards d’euros en 2018 principalement pour les subventionner. Soit elles sont rentables et c’est un scandale de les subventionner, soit elles ne le sont pas et c’est un mensonge de le proclamer.

Il faudrait aussi que les propriétaires des terrains sur lesquels sont érigées des éoliennes se préoccupent du coût réel de leur démantèlement dans quelques années…

LE MAGNIFIQUE CONTRE-EXEMPLE DE L’ALLEMAGNE

L’Allemagne, avec sa folie verte, et l’Europe toute entière prennent un risque fou avec le développement ruineux de ces énergies éoliennes et photovoltaïques intermittentes. Pour la contrôler, il est indispensable de construire des centrales thermiques (fuel, gaz ou charbon) d’une puissance comparable à celle cumulée des éoliennes et du photovoltaïque.

Sinon ce serait le black-out, c’est-à-dire la panne générale qui pourrait s’étendre à toute l’Europe. Les politiques et les journalistes se gardent bien de le dire et de comptabiliser ce surcoût dans le coût de production de ces énergies renouvelables.

En réalité, développer les énergies renouvelables et réduire la part du nucléaire, c’est augmenter la proportion d’énergie d’origine fossile, notamment le gaz, dans le « mix » énergétique.

À l’inverse, il est parfois nécessaire d’évacuer la surproduction éolienne pour maintenir l’équilibre du réseau.

L’Allemagne prévoit de construire des lignes à haute tension pour évacuer la production électrique du nord (où se situent les éoliennes) au sud du pays (où la consommation est la plus forte) pour un coût estimé à 60 milliards d’euros. Le prix de son électricité et déjà deux fois plus élevé qu’en France pour les particuliers.

En France, le gestionnaire du réseau d’électricité (RTE) a chiffré en novembre 2012 le coût de renforcement du réseau entre 30 et 50 milliards d’euros.

Qui a pensé à ajouter ce surcoût des « bouffées de production » (lorsqu’il y a du vent) imputable aux énergies renouvelables ?

LISSER L’INTERMITTENCE GRÂCE AU STOCKAGE ?

Le problème de la puissance intermittente est très contraignant parce que l’énergie électrique ne se stocke pas, sauf de façon limitée et sans rapport avec les besoins d’un pays. Et le problème central du stockage massif et bon marché de l’électricité ne sera peut-être jamais résolu.

Et s’il était résolu, son surcoût astronomique n’est jamais ajouté aux coûts des énergies à la production aléatoire et intermittente. Il faudrait commencer par là avant de développer ces sources d’énergies fluctuantes non corrélées avec le besoin.

Personne n’a le courage de présenter la réalité : soit les combustibles fossiles constitueront la solution principale, soit ce sera le nucléaire.

Nos voisins Allemands ont clairement fait le choix des énergies fossiles. Ils consomment de grandes quantités de charbon (y compris américain) et de gaz russe qui représentent aujourd’hui 60% de leur production.

Les énergies renouvelables (à l’exception de l’hydraulique) servent de « pompes à fric » pour quelques intérêts particuliers et créent une bulle financière en profitant de promesses politiques inconsidérées.

Cette prétendue transition énergétique vers les énergies renouvelables n’est qu’un immense enfumage prétendument pas cher et inéluctable (?) monté au profit d’alliances politiques avec des partis verts pour faire tenir des montages électoraux.

44 commentaires:

  1. «Un Big Brother effrayant»: les employés de Twitter payés pour lire des messages privés

    10:48 16.01.2018

    Les messages privés envoyés sur Twitter ne sont pas tout à fait privés. Selon une spécialiste de la sécurité réseau du site, les employés de Twitter sont payés pour scruter la correspondance des utilisateurs.

    Les employés de Twitter reçoivent un salaire pour surveiller les messages privés des utilisateurs, informe l'organisation Project Veritas qui a mené une investigation concernant le respect du secret de la correspondance par ce réseau social.

    Twitter explique pourquoi il ne bloquera pas les profils de responsables politiques

    Un ingénieur réseau de Twitter, Clay Haynes, a dévoilé dans une conversation filmée par une caméra cachée que Twitter avait des codes spéciaux pour accéder à tous les messages privés de ses utilisateurs.

    «C'est un Big Brother effrayant», a-t-il déclaré lors d'une conversation secrète avec les représentants de Project Veritas.

    Selon lui, environ 300 à 400 employés de Twitter sont payés pour scruter les messages et les tweets des utilisateurs afin de créer leurs «profils virtuels» ultérieurement vendus aux agences de publicité.

    Une ancienne employée du réseau social, Conrado Miranda, a déclaré que la société possédait également les données des personnes n'ayant pas de pages Twitter.

    Auparavant, Project Veritas avaient révélé que Twitter pouvait censurer les publications présentant un contenu politique «qu'ils n'aimaient pas».

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201801161034761529-twitter-message-prives-surveillance/

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  2. Attendez-vous encore moins à la liberté d'Internet en 2018

    Par Philip Giraldi
    Culture stratégique
    16 janvier 2018

    Les utilisateurs des médias sociaux ont de plus en plus signalé que leurs comptes ont été censurés, bloqués ou suspendus au cours de l'année écoulée. Initialement, certains croyaient que les incidents pouvaient être de nature technique, avec des serveurs surchargés luttant pour suivre le nombre grandissant de comptes, mais il est finalement apparu que l'ingérence était délibérée et ciblait les individus et les groupes impliqués dans les affaires politiques. ou des activités sociales considérées comme controversées.

    À la fin de l'année dernière, un certain nombre de comptes russes sur Facebook et ailleurs ont été suspendus suite aux allégations selon lesquelles les médias sociaux avaient été utilisés pour répandre de prétendues fausses nouvelles susceptibles d'avoir affecté matériellement l'élection présidentielle de 2016 aux États-Unis. Même s'il s'est avéré impossible de démontrer que les efforts relativement inoffensifs de la Russie ont eu un impact sur l'énorme investissement publicitaire et de propagande des deux principaux partis, les médias sociaux ont rapidement réagi à la publicité négative.

    Aujourd'hui, on apprend que les principaux fournisseurs de médias sociaux et de services Internet ont, au cours de l'année écoulée, rencontré secrètement les gouvernements des États-Unis et d'Israël pour retirer du contenu et interdire les titulaires de comptes sur leurs sites. Les États-Unis et Israël n'ont pas légalement le droit de dire aux entreprises privées quoi faire, mais il est clairement entendu que les deux gouvernements peuvent rendre les choses très difficiles pour les fournisseurs de services qui ne respectent pas les règles. Israël a menacé de limiter l'accès à des sites tels que Facebook ou de l'interdire complètement tandis que le département de la Justice des États-Unis peut utiliser une législation terroriste, même si elle n'est pas plausible, pour forcer la conformité. Washington a récemment forcé Facebook à annuler le compte du dirigeant de la République tchétchène Ramzan Kadyrov, un loyaliste de Poutine que la Maison Blanche a récemment "sanctionné".

    Il n'est pas étonnant qu'Israël soit le plus actif dans ses patrouilles sur Internet, car il tient à ne pas montrer de sympathie matérielle à la cause palestinienne ou à critiquer le traitement israélien des Arabes. Ses services de sécurité analysent les histoires en cours et s'adressent aux fournisseurs de services pour demander que le matériel soit supprimé ou bloqué en raison de la proposition douteuse que cela constitue une «incitation» à la violence. Facebook aurait collaboré 95 % du temps pour supprimer du matériel ou fermer des comptes. Les groupes palestiniens, qui utilisent les réseaux sociaux sur Internet pour communiquer, ont été particulièrement touchés, avec la suppression des comptes des dix principaux administrateurs en 2017. Les comptes israéliens, y compris ceux qui menacent de tuer des Arabes, ne sont pas censurés.

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  3. Microsoft, Google, YouTube, Twitter et Facebook sont également sous pression pour coopérer avec des groupes privés pro-israéliens aux Etats-Unis, y compris la puissante Anti-Defamation League (ADL). L'ADL cherche à «inventer de nouvelles solutions pour arrêter le cyberhate» en bloquant le «langage haineux», qui inclut toute critique d'Israël qui pourrait même être invraisemblablement interprétée comme de l'antisémitisme. L'extension des restrictions à ce qui est défini comme un «discours de haine» deviendra sans doute une pratique courante dans les médias sociaux et, plus généralement, sur Internet en 2018.

    Internet, largement considéré comme une autoroute où tout le monde pouvait communiquer et partager librement ses idées, est en réalité une route à péage de plus en plus gérée par un groupe de très grandes entreprises qui, agissant à l'unisson, contrôlent ce qui est vu et non vu. Les moteurs de recherche sont déjà configurés pour donner la priorité aux informations provenant des «sponsors» payants, qui apparaissent souvent mais qui n'ont souvent rien à voir avec le matériel le plus pertinent. Et le rôle des gouvernements intrusifs dans la dictée à Facebook et à d'autres sites qui seront entendus et qui seront réduits au silence devrait également être troublant, car cela signifie que l'information qui bénéficierait au public pourrait ne jamais être vue, particulièrement si elle est embarrassante . Et en parlant d'intérêts puissants, des groupes comme l'ADL avec des agendas partisans seront sans doute capables de dicter des normes de comportement aux fournisseurs de services, conduisant à encore plus de perte de contenu et de pertinence pour ceux qui cherchent des informations.

    Tout compte fait, l'année 2018 sera difficile pour ceux qui luttent pour maintenir Internet comme source d'information relativement libre. Les gouvernements et les groupes d'intérêt ont vu la menace que représente cette liberté et y réagissent. Ils feront de leur mieux pour le contrôler.

    https://www.lewrockwell.com/2018/01/phil-giraldi/expect-even-less-freedom-of-internet-in-2018-2/

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  4. Les purificateurs géants, la solution contre la pollution de l’air en Chine ?

    Gauvain Dossantos
    16 janvier 2018


    Pour lutter contre la pollution de l’air, la Chine a construit le plus grand purificateur d’air au monde. Il se trouve à Xian et les résultats sont pour l’instant satisfaisants.

    La pollution de l’air en Chine est un problème si grave qu’il arrive fréquemment que des alertes soient lancées pour prévenir les habitants de sortir avec un masque. La raison ? Éviter de respirer un air trop chargé en particules fines dont l’inhalation peut entraîner des maladies cardiovasculaire. Parmi les solutions trouvées pour lutter contre ce fléau, il y a les purificateurs d’air.

    Et le plus grand d’entre eux a été construit à Xian, une ville du nord de la Chine. La tour fait 100 mètres de haut et, selon l’Institut de l’environnement terrestre à l’Académie chinoise des sciences en charge du projet, son action est positive. Une amélioration de l’air a été observée sur une superficie de 10 kilomètres carrés autour du bâtiment et celui-ci aurait produit plus de 10 millions de mètres cubes d’air pur par jour depuis son lancement en 2016.

    article photo
    Résultats assez encourageants
    Le système fonctionne grâce à des serres disposée autour de la base de la tour dont la taille fait la moitié d’un terrain de football. L’air pollué est aspiré dans les serres et se retrouve chauffé par l’énergie solaire. L’air chaud monte ensuite à travers la tour et traverse plusieurs couches de filtres nettoyants. “La tour n’a pas d’équivalent en termes de taille … les résultats sont assez encourageants”, explique Cao Junji, le directeur du projet, au South China Morning Post.

    Xian connaît des pics de pollution élevés en hiver notamment parce qu’une grande partie de la ville se chauffe encore au charbon. Selon les gestionnaires de la tour, le système fonctionne bien malgré le froid car les revêtements sur les serres sont étudiés afin d’absorber le rayonnement solaire. Les techniciens auraient ainsi enregistré une baisse de 15% de la pollution dans les 10 kilomètres carrés autour de la tour.

    Bien sûr, on pourrait avancer que la meilleure solution pour réduire la pollution serait d’arrêter d’en produire mais en attendant, ce système a l’air d’être une excellente alternative.

    https://fr.express.live/2018/01/16/purificateurs-geants-solution-contre-pollution-de-lair-chine/

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    1. CE NE SONT PAS LES CHEMINÉES OU POTS D'ÉCHAPPEMENT qui sont en cause !!! mais seulement la construction anarchique de bâtiments qui EMPÊCHENT le vent de nettoyer les villes. Car, TOUS les gaz se recyclent tout seuls, perpétuellement et gratuitement depuis toujours !

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  5. Les gaz à effet de serre sont un produit de la civilisation pour des milliers d'années


    Par Martin Armstrong
    Armstrong Economics
    16 janvier 2018


    QUESTION: Croyez-vous que nous entrons dans une période glaciaire ?

    RÉPONSE: Non. Au mieux, nous revenons à un mini-âge glaciaire et nous nous arrêtons avec espoir. Certains prétendent qu'un déclin de l'activité solaire, qu'ils ne peuvent pas nier, ne suffira pas à compenser le réchauffement climatique créé par l'homme. Il y a tellement de choses qui ne vont pas dans les théories du réchauffement climatique qu'il est même difficile de savoir par où commencer. Bien avant la révolution industrielle, on supposait que l'atmosphère de notre planète n'était pas encore polluée par les polluants d'origine humaine, car elle était en quelque sorte immaculée. Cette hypothèse est complètement fausse, mais personne ne veut la contester car s'il y a eu des périodes de pollution humaine auparavant, alors peut-être que leur théorie selon laquelle cela détruira la planète et que nous brûlerons, comme le disait Christine Legard, est absurde.

    Il suffit de lire les récits contemporains de la Rome antique. Les résidents de la Rome antique ont souffert de la pollution qui était principalement causée par la combustion du bois pour cuisiner et rester au chaud plutôt que des combustibles fossiles. Il y avait un grand nuage de fumée qu'ils ont écrit à propos de gravioriscaeli ("ciel lourd"). D'autres l'appelaient infamis aer («air infâme»). Les plaintes concernant cet infamis aer et ses effets peuvent être trouvées dans les écrits classiques. "A peine avais-je laissé derrière moi l'atmosphère oppressante de la ville [Rome] et cette puanteur des fumoirs qui répandent, avec des nuages ??de cendres, toutes les fumées empoisonnées qu'ils ont accumulées dans leurs intérieurs à chaque démarrage, «J'ai remarqué le changement de mon état», écrivait en 61 ap. J.-C. Sénèque le Jeune (vers 4 av. J.-C. - 65 ap. J.-C.) le philosophe, homme d'État et conseiller de l'empereur Néron qui lui ordonna de se suicider.

    En outre, il y avait des poursuites judiciaires sur la pollution de l'air dans la Rome antique. Les tribunaux romains ont entendu des plaintes civiles concernant la pollution par la fumée. Le juriste romain Titus Aristo, qui était également membre du conseil de l'empereur Trajan, était un auteur d'annotations aux travaux de certains juristes de la période augustéenne. Il a déclaré qu'un magasin de fromage ne pouvait pas rejeter de la fumée dans les bâtiments au-dessus. La pollution était devenue si mauvaise que l'Empire de l'Est à Constantinople a même promulgué le premier Clean Air Act connu. En 535, l'empereur Justinien a proclamé l'importance de l'air pur comme droit de naissance. "Par la loi de la nature, ces choses sont communes à l'humanité: l'air, l'eau courante, la mer."

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  6. Une autre preuve qui réfute la foule du réchauffement climatique est la découverte de bulles piégées dans la glace du Groenland qui ont révélé que les humains ont commencé à émettre des gaz à effet de serre il y a au moins 2000 ans. Célia Sapart de l'Université d'Utrecht aux Pays-Bas a dirigé une équipe de scientifiques d'Europe et des États-Unis dans une étude qui a permis de cartographier la signature chimique du méthane dans des échantillons de glace couvrant 2 100 ans. Le méthane est naturellement présent dans l'atmosphère, mais il est considéré comme un site d'enfouissement de gaz à effet de serre, un élevage de bétail à grande échelle, des fuites de gazoduc et des incendies de défrichement.

    Célia Sapart a utilisé un échantillon de carotte de glace de 1 600 pieds de longueur, extrait de la calotte glaciaire du Groenland, d'une épaisseur de 1,5 mille, représentant 115 000 ans d'histoire. L'équipe a analysé chimiquement le méthane dans des bulles d'air microscopiques piégées dans chaque couche de glace. Ils ont cherché à prouver que le réchauffement climatique est une conséquence moderne de l'activité humaine. Ils ont supposé qu'ils seraient en mesure de prouver que le climat plus chaud depuis les années 1700 a été causé par une augmentation des niveaux de méthane.

    Le trouvé qu'en effet les concentrations de méthane ont augmenté. Ce qu'ils ont prouvé, c'est que l'augmentation du méthane n'était pas corrélée avec les périodes chaudes. Ce qu'ils ont fini par prouver, c'est le simple fait que la théorie du méthane à effet de serre n'était pas la cause et que l'augmentation de la température devait avoir été causée par autre chose. La focalisation puis le changement et le «quelque chose d'autre» étaient encore attribués à l'activité humaine, bien sûr, mais on a dit que cela était dû à la métallurgie et à l'agriculture à grande échelle commençant vers 100 av.

    En effet, les anciens Romains ont gardé le bétail domestiqué et leur passage du gaz dans le gaz méthane, un sous-produit de la digestion et en Chine les champs de riz comprennent une bactérie produisant du méthane. Le méthane est donc une partie naturelle de la planète et l'hypothèse selon laquelle nous devrions tous nous suicider pour sauver la planète est vraiment folle. L'équipe s'est donc tournée vers les forgerons qui produisaient du gaz méthane lorsqu'ils brûlaient du bois pour fabriquer des outils ou des armes en métal. Ils ont noté dans les échantillons de carottes de glace que les civilisations se sont effondrées suite à la chute de l'Empire romain, alors que les émissions de méthane diminuaient modérément. Ils ont conclu qu'entre 100 avant JC et 1600, les émissions de méthane augmentaient de près de 31 millions de tonnes par an. Ils soutiennent que les États-Unis produisent à eux seuls quelque 36 millions de tonnes de méthane par an.

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  7. Célia Sapart a utilisé un échantillon de carotte de glace de 1 600 pieds de longueur, extrait de la calotte glaciaire du Groenland, d'une épaisseur de 1,5 mille, représentant 115 000 ans d'histoire. L'équipe a analysé chimiquement le méthane dans des bulles d'air microscopiques piégées dans chaque couche de glace. Ils ont cherché à prouver que le réchauffement climatique est une conséquence moderne de l'activité humaine. Ils ont supposé qu'ils seraient en mesure de prouver que le climat plus chaud depuis les années 1700 a été causé par une augmentation des niveaux de méthane.

    Le trouvé qu'en effet les concentrations de méthane ont augmenté. Ce qu'ils ont prouvé, c'est que l'augmentation du méthane n'était pas corrélée avec les périodes chaudes. Ce qu'ils ont fini par prouver, c'est le simple fait que la théorie du méthane à effet de serre n'était pas la cause et que l'augmentation de la température devait avoir été causée par autre chose. La focalisation puis le changement et le «quelque chose d'autre» étaient encore attribués à l'activité humaine, bien sûr, mais on a dit que cela était dû à la métallurgie et à l'agriculture à grande échelle commençant vers 100 av.

    En effet, les anciens Romains ont gardé le bétail domestiqué et leur passage du gaz dans le gaz méthane, un sous-produit de la digestion et en Chine les champs de riz comprennent une bactérie produisant du méthane. Le méthane est donc une partie naturelle de la planète et l'hypothèse selon laquelle nous devrions tous nous suicider pour sauver la planète est vraiment folle. L'équipe s'est donc tournée vers les forgerons qui produisaient du gaz méthane lorsqu'ils brûlaient du bois pour fabriquer des outils ou des armes en métal. Ils ont noté dans les échantillons de carottes de glace que les civilisations se sont effondrées suite à la chute de l'Empire romain, alors que les émissions de méthane diminuaient modérément. Ils ont conclu qu'entre 100 avant JC et 1600, les émissions de méthane augmentaient de près de 31 millions de tonnes par an. . Ils soutiennent que les États-Unis produisent à eux seuls quelque 36 millions de tonnes de méthane par an.

    Célia Sapart a dû admettre que de telles émissions de méthane ne suffisaient absolument pas à altérer le climat. La conclusion était que les humains modifiaient l'atmosphère à l'échelle mondiale dans les temps anciens. L'étude a prouvé que l'hypothèse selon laquelle il n'y a eu qu'une invention moderne que l'activité humaine a produit du gaz méthane et que le monde était vierge avant 1800 n'est qu'un fantasme. L'âge de glace et les périodes de réchauffement ont existé bien avant la civilisation humaine où ils ont commencé à brûler du bois pour rester au chaud. Tout ce qu'ils ont pu accomplir, c'est prouver que les gaz à effet de serre ont été produits pendant des milliers d'années. Si quoi que ce soit, cette étude montre que la fin n'est pas nécessairement proche du gaz à effet de serre.


    Reprinted with permission from Armstrong Economics.

    https://www.lewrockwell.com/2018/01/martin-armstrong/greenhouses-gases-are-a-product-of-civilization-for-thousands-of-years/

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    1. Primo, il n'y AUCUN GAZ à 'effet de serre' car, nous sommes à l'extérieur. Seule, la plus grande chape est constituée de vapeur d'eau et appelée nuages. D'où l'effet de rétention quasiment nul si on constate seulement que lorsque le ciel est couvert il fait meilleur dehors. Pourquoi cette 'chaleur' ? Parce que la chaleur monte, s'échappe et disparait en altitude où le froid l'envahit.

      En réalité, notre Terre est une planète froide. Seulement réchauffée temporairement par le soleil et perpétuellement par les sources chaudes sous-marines et sous-océaniques.

      Secundo, le gaz méthane est émis par seulement 7 milliards d'humains et quelques millions de milliards d'animaux qui nous entourent ! Eh oui, les animaux, de l'éléphant au moustique: tous pètent ! TOUS ! Et, malgré que les animaux soient des millions (ou des milliards ?) de fois plus nombreux que nous sur Terre et qu'ils y soient depuis toujours... l'homme est apparut (Çà alors !) et a survécu !! Çà alors !

      Car, TOUS LES GAZ SE RECYCLENT DEPUIS TOUJOURS ! TOUS !

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  8. La production mondiale de blé vers un nouveau record

    La production de blé russe pour l’année 2017-2018 a été révisée à la hausse vendredi par le ministère américain de l’Agriculture (USDA), qui table donc sur un nouveau record mondial de volume d’épis, dans son rapport mensuel de janvier. Les stocks mondiaux de maïs sont également en hausse, alors que ceux du soja sont stables.

    Désormais évaluée à 85 millions de tonnes (+2 Mt), la récolte russe de blé, déjà à un niveau record et qui pèse depuis des mois sur les prix mondiaux, fait grimper la production de la planète, désormais estimée à 757 Mt (+1,8 Mt).
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    Accélération des prix alimentaires en 2017

    12.01.18

    En 2017, les prix des produits alimentaires croissent plus rapidement qu’en 2016 (+1,0 % après +0,6 %), a indiqué vendredi l’Insee.

    Les prix des produits alimentaires hors produits frais accélèrent nettement (+0,6 % après +0,1 % en 2016), du fait du renchérissement des prix de la viande (+1,1 % après +0,4 %) et des huiles et graisses (+2,8 % après +0,6 %) en lien avec le prix du beurre.

    De plus, les prix du lait, fromage et œufs (+0,2 % après -1,0 %), du pain et céréales (+0,3 % après –0,1 %) et des boissons non alcoolisées (+0,6 % après -0,6 %) rebondissent. En ralentissant (+3,3 % après +3,7 %), les prix des produits frais contribuent moins qu’en 2016 à la hausse d’ensemble des prix alimentaires.

    En moyenne annuelle, les prix à la consommation accélèrent de nouveau en 2017. L’inflation s’établit ainsi à +1 % après +0,2 % en 2016 et 0 % en 2015. Elle atteint ainsi un niveau supérieur à celui de 2013.

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  9. UNE CRISE DE L'EAU AMÉRICAINE SE TROUVE AUTOUR DU COIN ET PERSONNE NE L'OCCUPE.


    15 JANVIER 2018
    BRANDON TURBEVILLE


    Quiconque fait attention à leurs nouvelles locales a vu les signes d'une apocalypse à venir aux États-Unis, bien qu'ils n'en soient probablement pas conscients. Alors que beaucoup assimilent une crise de l'eau à l'absorption de ressources par les intérêts des grandes entreprises ou à un moment déstabilisé de la pollution de l'industrie locale, il y a une autre crise de l'eau qui menace l'Amérique. Ce n'est pas seulement le Coca-Cola et les droits de propriété, c'est l'incapacité des municipalités, des États et du gouvernement fédéral de s'assurer que l'eau potable est réellement potable.

    Au cours des dernières années, un certain nombre d'incidents notables ont mis en évidence l'effondrement de l'infrastructure des États-Unis et le niveau de vie plus bas que les Américains sont forcés d'accepter. Flint, Michigan est l'exemple le plus notable et reconnaissable de la pollution de l'eau dans la mémoire récente. Cette crise est toujours en cours et, alors que les États-Unis ont beaucoup d'argent pour Israël, l'aide étrangère et les guerres étrangères, elle ne trouve rien dans sa ceinture de dépenses déjà serrée pour aider les habitants de Flint à avoir accès à l'eau potable. À ce stade, le gouvernement fédéral américain fait plus pour aider les Africains que pour aider les Afro-Américains. Malheureusement pour Flint, l'État et les gouvernements locaux sont la raison de la crise en premier lieu.

    Pendant deux ans, les produits chimiques industriels et le plomb ont empoisonné l'approvisionnement en eau de Flint et personne n'a rien fait jusqu'à ce qu'une femme ait dénoncé. Si ce n'était pas pour elle, Flint continuerait à boire du plomb et d'autres polluants sans le savoir. Maintenant, malgré le tollé, ils savent ce qu'ils boivent mais, malheureusement, rien d'autre n'a changé.

    Aussi mauvais que cela ait été pour les gens de Flint, la plupart des Américains se consolent que l'eau contaminée n'est pas dans leur région mais plutôt dans un endroit notoirement troublé situé dans un état notoirement troublé. Mais c'est loin de la vérité. Le fait est que l'eau est polluée avec divers contaminants partout dans le pays et, dans certains endroits, même pire que Flint. En fait, Reuters a publié un rapport démontrant que près de 3 000 sites avaient des niveaux de plomb supérieurs à Flint.

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  10. Comme l'a rapporté Reuters,

    Les endroits empoisonnés sur cette carte s'étendent de Warren, en Pennsylvanie, une ville sur la rivière Allegheny où 36% des enfants testés avaient des niveaux élevés de plomb, à un code postal à Goat Island, Texas, où un quart des tests ont montré un empoisonnement. Dans certaines zones de Baltimore, Cleveland et Philadelphie, où l'empoisonnement au plomb a duré plusieurs générations, le taux de tests élevés au cours de la dernière décennie était de 40 à 50%.

    Comme Flint, beaucoup de ces localités sont en proie à l'ancien plomb: peinture en ruine, plomberie ou déchets industriels laissés derrière. Contrairement à Flint, beaucoup ont reçu peu d'attention ou de financement pour combattre l'empoisonnement.

    Pour identifier ces endroits, Reuters a examiné les résultats des tests sanguins au niveau du quartier, dont la plupart n'ont pas été divulgués auparavant. Les données, obtenues auprès des services de santé de l'État et des centres américains de contrôle et de prévention des maladies, permettent de suivre les taux d'intoxication chez les enfants testés dans chaque localité.

    L'eau potable contaminée a provoqué l'empoisonnement par le plomb de près de 2,5 % des enfants aux États-Unis.

    Et ce n'est que du plomb. Il ne tient pas compte des autres produits chimiques toxiques (industriels ou autres) qui se sont infiltrés dans les systèmes d'eau provenant de l'industrie, de l'élimination dangereuse, des installations et des pratiques de traitement médiocres ou de l'agriculture. Ensuite, il y a les causes plus obscures de l'approvisionnement en eau contaminée. Par exemple, il a récemment été découvert que Colorado Springs avait de l'eau contaminée en raison des retardateurs de flamme utilisés par les militaires sur la base locale.

    Il ne tient pas compte non plus des bactéries dangereuses trouvées dans les approvisionnements d'eau en raison de la pollution et du traitement inadéquat. Toledo, dans l'Ohio, a récemment connu une grave crise de l'eau à la suite d'une infusion de bactéries qui coûtait cher à la ville et de nombreux résidents cherchaient désespérément de l'eau embouteillée à boire.

    Ici, dans les régions rurales du sud, les villes et les petites villes émettent constamment des «avis d'ébullition de l'eau» pour les résidents en raison de diverses contaminations.

    La fracturation a également transformé de nombreuses sources d'eau à domicile en feux d'artifice.

    Sans énumérer la litanie des endroits qui connaissent ou qui ont connu des crises d'eau et la pléthore de raisons de cette pollution, le fait est que, dans toute l'Amérique, les villes, et même les états connaissent une urgence croissante concernant la disponibilité de boire de l'eau. C'est le type de problème que les Occidentaux associent aux pays du «tiers monde» et aux États défaillants.

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  11. Évidemment, il y a un certain nombre de questions qui découlent de l'état de l'approvisionnement en eau aux États-Unis. Premièrement, "Pourquoi les Américains ne le savent-ils pas ?" La deuxième, "pourquoi cela arrive-t-il ?" Le troisième, "que peut-on faire à ce sujet ?"

    Pourquoi la plupart des Américains ne sont-ils pas concernés ?

    En raison de la nature des crises de l'eau, la plupart des Américains ne sont exposés à ce type de crise que si elle a lieu dans leur cour arrière. À l'exception de situations telles que Flint où l'attention nationale est focalisée, quoique de manière éphémère, la présentation par les médias est telle que les crises d'eau sont rares et que l'infrastructure globale de l'eau du pays est la meilleure du monde. Bien sûr, c'est loin d'être le cas et la croyance que cela témoigne du travail d'Edward Bernays et des riches cadres du monde occidental pour convaincre les Américains et les autres Occidentaux que leur système est le meilleur, quelle que soit la forme Cependant, les crises de l'eau ont tendance à être localisées et une crise de l'eau en Californie ne devrait pas attirer l'attention au Michigan ou en Caroline du Sud et vice versa, en particulier si la zone en crise est rurale. À moins que le problème soit si massif qu'il affecte de nombreux lieux à la fois, en particulier ceux qui sont très peuplés, la plupart des Américains ne le savent pas jusqu'à ce que l'eau de leur propre communauté soit menacée.

    Quelle est la cause ?

    Les reportages des médias feraient croire à leurs auditoires que les crises de l'eau sont rares dans la nation la plus développée du monde et que les réseaux d'eau aux États-Unis sont sans précédent. Mais, même si cela a pu être vrai à un moment donné, ce n'est plus le cas. En fait, les crises de l'eau sont maintenant plutôt courantes. Les causes vont de la pollution industrielle et de l'absence subséquente d'inquiétude ou de collusion à dissimuler comme à Flint, au Michigan, ou cela pourrait être le résultat d'une fuite radioactive. Cela peut être dû à une agriculture intensive en usine, à des câbles en plomb, à de mauvaises pratiques de traitement, à des tuyaux endommagés ou à une contamination généralisée. Mais la cause ultime de l'augmentation massive des crises de l'eau aux États-Unis est une infrastructure en ruine.

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  12. Les accidents arrivent. Ils ont toujours et toujours. Cependant, Flint n'a pas été empoisonné par un seul accident et les communautés recevant de l'eau des Grands Lacs n'ont pas non plus été polluées par un seul déversement. Les communautés à travers l'Amérique connaissent des crises de l'eau qui ont été des décennies dans la fabrication. De l'absence de mise à jour des installations de traitement, de la propreté des réservoirs et de la réglementation des industries qui aimeraient utiliser l'eau potable et l'eau souterraine comme toilettes personnelles, l'Amérique a lentement créé une tempête parfaite combinant l'industrie lourde, le manque de légitimité. la réglementation et l'austérité. Dans de nombreuses collectivités, un simple entretien des canalisations et même le remplacement approprié des canalisations endommagées ont obligé de grandes villes à faire bouillir leur eau, les enfants à manquer l'école et les hôpitaux menacés de fermeture.

    Une autre partie du problème est l'arnaque séculaire de la privatisation de l'eau, pas seulement en termes de réservoirs ou d'industrie mais en termes de villes, de villes et de communautés. Jadis considéré comme un devoir légitime de la ville, de la ville ou du gouvernement communautaire, le traitement, l'entretien et la livraison de l'eau aux États-Unis étaient en effet une chose à envier dans le monde entier. Cependant, une connerie brillante a finalement été introduite où, après des années d'argent durement gagné par les contribuables pour construire et entretenir des systèmes d'eau, ces mêmes contribuables sont agressés par la propagande selon laquelle "le gouvernement est trop lent et incompétent" pour faire le travail. le secteur privé est «plus efficace et plus efficace».

    Les contribuables se voient promettre de meilleurs services à des prix plus bas. Une fois que les citoyens sont suffisamment propagandistes, on leur propose des référendums ou simplement ils sont informés des changements que le système détenu par les gouvernements locaux sera confié à l'industrie privée. Les entreprises, bien sûr, ne s'intéressent qu'à une seule chose et, après avoir augmenté les prix des services, le secteur privé échoue misérablement à entretenir les infrastructures qu'ils ont contractées pour entretenir car l'entretien coûte de l'argent et nuit aux profits de l'entreprise. Après des années à ne pas avoir correctement entretenu les systèmes d'eau, les citoyens se fâchent suffisamment pour demander au gouvernement local de reprendre le contrôle des systèmes ou le secteur privé réalise qu'une mise à niveau majeure est nécessaire et refuse de renouveler son contrat. Le gouvernement local reprend alors le système et entreprend toutes les réparations nécessaires après une décennie d'abus et de manque d'entretien. Bien sûr, les taxes doivent être augmentées pour le faire et le con recommence.

    L'ensemble des États-Unis est confronté à une crise de l'eau lente et silencieuse. En ce moment, il se cache sous la surface. Finalement, cependant, il va se révéler et, quand il le fera, la population américaine ne sera pas préparée. Les gouvernements, bien sûr, vont tribune et ne font rien puisqu'ils n'ont pas l'argent et que les détenteurs d'eau du secteur privé vont dire au peuple américain de le faire. Avoir un problème ? Va parler au maire.

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  13. Bien sûr, le maire aura peu à donner. Il sera désolé et il s'excusera mais malheureusement il n'y a rien qu'il puisse faire. La compagnie privée contrôle l'eau et, même si le maire a voulu prendre les choses en main, la ville n'a pas l'argent.

    Les Américains pourraient bientôt se réveiller pour constater que le plus grand système d'eau du monde les oblige maintenant à faire bouillir tout ce qu'ils consomment et, pour certains, même l'ébullition ne suffira pas.

    Les États-Unis ont laissé leurs infrastructures tomber en morceaux pendant des décennies, depuis les années 1970 en fait. Des systèmes d'eau aux routes et autres infrastructures critiques, les États-Unis sont une coquille de son ancienne identité. Bien qu'il semble toujours avoir beaucoup d'argent pour les guerres étrangères, l'aide étrangère, les renflouements et Israël, les États-Unis ne semblent jamais en avoir assez pour se déverser dans les domaines importants de la vie domestique qui touchent personnellement tous les Américains.

    Ceci, avec la politique de laisser-faire permettant aux entreprises de faire ce qu'elles veulent, sera la mort de l'approvisionnement en eau américain si quelque chose n'est pas fait pour régner dans la grande industrie, la pollution environnementale et la dégradation des infrastructures hydrauliques.

    La solution

    Selon l'American Society of Civil Engineers qui a récemment publié son rapport de 2013 pour les infrastructures américaines, les estimations suggèrent que les États-Unis devraient investir 3,6 billions de dollars dans ses infrastructures d'ici 2020 simplement pour atteindre le classement général du «bien» qui est représenté en tant que B sur le bulletin de l'ASCE.

    En outre, l'innovation et le leadership en ce qui concerne le progrès scientifique dans lequel l'Amérique a dominé une fois est une caractéristique qui ne semble plus exister au niveau national. Dans les infrastructures, l'éducation, la science, la médecine et l'activité économique réelle (la productivité), les États-Unis ne sont rien de plus qu'une coquille de leur ancien moi. Pourtant, cela ne doit pas être le cas et cela ne doit pas être l'avenir de l'Amérique. Une réserve fédérale nationalisée, en particulier avec une taxe de vente de 1% à Wall Street pour éliminer les déficits budgétaires fédéraux, étatiques et locaux et financer entièrement le filet de sécurité sociale, l'éducation et un véritable programme de soins de santé universels, serait une étape formidable de créer un environnement de plein emploi et d'industrie majeure tout en produisant de manière écologique.

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  14. Pour cette raison, la stimulation du crédit peut et doit être utilisée pour relancer d'abord une reprise en réparant l'infrastructure existante et en construisant de nouveaux systèmes d'infrastructure répondant aux besoins de l'Amérique moderne. Ceci devrait être accompli par une Réserve fédérale nationalisée agissant en tant que banque nationale véritablement achetée par l'État achetant les obligations des états, des projets régionaux, et des gouvernements locaux aux fins spécifiques de reconstruire des systèmes de métro, d'autoroute, d'épuration des eaux, transport de marchandises et de passagers), ponts, installations de production d'électricité et d'électricité, canaux, ports, réseaux d'égouts, télécommunications, bibliothèques, hôpitaux, écoles, bâtiments publics et gouvernementaux, ainsi que d'autres aspects pertinents de l'infrastructure.

    Les conditions de ces achats d'obligations doivent être simples. Premièrement, ils devraient reposer sur une réelle amélioration et la création d'infrastructures légitimes telles que les projets mentionnés ci-dessus. Aucun projet de porc ou d'animal de compagnie. Deuxièmement, le taux d'intérêt de ces obligations devrait être fixé à 0% afin d'éviter toute usure entre les gouvernements et d'éliminer les formes usurières de dette publique et publique. Troisièmement, ces obligations devraient être émises avec une date d'échéance de 100 ans, un type de lien communément appelé obligations du siècle. Cela permettra un «remboursement» raisonnable sur une échelle de temps raisonnable, avec des ajustements faits en fonction de la nécessité pour le gouvernement de recevoir le crédit selon les exigences de la crise économique. Il ne devrait pas y avoir de forclusion ou de faillite résultant de cette extension de crédit.

    Une Réserve fédérale nouvellement nationalisée devrait immédiatement émettre une tranche de 3,6 billions de dollars de crédits aux gouvernements fédéral, étatiques et locaux ainsi que des projets régionaux afin de moderniser l'infrastructure actuelle à un niveau satisfaisant avec des tranches subséquentes de 1 billion de dollars à émettre au besoin après la première tranche de 3,6 billions de dollars est dépensée. L'objectif de cette entreprise est non seulement de moderniser et d'améliorer l'infrastructure nationale telle qu'elle existe, mais aussi de la mettre en conformité avec les normes les plus élevées. Le réseau autoroutier américain devrait être amélioré aux niveaux de l'autoroute en Allemagne et au-delà. De même pour toutes les autres formes d'infrastructure. Les emplois fournis par ce stimulus de crédit devraient être des salaires élevés et une échelle salariale syndicale.

    L'amélioration de l'infrastructure à des niveaux adéquats n'est cependant pas la seule utilisation potentielle pour l'achat d'obligations fédérales, étatiques et locales, car l'objectif devrait évidemment être de créer de nouvelles formes d'infrastructure plus efficaces, respectueuses de l'environnement et hautement développées. cas, le traitement de l'eau, l'approvisionnement en eau, et des méthodes améliorées d'utilisation de l'eau salée à des fins de consommation.

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  15. Bien que la manière spécifique dont la Réserve fédérale est nationalisée ne devrait pas être l'objectif principal de l'action et la demande de le faire, il y a deux façons possibles de réaliser un tel engagement. Le premier, et le plus désirable, est le passage d'une loi par le Congrès qui nationalise la Réserve Fédérale sous le Département Américain du Trésor. Cette méthode est le meilleur des cas car elle démontre la volonté du Congrès, l'accord commun et la légitimation du processus.

    Cependant, en l'absence de volonté du Congrès, il existe l'acte de force de l'Exécutif. Essentiellement, il est tout à fait possible que la Réserve fédérale soit nationalisée de facto par un simple appel téléphonique présidentiel au Président de la Fed exigeant des lignes de crédit spécifiques à des fins spécifiques avec des répercussions claires si ces demandes ne sont pas satisfaites. En d'autres termes, le président pourrait ordonner au président de la Réserve fédérale d'ordonner une ligne de crédit dans un but précis et, si le président refuse, le président est libre de présenter sa démission avant 17 heures. Bien qu'une loi complète soit la circonstance idéale pour la reconquête de la politique monétaire américaine par ceux à qui elle appartient légitimement, tous les moyens disponibles peuvent et doivent être utilisés.

    Conclusion

    L'approvisionnement américain en eau descend tranquillement mais rapidement dans une situation d'urgence nationale qui peut très bien se manifester sous la forme d'une crise majeure qui affecte tout le pays ou qui peut simplement continuer à se développer tranquillement dans différents endroits jusqu'à ce que les Américains se réveillent pays où l'eau bouillante pour la sécurité est devenue la norme. Si nous voulons éviter la crise à venir, il est primordial que nous commencions à régner dans la pollution rampante de l'approvisionnement en eau par l'industrie et commençons à mettre à jour, améliorer et faire de nouvelles innovations pour les systèmes d'approvisionnement en eau, de traitement et de distribution. en retard.

    ***
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    Brandon Turbeville – article archive here – is an author out of Florence, South Carolina. He is the author of six books, Codex Alimentarius — The End of Health Freedom, 7 Real Conspiracies, Five Sense Solutions and Dispatches From a Dissident, volume 1 and volume 2, The Road to Damascus: The Anglo-American Assault on Syria, and The Difference it Makes: 36 Reasons Why Hillary Clinton Should Never Be President. Turbeville has published over 1,000 articles dealing on a wide variety of subjects including health, economics, government corruption, and civil liberties. Brandon Turbeville’s podcast Truth on The Tracks can be found every Monday night 9 pm EST at UCYTV. He is available for radio and TV interviews. Please contact activistpost (at) gmail.com.

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    http://www.thedailysheeple.com/an-american-water-crisis-is-just-around-the-corner-and-no-one-is-talking-about-it_012018

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    Réponses
    1. (...) Les Américains pourraient bientôt se réveiller pour constater que le plus grand système d'eau du monde les oblige maintenant à faire bouillir tout ce qu'ils consomment et, pour certains, même l'ébullition ne suffira pas. (...)

      Il est certain qu'il ne suffit pas de 'faire bouillir de l'eau' pour enlever le plomb qu'elle peut contenir ! Il faut faire bouillir l'eau sale et récupérer les gouttes d'eau de condensation.

      Exemple tout simple: Prendre une boite en fer , la remplir d'eau sale et la poser dans une poêle sur le feu. Ensuite recouvrir la boite centrale avec un boite plus grande et dessus dessous en couvercle. L'eau va s'écouler à l'intérieur du couvercle et glisser dans la poêle.

      C'est vrai que l'extraction du gaz de shiste pose un réel problème aux États-Unis. Il est très très grave car il s'agit d'empoisonnement volontaire et perpétuel des nappes phréatique !!

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  16. Révélée, l'infection la plus meurtrière de Grande-Bretagne (et comment vous pouvez la combattre): La pneumonie tue 30 000 personnes chaque année. Mais vous pouvez vous protéger

    Public Health England a rapporté que 85 personnes sont mortes de la grippe de cette année
    Fait inquiétant, le danger est loin d'être terminé, car la saison de la grippe pourrait durer jusqu'en mai.
    Pourtant, il existe un vaccin contre la pneumonie qui peut aider à protéger contre les bactéries

    Par Jane Fieinmann pour le Daily Mail
    16 janvier 2018

    L'épidémie annuelle de grippe est soudainement devenue sérieuse. Rares ont été les manchettes alarmantes de la semaine dernière: les consultations de médecins généralistes contre la grippe ont augmenté de 78 %, les hospitalisations de 50 % et les admissions en soins intensifs de 65 % par rapport à la semaine précédente.

    Près de 2.000 personnes ont été hospitalisées en raison de complications dues à l'épidémie de grippe de cette année, selon Public Health England - et 85 sont mortes en conséquence.

    Fait inquiétant, le danger est loin d'être terminé, la saison de la grippe devant durer au moins jusqu'à la fin de février et probablement aussi tard qu'en mai, selon le Centre des maladies transmissibles du ministère de la Santé.

    Ce n'est pas le virus de la grippe lui-même qui fait des morts, mais «presque toujours la pneumonie liée à la grippe, la cause la plus fréquente de la grippe», explique le Dr Ben Marshall, consultant en pneumologie à l'hôpital général de Southampton.

    Les chiffres officiels montrent que le NHS est au milieu de sa pire épidémie de grippe en sept ans, avec le nombre de patients visitant leur médecin généraliste avec des symptômes doublant en une seule semaine

    Il a été rapporté que la mort tragique de Bethany Walker, 18 ans, d'Applecross à Wester Ross, en Écosse, était due à une pneumonie liée à la grippe.

    Ce que beaucoup de gens ne réalisent pas, c'est qu'il existe un vaccin contre la pneumonie qui peut aider à protéger contre les bactéries les plus souvent responsables de la maladie, Streptococcus pneumoniae (également connu sous le nom de pneumocoque). Ce vaccin unique peut durer jusqu'à 20 ans.

    Mais bien qu'il soit disponible depuis 17 ans et qu'il soit offert gratuitement aux groupes à risque du NHS, le taux d'adoption reste faible - cela inclut les plus de 65 ans, environ un tiers (quatre millions de personnes) refusant le free jab.

    L'absorption est encore plus faible chez les personnes qui présentent un risque accru de pneumonie, y compris des problèmes rénaux, hépatiques et cardiaques à long terme, comme une cardiopathie congénitale, une MPOC, un diabète ou une chimiothérapie stéroïdes à long terme pour l'asthme sévère ou l'arthrite - avec seulement quatre sur dix ayant le jab.

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  17. C'est profondément inquiétant, dit le Dr Marshall. «Nous savons que le vaccin protège environ 45 % des personnes de plus de 65 ans et des personnes atteintes de maladies chroniques, contre environ 70 % à 75 % de ceux qui ont un système immunitaire sain.

    "Mais cela en vaut toujours la peine. Pour les personnes de tout âge, je recommanderais l'examen de la vaccination contre la pneumonie s'il y a une condition médicale sous-jacente qui pourrait augmenter le risque de complications graves.

    Les experts soupçonnent que l'une des raisons pour lesquelles les gens n'ont pas le jab est simplement parce que la plupart ne le savent pas. Le taux de vaccination parmi la population générale - qui doit payer des honoraires de 70 livres à une pharmacie pour avoir le vaccin en privé - est peut-être, sans surprise, encore plus bas que parmi les groupes à risque.

    Et s'ils connaissent le jab, beaucoup de gens pensent que la pneumonie n'est une préoccupation sérieuse que pour les personnes en fin de vie.

    DEVRIEZ-VOUS PAYER £ 70 POUR PNEUMONIA JAB ?

    Que pouvez-vous faire pour vous protéger contre la pneumonie ? D'abord et avant tout, dit le Dr Richard Russell, médecin consultant et directeur médical de la British Lung Foundation, il est important d'avoir le vaccin antigrippal, car cela aide à protéger le système immunitaire (tout en réduisant le risque de contracter la grippe).

    Mais qu'en est-il de la pneumonie jab ? Ce n'est pas gratuit pour tout le monde. Donc, devriez-vous payer pour l'avoir (chez un pharmacien High Street comme Boots) ? «Le risque de mourir de pneumonie chez les adultes jeunes et d'âge moyen est minime», explique le Dr Tim Peto, professeur de médecine à l'Université d'Oxford. "Le seul vrai risque est chez les bébés et les personnes âgées." Pourtant, ironiquement, le jab est le plus efficace chez les personnes en bonne santé. «Elle réduit le risque de pneumonie chez les personnes dont le système immunitaire est en bonne santé d'environ 75 %, tandis que pour les personnes plus fragiles de plus de 65 ans et celles souffrant de maladies chroniques, la protection est d'environ 45 %».

    «Mais, ajoute-t-il, cela en vaut la peine, car il y a un énorme bonus pour les personnes fragiles ou souffrant de maladies chroniques. Il fournit efficacement une protection contre la septicémie, un type d'empoisonnement sanguin à haut risque qui est le plus souvent causé par une pneumonie.

    Pour ceux qui ne l'obtiennent pas sur le NHS, à 70 £, le vaccin «peut sembler beaucoup d'argent, mais il pourrait certainement être un investissement rentable», explique le Dr Russell.

    Une autre mesure préventive pour les personnes atteintes de maladies dégénératives pourrait être une visite régulière chez le dentiste. Une recherche publiée dans la revue Neuropsychiatric Disease and Treatment a rapporté que les problèmes de déglutition et de contrôle de la salive peuvent être la principale raison pour laquelle la pneumonie est une cause majeure de décès chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

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  18. Les patients qui avaient amélioré leur santé buccodentaire étaient moins susceptibles d'être hospitalisés pour une pneumonie.

    Pourtant, les chiffres de la British Lung Foundation montrent que, même chez les personnes en bonne santé, le risque de contracter une pneumonie augmente d'année en année - les personnes dans la cinquantaine, par exemple, ayant un risque accru de pneumonie bactérienne de 40 % par rapport à 40s.

    «Il y a des avantages évidents pour les personnes de tout âge ayant une vaccination contre la pneumonie», déclare le Dr Richard Russell, médecin consultant en chirurgie thoracique au Lymington New Forest Hospital et maître de conférences au Département de médecine de Nuffield à l'Université d'Oxford.

    «Un homme de 30 ans devrait-il avoir le vaccin contre la pneumonie ? Comme leur médecin, je soutiendrais leur décision d'avoir le jab si c'est ce qu'ils ont choisi de faire.

    «Bien que la vaccination gratuite contre la pneumonie soit offerte aux personnes âgées de plus de 65 ans, il n'en demeure pas moins que le risque de contracter une pneumonie augmente considérablement après l'âge de 50 ans».

    Et avec la crainte que le vaccin contre la grippe ne soit pas aussi efficace cette année, on craint qu'il y ait plus de cas de pneumonie en conséquence.

    «Les gens pensent que la pneumonie est une infection pulmonaire relativement mineure qui n'est dangereuse que pour les personnes âgées, mais ce n'est pas le cas», explique le Dr Marshall.

    L'infection «est un tueur», ajoute le Dr Russell.

    POURQUOI LA PNEUMONIE EST-ELLE SI MORTELLE ?

    La pneumonie est une infection aiguë qui progresse rapidement et qui touche environ 250 000 personnes au Royaume-Uni chaque année, tuant en moyenne 29 000 d'entre elles, ce qui en fait la principale cause de décès par maladie infectieuse et la sixième cause de décès en Grande-Bretagne.

    EST-CE "juste" une TOUX - OU QUELQUE CHOSE DE PLUS SÉRIEUX ?

    La pneumonie affecte les alvéoles à l'intérieur des poumons. Un rhume ou une bronchite thoracique est une infection des bronches ou des voies respiratoires.

    La pneumonie est beaucoup plus grave et dure plus longtemps que la bronchite, qui se résorbe habituellement en deux à trois semaines. C'est habituellement causé par des bactéries. La bronchite est presque toujours une maladie virale.

    La pneumonie provoque fréquemment une forte fièvre accompagnée de frissons. La bronchite ne le fait normalement pas.

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  19. La pneumonie provoque une toux qui amène du mucus épais vert ou teinté de sang des poumons. La bronchite commence par une toux sèche et sèche et, après quelques jours, une toux qui soulève le mucus clair ou jaune des poumons. Cependant, avec ces deux troubles, la toux peut durer plusieurs semaines.

    La bronchite et la pneumonie peuvent toutes deux causer des douleurs thoraciques modérées à sévères lorsqu'elles toussent ou respirent.

    Avec une pneumonie, une radiographie peut révéler un liquide sur les poumons. La bronchite ne montre normalement pas.

    «L'essoufflement et la léthargie sont également un signe important de pneumonie - même chez les jeunes - et si la léthargie s'aggrave, plutôt que de s'améliorer, la pneumonie est plus probable», explique le médecin-conseil du Dr Richard Russell. D'autres indicateurs forts sont la production d'expectorations vertes décolorées ou, à l'occasion, crachats de sang.

    En cas de doute, consultez votre médecin. N'attends pas. La pneumonie est un tueur.

    L'infection provoque l'inflammation des grappes de minuscules sacs alvéolaires (appelés alvéoles) qui se trouvent à l'extrémité des bronches dans les poumons et se remplissent de mucus.

    «C'est le même liquide gammeux que nous crachons tous quand nous commençons à nous remettre d'un gros rhume», explique le Dr Russell.

    Mais, piégé dans les poumons, le mucus devient très toxique.

    Les alvéoles, souligne-t-il, jouent un rôle essentiel dans l'apport d'air riche en oxygène dans les poumons, filtrant le dioxyde de carbone et envoyant de l'oxygène dans la circulation sanguine pour nourrir les tissus et les organes du corps.

    «Lorsque ce processus cesse de fonctionner efficacement, vous commencez à développer tous les symptômes de la pneumonie, y compris l'essoufflement, la douleur thoracique, une température élevée et une mauvaise toux», explique le Dr Russell.

    «Si elle n'est pas traitée, les niveaux d'oxygène dans le corps commencent à tomber et vous commencez à souffrir d'une grave confusion, d'insuffisance cardiaque et, éventuellement, le coma et la mort peuvent en résulter.

    Les personnes les plus à risque de mourir de la maladie sont les personnes âgées et fragiles, ou qui sont déjà gravement malades.

    La pneumonie peut souvent être diagnostiquée par un médecin généraliste en écoutant des bruits dans la poitrine et les poumons à travers un stéthoscope.

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  20. Comme avec tout trouble à développement rapide, la rapidité du diagnostic est essentielle et les symptômes peuvent être confondus avec d'autres affections respiratoires, y compris la bronchite beaucoup moins grave ou les poussées d'asthme, ou des conditions liées au tabagisme comme l'emphysème. Pour les patients et leurs familles, l'expérience de la pneumonie peut être terrifiante: une minute, ils gèrent les symptômes normaux du rhume ou de la grippe - et le suivant, ils se retrouvent dans une situation où ils doivent être aiguillés vers A & E.

    «Les médecins généralistes doivent parfois prendre une décision de vie ou de mort pour savoir si le patient peut rester à la maison avec l'infection gérée par des antibiotiques oraux, ou si l'admission dans un hôpital qui est en ce moment est déjà un bloc est nécessaire », explique le Dr Russell.

    POURQUOI LA GRIPPE DEVIENT-ELLE EN PNEUMONIE ?

    à l'occasion, la pneumonie peut être causée par des virus, se présentant par exemple comme une complication des virus responsables du rhume et de la grippe. Mais il est le plus souvent causé par les bactéries pneumocoques.

    Les bactéries peuvent être inhalées sous forme de gouttelettes aéroportées provenant de la toux découverte de quelqu'un, ou atteindre les poumons par la circulation sanguine d'une infection bactérienne ailleurs dans le corps, comme l'oreille moyenne (une cause fréquente de pneumonie chez les enfants) ou les voies urinaires ( le plus souvent chez les femmes plus âgées).

    «Cette transmission est si simple parce que nous sommes tous inondés de Streptococcus pneumoniae, la bactérie étant l'une de plusieurs qui colonisent les voies respiratoires, les sinus et la cavité navale», explique le Dr Marshall.

    «Mais chez quelqu'un avec un système immunitaire sain, il y a peu de danger - vous êtes seulement à risque de pneumonie quand il y a une faille dans votre armure du système immunitaire.

    "Cela peut se produire pour toute une série de raisons - parce que vous avez une maladie pulmonaire chronique comme la MPOC ou une insuffisance cardiaque ou une maladie rénale, ou vous prenez des médicaments de chimiothérapie pour le cancer."

    Cependant, l'une des principales causes de la mauvaise immunité est la grippe. «Avoir la grippe peut paralyser votre système immunitaire et augmenter jusqu'à 100 fois le risque de pneumonie, ce qui peut avoir des répercussions sur le système immunitaire pendant quelques semaines après la disparition de l'infection», ajoute le Dr Marshall.

    Les gens peuvent se débarrasser de la grippe, puis ils deviennent soudainement très malades à cause de la pneumonie qui se développe à l'arrière de la grippe, explique le Dr Rod Daniels, directeur adjoint du Worldwide Influenza Centre à Londres. C'est parce que le virus de la grippe peut vraiment gâcher votre système immunitaire.

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  21. Cette année, cependant, on craint que le vaccin contre la grippe n'ait qu'une efficacité modérée, ce qui signifie que seulement 30 à 40 % des cas de grippe seront évités chez les personnes vaccinées.

    Ainsi, alors que la pneumonie peut s'installer à n'importe quel moment de l'année, «elle a tendance à culminer pendant la saison de la grippe», explique le Dr Marshall.

    Fait intéressant, ajoute-t-il, le vaccin antigrippal a entraîné une tendance à la baisse à long terme dans les cas de pneumonie mortelle - avec seulement 17 460 décès supplémentaires en 2013-2014.

    Cette année, cependant, on craint que le vaccin contre la grippe n'ait qu'une efficacité modérée, ce qui signifie que seulement 30 à 40 % des cas de grippe seront évités chez les personnes vaccinées, Dr John McCauley, directeur de l'Influenza mondiale. Centre, a déclaré la semaine dernière.

    Si certaines conditions vous rendent plus à risque, un autre facteur peut être ce que les médecins appellent «une mauvaise toux» - un médicament qui n'est tout simplement pas suffisamment puissant pour éliminer l'accumulation de mucus dans les poumons. À court terme, cette accumulation de mucus dans les poumons est une réponse immunitaire saine et normale à une infection virale ou bactérienne.

    Le professeur Brian Duerden explique comment nous pouvons protéger de la pneumonie

    Mais si la toux ne nettoie pas facilement le mucus, le mucus chargé de bactéries crée l'environnement idéal pour qu'une infection s'installe.

    Un autre problème potentiel est d'avoir une maladie dégénérative, telle que la maladie de Parkinson, où un symptôme commun est la difficulté à avaler, ce qui interfère inévitablement avec une toux robuste.

    Chris Failes, un agent immobilier à la retraite âgé de 72 ans et mère de deux enfants et de deux petits-enfants, originaire de Lymington dans le Hampshire, a reçu un diagnostic de maladie de Parkinson il y a deux ans.

    En mai dernier, son omnipraticien lui a dit que la toux dont elle avait souffert pendant quelques semaines était une forme bénigne de pneumonie et qu'on lui avait prescrit des antibiotiques et qu'on lui avait dit de se reposer. Au cours de l'été et au début de l'automne, la toux de Chris semblait s'améliorer - même si, en rétrospective, la toux ne disparaissait jamais vraiment et, à l'approche de Noël, elle empirait.

    «Je pense que c'était le temps froid qui m'a rendue si malade», dit-elle. 'C'était horrible. Ma poitrine était très inconfortable et tendue, comme si je ne pouvais pas respirer. Je ne pouvais pas me débarrasser du mucus dans mes poumons. Je n'avais pas d'énergie.

    Mais si la toux ne soulage pas facilement les mucosités, le mucus chargé de bactéries crée l'environnement idéal pour qu'une infection s'installe.

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  22. Elle a passé Noël au lit et a été mise sous antibiotiques par son médecin généraliste. Mais le 5 janvier, son médecin l'a référée à un consultant de la poitrine à l'hôpital local - où les scans ont confirmé qu'elle avait une pneumonie.

    «Je me souviens d'être assis à l'hôpital en train d'attendre les résultats, mon corps se penchant d'un côté, ma tête tombant sur ma poitrine. Je me sentais tellement sans vie.

    Pourtant, une fois diagnostiquée en temps opportun, la pneumonie est relativement facile à traiter - comme le montre le rétablissement de Chris.

    «Il y a une semaine», a-t-elle confié à Good Health la semaine dernière, «j'étais tellement malade que je ne pouvais plus bouger la tête.

    Mais après seulement trois jours de soins intensifs, recevant des antibiotiques et des liquides par voie intraveineuse, ainsi que de l'oxygène pour s'assurer que sa circulation sanguine reste oxygénée, Chris était assez bien le week-end pour être renvoyé et renvoyé à la maison.

    «Mon médecin m'a dit que je ne serais pas de retour à la normale pendant six à huit semaines. Et je suis sous stricte instruction de ne pas en faire trop », dit Chris.

    "Mais ça veut dire que je manque à mes petits-enfants âgés de 18 mois et cinq ans - ils sont si magnifiques. Habituellement, je les soigne une ou deux fois par semaine et c'est horrible de ne pas pouvoir le faire - même si j'espère que je serai bientôt mieux et que je passerai du temps avec eux à nouveau.

    Je me sentais un peu fatigué - quatre jours plus tard, je devais être hospitalisé

    Shannon Dixon, un consultant en marketing indépendant de Londres, prend rarement un jour de congé de maladie. Mais quatre jours après avoir développé une «infection à la poitrine» le mois dernier, elle a été hospitalisée pour une pneumonie.

    Mieux vaut aller mieux ou mourir - c'était la pensée qui me traversait l'esprit alors que je restais au lit à lutter contre une pneumonie, bien que je ne sois pas alors au courant que c'était ce que j'avais. J'étais juste conscient que c'était le plus mal que j'ai ressenti dans ma vie.

    Je pleure rarement, mais je n'ai jamais ressenti une telle douleur. Quelques jours plus tôt, j'avais soupé chez un collègue un soir et j'avais hâte de Noël.

    Nous étions en train de manger un plat de pâtes quand j'ai soudainement été submergé par une fatigue extrême - j'ai toujours eu un appétit sain, mais je ne pouvais gérer que quelques fourchettes.

    Quelques minutes plus tard, j'ai dû partir. Je n'avais tout simplement pas l'énergie pour rester.

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  23. Une semaine plus tôt, j'avais eu des symptômes pseudo-grippaux, qui m'ont mis au lit pendant trois jours, mais je me suis reposé après cela et, à part une toux persistante, j'ai cru que j'avais complètement récupéré.

    Je supposais que la fatigue de cette soirée n'était pas liée et pensais qu'une nuit tôt le réglerait. Mais juste quelques heures plus tard, je me suis réveillé trempé de sueur.

    Le lendemain matin, je me suis senti terriblement nauséeux. Chaque partie de mon corps me faisait mal et j'avais une sensation aiguë et lancinante dans mon poumon droit, ce qui rendait impossible le mouvement de mon bras droit. Chaque fois que je respirais ou toussais, j'étais agonisant.

    Shannon Dixon, consultante en marketing indépendante de Londres, prend rarement un jour de congé

    Mon patron m'a dit de rester à la maison, et mon père a vérifié sur moi ce soir. Nous avons tous deux supposé que c'était un bug, et il est parti quelques heures plus tard.

    Mais les 24 heures suivantes ont été horribles. J'ai commencé à vomir, crachant des mucosités et ma température a grimpé à 38,7 ° C.

    Je suis devenu délirant et je me suis réveillé en pensant qu'il y avait des gens dans le lit avec moi et que je ne pouvais pas bouger parce que je les réveillais tous.

    J'ai essayé l'ibuprofène et les remèdes contre la grippe, mais chaque fois qu'ils disparaissaient, je ressentais des secousses violentes et des frissons extrêmes. Je ne pouvais pas manger une chose et existait sur des tisanes et des jus de fruits.

    Au fond de moi-même, je savais que quelque chose n'allait vraiment pas: je ne me sentais jamais si mal dans ma vie et je pleurais - ce que je ne fais jamais.

    À quel moment, j'ai regardé en ligne pour vérifier mes symptômes. Je devais rencontrer un ami et envoyer un texto pour dire que je pensais que j'avais une pneumonie. Je l'ai également mentionné à ma mère. Les deux m'ont dit d'arrêter de réagir de manière excessive.

    À présent, mes symptômes duraient depuis quatre jours.

    Heureusement, j'avais un rendez-vous réservé avec mon médecin pour quelque chose d'autre le lendemain matin.

    Elle a diagnostiqué une infection pulmonaire et on m'a prescrit des antibiotiques et on m'a dit d'aller directement à l'hôpital si ma température - puis 39,8°C - augmentait davantage.

    Quelques heures plus tard, il a atteint 40.4°C. Ma mère m'a conduit à A & E à l'hôpital St Mary, à Londres, où une radiographie a révélé une ombre trouble sur mon poumon droit. L'hôpital a confirmé que j'avais une infection pulmonaire, mais aussi une pneumonie - causée par une infection bactérienne. On m'a dit que la grippe que j'avais eu pouvait affaiblir mon système immunitaire, ce qui m'a rendu plus vulnérable.

    J'ai été gravement déshydraté et j'ai été hospitalisé pendant trois jours et j'ai reçu des antibiotiques par voie intraveineuse.

    J'ai passé une nuit dans l'unité de soins actifs, avant d'être transférée dans une unité.

    Dans les 12 heures suivant les antibiotiques, je me sentais beaucoup mieux. J'ai réalisé que j'avais de la chance que ma pneumonie fût repérée quand elle l'était; ça aurait pu devenir vraiment dangereux.

    Quand le médecin m'a dit que j'avais une pneumonie, j'avais peur, mais j'étais heureux d'apprendre que je n'avais pas réagi de façon excessive - j'avais su que quelque chose n'allait pas. Maintenant, je vais faire confiance à mon instinct. En revenant, j'avais tellement mal. Je n'avais même pas l'énergie pour regarder Netflix!

    Interview by HELEN GILBERT

    http://www.dailymail.co.uk/health/article-5272901/Pneumonia-kills-30-000-people-protect-yourself.html#ixzz54Lp5NvQ5

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    1. (...) Cette année, cependant, on craint que le vaccin contre la grippe n'ait qu'une efficacité modérée, ce qui signifie que seulement 30 à 40 % des cas de grippe seront évités chez les personnes vaccinées. (...)

      Cela veut dire que 60 à 70 % DES PERSONNES VACCINÉES auront la grippe malgré tout !

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  24. Contre l’UE et la migration, l’UDC lance une nouvelle initiative populaire

    L’Union démocratique du centre et l’ASIN veulent abroger l’accord sur la libre circulation des personnes, mettant ainsi en jeu l’ensemble des bilatérales I

    Reprendre le contrôle sur l’immigration. L’UDC reprend le slogan qui a fait son succès en 2014 pour lancer ce mardi une nouvelle initiative populaire «pour une immigration modérée», dite aussi initiative «de limitation». Elle dispose de dix-huit mois pour récolter les 100?000 signatures nécessaires, ce qui doit lui permettre de déposer son texte à l’été 2019 en pleine année d’élections fédérales.

    Que propose l’UDC et l’Association pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN), qui ont travaillé ensemble à l’élaboration de cette nouvelle initiative populaire? Frustrées par la mise en œuvre légère de l’initiative contre «l’immigration de masse», elles veulent à nouveau faire inscrire dans la Constitution le fait que la Suisse gère de manière autonome «l’immigration des étrangers.» Mais elles ont pris soin cette fois-ci d’être plus claires qu’en 2014. Dans les dispositions transitoires, il est indiqué que l’abrogation de l’accord sur la libre circulation des personnes (ALCP) entre la Confédération et l’UE doit être obtenue dans l’année qui suit l’acceptation de l’initiative. Si cet objectif ne peut être atteint, le Conseil fédéral doit alors résilier l’ALCP.

    1. La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers.

    2. La Confédération n’a pas le droit de conclure de nouveaux traités de droit international et de prendre de nouveaux engagements de droit international qui accordent la libre circulation des personnes aux ressortissants étrangers.

    3. Des traités de droit public et d’autres engagements de droit public existants ne peuvent pas être adaptés ou élargis en contradiction avec les alinéas 1 et 2.

    Dispositions transitoires Art. 121b

    1. L’abrogation de l’accord sur la libre circulation des personnes du 21 juin 1999 conclu entre la Confédération suisse et l’Union européenne et ses Etats membres doit être obtenu par la voie de la négociation dans les 12 mois suivant l’acceptation de l’art.121b cst.

    2. Si cette voie ne permet pas d’atteindre l’objectif visé, le Conseil fédéral doit résilier l’accord de libre circulation des personnes mentionné à l’al.1 dans les 30 jours suivants.

    Lire aussi: L’initiative de l’UDC et de l’ASIN contre la libre circulation sera lancée à la fin de l’année

    Les six autres accords bilatéraux menacés
    En visant l’accord sur la libre circulation des personnes – qui permet, moyennant un contrat de travail et différentes garanties, à un citoyen européen de s’installer en Suisse et inversement – l’UDC met aussi en jeu six autres accords bilatéraux: recherche, marchés publics, obstacles techniques au commerce, agriculture, transport aérien et transports terrestres. Ces six traités sont en effet liés à l’ALCP par une clause guillotine dans le paquet des bilatérales I. Cette clause guillotine rend automatique, en cas de résiliation de l’un des accords, la dénonciation des autres.

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  25. Ce fait que le ténor de l’UDC Christoph Blocher a mis du temps à admettre (voir l’interview qu’il nous accordait en 2014) est désormais reconnu par l’UDC. Mais le parti estime que les bilatérales I profitent davantage à l’UE qu’à la Suisse. Il met aussi en exergue les coûts des mesures d’accompagnement – des milliards, affirme-t-il – qui ne seraient pas nécessaires sans libre circulation des personnes selon lui.

    Selon Christoph Blocher, cette initiative de «limitation» sert ainsi deux buts: la reprise en main de l’immigration à l’aide de contingents et de plafonds telle que le proposait la première initiative UDC adoptée le 9 février 2014, mais elle doit aussi marquer une césure dans la politique européenne de la Suisse et faire rempart à un accord institutionnel avec l’UE.

    Les bilatérales, un gain de 4400 francs par an et par personne

    L’association pour une Suisse ouverte et souveraine, en campagne permanente pour défendre les accords bilatéraux, donne des réponses à l’argumentaire UDC. Elle cite un exemple simple: l’accord sur le transport aérien permet aux avions au départ de Suisse de survoler tous les états membres de l’UE, ainsi qu’aux avions venant d’un état membre d’atterrir en Suisse. Sans cet accord, fini les week-ends à Barcelone à bas prix depuis Genève ou Zurich.

    L’accord sur les obstacles techniques au commerce évite aux industriels de devoir faire homologuer leurs produits dans chaque pays européen pour pouvoir l’exporter. Selon une étude d’economiesuisse citée par cette association, sans l’impact des accords bilatéraux, le PIB de la Suisse par habitant serait actuellement inférieur de 5,7%. «Chaque habitant gagnerait 4400 francs de moins par an environ (selon les calculs de 2016)», traduisent ces partisans des accords bilatéraux.

    https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/16/contre-lue-migration-ludc-lance-une-nouvelle-initiative-populaire

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  26. Rapport du DHS: 3 délinquants sur 4 ont été nés à l'étranger depuis le 11 septembre


    par Tyler Durden
    Mar. 16/01/2018 - 22:45
    Auteur de Will Racke via The Daily Caller,


    Le Department of Homeland Security a publié mardi une étude qui jette une nouvelle lumière sur le lien entre le système d'immigration américain et le soi-disant terrorisme d'origine locale.

    Sur les 549 personnes condamnées pour des charges liées au terrorisme international entre le 11 septembre 2001 et la fin de l'année dernière, 402 à 73% étaient nées à l'étranger, selon le rapport du DHS. Parmi ceux-ci, 148 étaient devenus citoyens américains naturalisés avant de commettre des infractions de terrorisme.

    Selon le secrétaire du DHS, Kirstjen Nielsen, les résultats suggèrent que les États-Unis doivent améliorer leur processus de contrôle de l'immigration, y compris le dépistage de certains immigrants après leur arrivée.

    "Je pense que ce que nous retirons directement du rapport, c'est que nous devons continuer à améliorer notre sélection et notre contrôle", a-t-elle déclaré mardi à John Dickerson de CBS.

    "Mais cela nous dit aussi que nous devons continuellement examiner ceux qui sont ici. Nous avons malheureusement des exemples au cours des dernières décennies d'attaques terroristes de la part de résidents permanents légaux et d'autres personnes naturalisées. "

    L'étude EDS fait suite à une série d'infractions liées au terrorisme qui auraient été commises par des personnes nées à l'étranger ayant immigré aux États-Unis par des voies légales. Les suspects deux incidents à New York - un attentat meurtrier de camion en octobre et une tentative d'attentat suicide en décembre - étaient arrivés à la loterie visa de la diversité et sur un visa de préférence de la famille, respectivement.

    Le mois dernier, un citoyen américain naturalisé du Pakistan nommé Zoobia Shahnaz a été inculpé pour avoir blanchi plus de 85 000 dollars par l'intermédiaire de Bitcoin et d'autres cryptomonnaies pour financer des combattants de l'État islamique à l'étranger. Shahnaz est venu aux États-Unis est venu aux États-Unis sur un visa de famille F43 préférence, qui est accordée aux enfants des frères et sœurs des citoyens américains, selon DHS.

    Les responsables de l'administration Trump ont souligné que ces incidents étaient une preuve de la sécurité publique et des vulnérabilités de la sécurité nationale dans le système d'immigration américain. Peu de temps après son entrée en fonction, Nielsen a soutenu le procureur général Jeff Sessions - le principal faucon de l'administration - en demandant des limites plus strictes sur la migration de la famille élargie et en mettant fin à la loterie de la carte verte.

    * * *
    Rapport complet ci-dessous ...
    - Lire sur site:

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-16/dhs-report-3-every-4-terrorism-offenders-911-were-foreign-born

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  27. 4 Statistiques sur la sécurité sociale qui sont réellement effrayantes


    par Tyler Durden
    Mar. 16/01/2018 - 20:45
    Soumis par Brenton Smith, cet article a paru dans NewsMax.Com, ("La forme de désintoxication de la sécurité sociale est inexistante")


    Pas moyen de contourner la forme Désolé, la sécurité sociale est en

    Donc vous pensez que vous êtes inquiet à propos de la sécurité sociale ?

    Beaucoup le sont, mais leur peur est généralement mal placée. À ce stade, la peur est à peu près limitée à la baisse des niveaux de prestations à la suite de l'inaction du Congrès. Comme vous l'avez sûrement entendu, les chèques de paie des aînés chuteront de 23 % si le Congrès ne fait rien à partir de 2034.

    C'est possible et cela pose problème. Cet avertissement est cependant loin de l'inquiétude la plus importante concernant le programme. Si la sécurité sociale peut suivre le statu quo sur la trajectoire des prévisions des administrateurs pour le programme, c'est un résultat assez doux. Ce résultat signifie que le programme a survécu à toutes les principales prévisions en dehors des fiduciaires pour le programme. Le Congressional Budget Office (CBO), par exemple, s'attend à ce que la douleur commence dès 2029. De plus, cette performance signifiera que le gouvernement pourra refinancer ou rembourser les billions de dollars détenus par le Fonds fiduciaire de sécurité sociale sans créer de perturbation.

    Si vous voulez savoir ce qui rend les gens inquiets, voici quatre faits pour vous faire perdre votre sommeil quel que soit votre âge:

    1. Le déficit de la sécurité sociale croît trois fois plus vite que l'économie américaine.

    Le déséquilibre de la sécurité sociale est mesuré par son manque à gagner, ou le montant d'argent, qui, avec les intérêts gagnés, permettrait au programme de payer des prestations au cours des 75 prochaines années. Ce trou dans les finances du programme augmente à trois fois le taux de notre capacité à le remplir.

    Voici les chiffres. Au cours des 15 dernières années, le passif du système a progressé de 9,6 % par an, alors que les fiduciaires s'attendent à ce que même dans une année robuste, la croissance économique réelle ne rompe pas 3%. De plus, les fiduciaires croient que le taux de croissance à long terme de l'économie est de 2,1 %. À la fin de 2001, le déficit de la sécurité sociale s'élevait à 3,157 dollars. À la fin de 2016, il était de 12,5 billions de dollars. Avec le passage d'une autre année d'inaction sur les finances du programme, le chiffre dépasse 13 billions de dollars.

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  28. 2. Les personnes qui atteignent 70 ans aujourd'hui s'attendent à vivre quand les avantages sont réduits

    Si vous pensez que les problèmes de sécurité sociale sont limités aux personnes de moins de 40 ans, pensez à nouveau. Cette évaluation n'a pas été une préoccupation réaliste en près de deux décennies. L'Administration de la sécurité sociale estime que plus de la moitié des personnes qui atteindront l'âge de 70 ans vivront bien lorsque le fonds d'affectation spéciale sera épuisé.

    L'épuisement du fonds fiduciaire signifie que les prestations seront réduites au niveau des recettes perçues. À ce stade, les fiduciaires des fonds fiduciaires de la sécurité sociale estiment que les prestations diminueront de 23 % en 2034, avec des réductions qui augmenteront avec le temps. Le CBO estime que les réductions atteindront 30 % avec le temps.

    3. En 2016, le programme a perdu plus d'argent qu'il n'en a collecté

    Au cours de 2016, les passifs non provisionnés du programme ont augmenté de près de 1,2 billion de dollars. C'est un saut à couper le souffle étant donné que le programme n'a recueilli que 950 milliards de dollars de revenus.

    Mécaniquement, la sécurité sociale prend de l'argent en échange de la promesse de prestations futures. Dans le cas de 2016, pour chaque dollar que le programme a reçu, le système a généré plus de 1,20 $ de promesses que personne ne s'attend à ce qu'il conserve. En anglais, nous aurions pu réduire les prestations à zéro pour toute l'année 2016, et le programme aurait terminé l'année en pire état qu'il ne l'avait été au début.

    4. La dépendance à l'égard de la sécurité sociale augmente avec l'âge

    En règle générale, les inquiétudes concernant la sécurité sociale indiquent que la sécurité sociale représente 90% du revenu de plus d'un tiers des personnes âgées. Politifact a largement confirmé cette statistique.

    Bien que cette information révèle une préoccupation, elle dissimule également un problème beaucoup plus vaste. Cette statistique regroupe toutes les personnes âgées dans une seule catégorie, comme si une personne âgée était la même que la suivante. Ils ne le sont pas. Au fur et à mesure que les bénéficiaires vieillissent, beaucoup perdent la capacité de travailler pour gagner leur vie, ce qui oblige de nombreuses personnes à épuiser leur épargne-retraite pour combler les écarts entre les prestations et les frais de subsistance. La dépendance à la sécurité sociale augmente avec l'âge. En fait, le rapport original montre que la dépendance augmente de plus de 60% entre 70 et 80 ans. En supposant que le programme servira un auditoire plus âgé lorsque les baby-boomers vieillissent dans le système, l'importance de la sécurité sociale est susceptible de culminer. heure exacte que les ressources commencent à manquer.

    Voici la statistique vraiment effrayante: zéro, qui est le nombre de rapports qui examinent l'importance relative de la sécurité sociale pour les personnes en âge réel. À ce stade, les chiffres regroupent toutes les personnes âgées de 80 ans et plus dans une même catégorie, même si l'espérance de vie d'un nouveau retraité a augmenté au milieu des années 1980. Les chiffres actuels n'éclatent même pas une vieillesse modeste.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-15/4-social-security-statistics-are-actually-scary

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    1. Pourquoi peut-il y avoir un 'déséquilibre' dans l'assurance dès lors qu'il y a plus de cotisants que d'infirmes ?
      Parce que la Confédération est républicaine et non une Démocratie !

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  29. Buchanan: Le plan d'immigration de l'Amérique est-il une route en brique jaune vers l'utopie (ou suicide national)?


    par Tyler Durden
    Mar. 16/01/2018 - 16:31
    Rédigé par Patrick Buchanan via Buchanan.org,


    Le président Trump "a dit des choses qui étaient haineuses, viles et racistes. ... Je ne peux pas croire ... aucun président n'a jamais prononcé les mots que j'ai ... entendu notre président parler hier. "

    Ainsi a hurlé le sénateur Dick Durbin après avoir quitté la Maison Blanche.

    Et qu'est-ce qui a fait que le chef de la minorité a failli s'évanouir?

    Trump a qualifié Haïti de «pays des sables», a déclaré M. Durbin, puis il a demandé pourquoi nous n'avions pas plus d'immigrants venant d'endroits bien tenus «comme la Norvège».

    Avec cela, il a éclaté l'un des grands feux de médias de l'ère Trump. Le jour de Martin Luther King, il était encore en feu.

    Trump concède qu'il a peut-être dénigré Haïti, qui, au dernier contrôle, ne figurait pas parmi les «meilleurs endroits où vivre» dans l'hémisphère occidental. Pourtant, Trump insiste sur le fait qu'il n'a pas rabaissé le peuple haïtien.

    Pourtant, en opposant la Norvège en tant que source d'immigration souhaitable, par opposition à Haïti, El Salvador et l'Afrique, Trump a posé une question qui hante l'Occident, dont la réponse décidera de son sort.

    Trump dit avec des mots, comme il l'a fait avec les politiques, qu'en accueillant un million de personnes par an, race, religion et origine nationale, si nous voulons préserver notre unité nationale et notre caractère national.

    De plus, en décidant qui vient ou non, les Américains ont le droit souverain de discriminer en faveur de certains continents, pays et cultures, et contre d'autres.

    En outre, en indiquant ses propres préférences, Trump est dans une tradition aussi ancienne que la République.

    Les colonies d'origine ne voulaient pas de catholiques ici. Ben Franklin craignait que la Pennsylvanie ne soit envahie par des Allemands stupides:

    «Pourquoi la Pennsylvanie, fondée par les Anglais, deviendra-t-elle une colonie d'étrangers, qui sera bientôt assez nombreuse pour nous germaniser au lieu de les angliciser, et n'adoptera jamais notre langue ou nos coutumes, pas plus qu'ils ne peuvent acquérir notre complexion. "

    Tout comme des partis anti-immigrants sont apparus en Europe pour endiguer le flot de réfugiés venus du Moyen-Orient et d'Afrique, un parti américain («Know-Nothings») a été formé pour stopper l'afflux d'immigrants irlandais pendant la famine de 1845-1849.

    Lincoln voulait que les esclaves soient rapatriés en Afrique.

    Aux XIXe et XXe siècles, nous avions des actes d'exclusion chinois et japonais.

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  30. "Les Californiens ont bien objecté" aux migrants japonais, a déclaré V.P. nominé FDR "sur la base solide que ... le mélange du sang asiatique avec du sang européen ou américain produit, dans neuf cas sur dix, les résultats les plus fâcheux."

    Après la Grande Migration des Italiens, Polonais, Juifs et Européens de l'Est, de 1890 à 1920, la loi sur l'immigration de 1925 établit des quotas basés sur les origines nationales du peuple américain en 1890, favorisant ainsi les Britanniques, les Irlandais, les Irlandais et les Allemands.

    Le leader des droits civiques, A. Philip Randolph, figure majeure de la Marche du Dr. King sur Washington, a déclaré à propos des quotas restrictifs de Harding-Coolidge:

    «Nous préférons réduire l'immigration à rien ... exclure les Allemands ... les Italiens ... les Hindous ... les Chinois et même les Noirs des Antilles. Le pays souffre d'indigestion d'immigration. "

    Le leader du Sénat de la loi sur l'immigration de 1965 a abordé ce qui était alors considéré comme des préoccupations valables au sujet de la future composition raciale et ethnique du pays. Le sénateur Edward Kennedy a promis:

    «Nos villes ne seront pas inondées d'un million d'immigrants chaque année ... le mélange ethnique de ce pays ne sera pas bouleversé. ... S. 500 n'inondera pas l'Amérique avec les immigrants des pays les plus peuplés et économiquement les plus démunis d'Afrique et d'Asie. "

    Ce que Kennedy a assuré que l'Amérique n'arriverait pas, est arrivé.

    Aujourd'hui, les questions d'immigration et de race déchirent les pays et les continents. Il y a des partis anti-immigrants dans chaque nation en Europe. La Turquie est soudoyée pour garder les réfugiés syriens hors d'Europe.

    Les bateaux d'Africains de Libye sont refoulés dans le Med. Après avoir construit un mur pour les tenir à l'écart, Bibi Netanyahu a dit aux «étrangers illégaux» d'Afrique: Sortez d'Israël en mars, ou allez en prison.

    La Partie d'Angela Merkel a peut-être subi des dommages irréparables lorsqu'elle a laissé entrer un million de réfugiés du Moyen-Orient. Les plus grandes concentrations d'Arabes, d'Africains et de Turcs en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne ne s'assimilent pas. Les pays d'Europe centrale scellent les frontières.

    L'Europe craint un avenir dans lequel le continent, avec son nombre décroissant d'autochtones, est submergé par les peuples du tiers monde.

    Pourtant, les Européens qui s'inquiètent de l'avenir résistent à un futur élite des États-Unis. Parmi les raisons, la migration de masse sans fin signifie ici la mort démographique du GOP.

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  31. Aux élections présidentielles américaines, les personnes de couleur dont les racines sont en Asie, en Afrique et en Amérique latine votent 4-1 démocrates, et contre les candidats favorisés par la majorité blanche en voie de disparition américaine. Pour la première fois, l'idéologie libérale ne correspond pas exactement aux intérêts libéraux.

    L'immigration de masse signifie une Amérique en 2050 sans majorité absolue, composée de minorités de toutes races, couleurs, religions et cultures sur terre, une réplique à l'échelle du continent de la merveilleuse diversité que nous voyons aujourd'hui à l'Assemblée générale des États-Unis.

    Un tel pays n'a jamais existé auparavant.

    Sommes-nous sur la route des briques jaunes vers la nouvelle utopie - ou sur le chemin du suicide national ?

    https://www.zerohedge.com/news/2018-01-16/trump-immigration-debate-race-matters

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    1. (...) En outre, en indiquant ses propres préférences, Trump est dans une tradition aussi ancienne que la République. (...)

      'ses propres préférences' = la République ! Et non la Démocratie !

      Pourquoi cet envahissement soudain des terres ?? (Amérique/Europe), parce que plus il y a d'étrangers (qui ont la nationalité et le droit de vote !!) moins il y a de chance de voir naître une Démocratie !

      Imaginez que le Peuple demande l'expulsion des étrangers, s'il y a plus d'étrangers que d'autochtones c'est impossible. D'où la dictature soudée-cadenassée !

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  32. Les porcs, le féminisme et le troupeau

    Face à la recrudescence des porcs, allons-nous vers une épuration des femmes et des troupeaux ?

    Par Louise Alméras
    16 JANVIER 2018.


    Chaque semaine a maintenant son lot de révélations dans la presse : les femmes ne se taisent plus et les agresseurs sexuels sont débusqués. Ce que l’on ne dit pas toujours dans une affaire, c’est aussi la part de vérité qu’elle révèle : ce nouveau tournant dans le milieu majoritairement artistique met-il fin au droit de cuissage et à une certaine manière d’obtenir ou de garder un emploi ?

    LA DISPARITION DE LA RESPONSABILITÉ INDIVIDUELLE

    Quand a-t-on entendu parler de responsabilité individuelle pour la dernière fois dans les articles faisant mention de ces scandales ? La communauté, désormais spectatrice, semble porter sur elle tout le poids de situations présentées comme inéluctables quand, enfin révélées, les affaires de mœurs éclatent quand c’est trop tard de la part de plaignantes qui paraissent parfois n’avoir eu à l’époque des faits aucune responsabilité, aucune liberté ni aucune crainte que le mal perdure après elles.

    Le silence des femmes n’est pourtant pas uniquement une affaire de crainte de leur part, mais aussi de lâcheté d’un milieu, nous l’avons vu dans l’omerta qui entourait depuis longtemps les actes de Harvey Weinstein. Cela a pris tellement d’ampleur, notamment avec la création du collectif Time’s up, que la vision manichéenne de toutes les affaires est maintenant de mise.

    LES FEMMES TOUJOURS VICTIMES ?

    Les hommes sont toujours les méchants et les femmes toujours les victimes. Certes, il y en a de nombreuses, mais certaines ont peut-être profité du système pour leur carrière. À la différence que les hommes ne pourront certainement jamais porter plainte contre elles pour ce motif.

    Frédéric Bastiat mettait en garde dans Harmonies économiques contre ce qu’il considère comme une perte de liberté et le danger assez vaste que suggère un manque de responsabilité, à cause de ses conséquences.

    La responsabilité, mais c’est tout pour l’homme : c’est son moteur, son professeur, son rémunérateur et son vengeur. Sans elle, l’homme n’a plus de libre arbitre, il n’est plus perfectible, il n’est plus un être moral, il n’apprend rien, il n’est rien. Il tombe dans l’inertie et ne compte plus que comme une unité dans un troupeau.

    Si donc d’un côté il y a les porcs, il semble aussi que de l’autre il y ait des troupeaux.

    Le Danois Peter Martins vient d’annoncer sa démission de la direction du New York City Ballet suite à des allégations de harcèlement sexuel et d’abus verbal, sur des faits datant de 1983. Il se retire après avoir démenti la véracité des accusations.

    Le réalisateur canadien Paul Haggis est accusé de même par quatre femmes, pour des faits datant de 1996 à 2015, depuis une première plainte déposée le 15 décembre dernier (AFP), les autres étant anonymes.

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  33. De son côté, il a porté plainte contre l’une d’elle, Mme Breest, qui lui réclame des millions de dollars afin qu’elle garde le silence, et son avocate de dénoncer « une tactique pour lui nuire (…) et obtenir de l’argent ». De l’autre, l’avocate des plaignantes conclut avoir à faire à « un prédateur en série qui s’en prend aux femmes depuis des années ».

    Saura-t-on un jour la vérité ? Et est-ce vraiment celle-ci qui importe dans cette déferlante d’annonces de plaintes ? Est-ce les hommes de pouvoir qui en ont profité ou bien les victimes qui usent de leur pouvoir ? Enfin, pourquoi les langues se délient-elles maintenant ?

    LES FEMMES SONT-ELLES MOINS LIBRES QUE LES HOMMES ?

    Pour répondre de leur silence, de nombreuses femmes ont invoqué la peur qu’elles avaient de perdre leur emploi. Ce n’était pourtant pas, en général, des femmes incompétentes.

    Ce fut même parfois des femmes plutôt fortes et capables, qui n’avaient donc pas à douter de leur capacité à être employées ailleurs. C’est le cas encore récent de trois chanteuses et d’une instrumentiste qui accusent le chef d’orchestre suisse Charles Dutoit d’agressions sexuelles, ayant eu lieu entre 1985 et 2010.

    Pourquoi porter plainte maintenant ? « Parce qu’elles étaient jeunes à l’époque, qu’il était leur maestro et qu’elles pensaient que ce seraient elles qui perdraient leur travail », rapportait l’agence de presse américaine AP le 22 décembre dernier.

    Friedrich Hayek s’interrogeait, dans La Constitution de la Liberté :

    C’est sans doute parce que la chance de bâtir sa propre vie implique une tâche sans fin, une discipline qu’il faut s’imposer à soi-même si on veut atteindre ce qu’on vise, que bien des gens ont peur de la liberté.

    LES VICTIMES DOIVENT S’EXPRIMER

    Attention, la responsabilité ne leur incombait pas uniquement, mais à ceux aussi qui avaient le pouvoir d’intervenir, de protéger, de rendre justice et qui n’ont rien fait. À condition que les victimes s’expriment.

    L’exemple d’Alice de Lencquesaing est intéressant en ce sens. En 2016, la comédienne récemment aperçue dans Espèces menacées envoie un courrier au magazine Elle qui choisit de ne pas le publier. Et pour cause, dans celui-ci elle dénonce les agissements d’un acteur avec lequel elle vient de tourner un film.

    Après avoir elle-même subi ses assauts deux ans auparavant sur un autre tournage, elle est témoin d’une tentative de viol à l’encontre d’une autre comédienne.

    Le magazine s’est expliqué n’avoir pas donné suite car il « souhaitait que l’actrice ne se retrouve pas seule devant les feux des critiques », tandis qu’Alice tente alors de convaincre la comédienne agressée d’en parler à son agent, qui la soutient alors « de loin et en silence ».

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  34. LA RESPONSABILITÉ DEVENUE IMPOPULAIRE

    Autrement dit, il ne fait rien. Pendant ce temps, la production lui rétorque qu’elle « ne veut pas intervenir, trop de risques ». « Tu comprends, si on dit quelque chose, il pourrait se braquer et quitter le film… et ça c’est pas possible », rapporte Alice de Lencquesaing dans son courrier. À 25 ans, elle avait plus de courage qu’un magazine, un producteur et un agent réunis.

    Peut-être souffraient-ils de ce mal que décrit Friedrich Hayek :

    La responsabilité est devenue impopulaire ; c’est un mot que les orateurs et écrivains expérimentés évitent aujourd’hui d’employer, vu le désintérêt ou l’aversion manifeste que lui témoigne une génération qui déteste tout discours moralisateur. Il soulève souvent l’hostilité ouverte de gens à qui on a enseigné que seules des circonstances indépendantes de leur volonté ont déterminé leur position dans la vie, et même leurs propres agissements.

    Quoi qu’il en soit, les troupeaux, femmes et entourages inclus, devront bientôt s’épurer puis mieux choisir leurs bergers, sous peine de voir encore la blancheur de leurs lainages être salie par la boue des porcheries.

    https://www.contrepoints.org/2018/01/16/307501-porcs-feminisme-troupeau

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    1. Cette politique de merde repose UNIQUEMENT sur le principe de séparer par tous les moyens les hommes des femmes ! Les gouines d'un côté et les pédérastes de l'autre. Puis, viendra le jour ou des gouines porteront plainte de s'être fait violer par une autre gouines, etc, etc
      Diviser pour régner.

      Car, l'emploi du mot 'porc' n'est pas anodin ! Ce que fait un couple au lit n'est rien d'autre que ce que fait un autre couple au lit ! Y aurait-il du hallal là dedans ? TOUTES les salades ou autres légumes ou fruits que vous mangez sont arrosés avec du lisier de porc. OUI, il y a de la merde et de l'urine de porc dans tous ce que vous mangez. Et alors ?
      Personnellement je n'ai jamais vu de porc sodomiser une girafe. Les porcs vont donc avec les truies et les truies avec les porcs.

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  35. INTEMPÉRIES - EVI A BALAYÉ LA SUISSE AVEC DES RAFALES À 160 KM/H
    Plusieurs routes ont été bloquées par des arbres couchés sur la chaussée et des compagnies ferroviaires ont dû interrompre leur service.
    Peu de régions ont été épargnées par Evi et peu le seront jeudi par Friederike

    17.01.2018, 07h53

    La tempête Evi a balayé la Suisse dans la nuit de mardi à mercredi. Des rafales à plus de 160 km/h ont été enregistrées. Plusieurs routes ont été bloquées par des arbres couchés sur la chaussée.

    Au sommet du Chasseral (1606m), dans le Jura bernois, le vent a soufflé à 156 km/h. Et dans les Alpes bernoises, des rafales à 163 km/h ont été enregistrées au Jungfraujoch, selon plusieurs services météorologiques.

    Mercredi matin, des routes secondaires étaient obstruées par des arbres, de même que l'autoroute A3 entre Horgen et Thalwil (ZH). Plusieurs compagnies ferroviaires avaient annoncé qu'elles interrompraient leur service à cause des forts vents.

    La police cantonale argovienne a averti qu'un arbre s'est couché sur l'autoroute A1 entre Aarau-Ost et Aarau-West et que la circulation sur le tronçon a été réduite au trafic sur la voie de dépassement.

    Une deuxième tempête est attendue jeudi et elle a été baptisée Friederike. Les pointes de vents devraient garder la même puissance, prévient Stefan Scherrer, météorologue chez Meteonews. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/evi-balaye-suisse-rafales-160-kmh/story/26761600

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    1. Comme je l'ai expliqué xx fois, le froid est TOUJOURS sur les terres et, la chaleur est TOUJOURS sur les mers.

      Car les terres n'ont pas ou peu de volcans qui peuvent en réchauffer l'air tandis qu'il y en a des millions (milliards ?) sous les océans et les mers. Ces sources chaudes montent en surfaces et sont transportées par les courants. Mais l'air marin ne s'aventure jamais très loin des côtes surtout s'il y a des barrages montagneux. D'où le froid en montagnes.

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