31 octobre 2015
Bizarrement la Russie peut encore ralentir la trainwreck à Paris. L'ironie, l'ancien Etat communiste peut être celui qui pour contrecarrer les ambitions de la bureaucratie globale des resquilleurs. Nous ne pouvons pas vous détendre, parce que comme le chinois, Poutine aura un prix, et si l'équation est modifiée afin que la Russie gagne un avantage sur l'Ouest (à travers les exemptions généreuses ou crédits ou quelque autre accord commercial) il va payer lèvre-service aux extrémistes climatique.
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Poutine appelle le changement climatique une « fraude » :
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[New York Times] La position officielle de la Russie semble avoir changé peu depuis 2003, quand Poutine a dit à une conférence sur le climat international que des températures plus chaudes signifierait pour les russes qu'ils « dépensent moins sur les manteaux de fourrure » tandis que « les spécialistes en agriculture dire notre production de grain augmentera et je remercie Dieu pour cela ».
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Le Président estime que « il n'y a aucun réchauffement, il s'agit d'une fraude visant à empêcher le développement industriel de plusieurs pays dont la Russie, » dit Stanislav Belkovsky, un analyste politique et critique de Poutine. « C'est pourquoi ce sujet n'est pas d'actualité pour la majorité des médias russes et la société en général. »
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Le scepticisme de Poutine date du début des années 2000, quand son personnel « a fait un très, très important travail d'essayer de comprendre tous les côtés du débat sur le climat », a déclaré Andrey Illarionov, Poutine senior conseiller économique à l'époque et maintenant senior fellow à l'Institut Cato à Washington.
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« Nous avons constaté que le changement climatique n'existe pas, c'est cyclique et le rôle anthropique est très limité, » dit-il. « Il est devenu clair que le climat est un système compliqué et que, jusqu'à présent, la preuve de la nécessité de « lutter » contre le réchauffement climatique était plutôt sans fondement ».
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Qui veut un refroidissement plus en Russie quand même :
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Poutine a été de mettre en doute le réchauffement artificiel depuis le début des années 2000, selon le Times. En 2003, Poutine a dit à un réchauffement de conférence internationales sur le climat permettrait aux Russes de « dépenser moins sur les manteaux de fourrure, » ajoutant que « des spécialistes en agriculture disent notre production de grain augmentera et je remercie Dieu pour cela. » — Michael Bastach, Newsbusters
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Les journalistes crédules au New York Times écrit ceci pensant qu'ils sont en soulignant le mauvais état du journalisme en Russie et comment il ignore en grande partie l'Ouest fétiche pour invoquer des facteurs industriels comme des dieux de la météo. Au lieu de cela, sur certains sujets les médias russes veulent dire juste comme il est. Les vis économiques sont serrées en Russie, et il n'y a pas de temps pour frivoles fantasmes sur le contrôle de la météo. Les russes savent que les feux sont provoqués par des charges de carburant et les pyromanes, pas de gaz d'échappement de voiture et les climatiseurs.
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Galina Timchenko, ancien rédacteur en chef du site d'information Lenta.ru, il énonce : « Malheureusement le changement climatique n'est pas très intéressant pour le public, » dit-elle.
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Notez que les Russes offrent des cibles de « Media-Ready » qui sont aussi inutiles que les chinois.
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En proposant une réduction de ses émissions à « 70 à 75 pour cent » aux niveaux de 1990 d'ici 2030, Moscou propose en réalité une augmentation des niveaux de 2012. Les émissions russes sont actuellement loin au-dessous des niveaux produites par obsolescence industries cheminées ex-soviétique en 1990.
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Même cette offre est couverte. La Russie vient d'atteindre l'objectif exigera comptabilité généreuse pour le jeu de forêts le rôle de la Russie pour éliminer le dioxyde de carbone de l'atmosphère.
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Donc quand les cibles russes réécritent comme « aide » pour prévenir les changements climatiques n'oubliez pas que, comme la Chine, la Russie continue d'augmenter les émissions de gazcarbonique et ils n'ont aucune intention de la dissolution de leur retour.
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