8 septembre 2014 00:09
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Si à l'égard de la Russie vont s'introduire de nouvelles sanctions, elle devra répondre de façon asymétrique - en particulier, il en est d'éventuelles restrictions sur les vols dans l'espace aérien de la Fédération de Russie. Sur ce, le "Interfax» a déclaré le Premier ministre de la Russie Dmitri Medvedev dans une interview avec le journal "Vedomosti", qui a été donnée à l'occasion de la 15e édition anniversaire.
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"Si il y a des sanctions liées à l'énergie, de nouvelles restrictions à notre secteur financier, nous devons répondre de manière asymétrique Certaines de ces décisions, que j'ai présenté lors d'une réunion du gouvernement, telles que les restrictions dans le secteur des transports - a dit le Premier ministre -. Si nous sommes limités, nous devons répondre. Si les transporteurs occidentaux volent hors de notre espace aérien, cela peut conduire à la faillite de nombreuses compagnies aériennes, qui sont déjà sur le bord de la survie".
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Dans le même temps, selon Medvedev, il s'agit d'un scénario indésirable. «C'est une mauvaise histoire. Aimeriez-vous voir nos partenaires à un certain point réalisé ?" a t-il dit. Premier ministre a ainsi souligné que l'adoption de sanctions supplémentaires ne permet pas de ramener la paix en Ukraine. "Ils ont battu le passé et il comprend l'immense majorité des politiciens Il est tout simplement l'inertie de la pensée, et, malheureusement, la volonté de recourir à la force dans les relations internationales.", a dit le Premier ministre.
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L'imposition de sanctions économiques contre la Russie, selon le chef du gouvernement russe, entraîne des conséquences politiques, et il est "contraintes d'approvisionnement terribles." «Nous comprenons que les sanctions économiques d'abord, puis en réponse à - la politique, et la substance politique est toujours asymétrique et c'est contraintes d'approvisionnement terribles: atteinte à la sécurité dans le monde j'espère que nos partenaires occidentaux ne veulent pas et fou parmi ceux-ci.. les personnes qui prennent des décisions là-bas, " dit-il.
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Selon lui, le gouvernement peut modifier la validité des mesures de représailles russes. "Si nos partenaires auront sur l'esprit, et toute cette histoire inutile des sanctions seront réduites, nous allons traiter en conséquence. Décret du Président prévoit expressément que le gouvernement a le droit de modifier la date des sanctions. Et j'espère qu'à ce moment, nos fournisseurs ont déjà temps prendre sa place sur les étagères," a déclaré M. Medvedev.
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Si chacun des pays du monde devait tenir compte de la politique différente tenu en d'autres pays, il n'y aurait plus de commerce internationaux. Car, à chacun des pays du monde reproches peuvent être apportés. Mais, ce qui est clair dans la volonté d'appliquer des sanctions à la Russie et que cela est conduit par les Etats-Unis qui entendent faire de la Russie son ennemi et que cette politique d'attardés mentaux doit être partagée par les Etats européens !!
RépondreSupprimerL'UE adopte de nouvelles sanctions contre la Russie devant entrer en vigueur dans 'les prochains jours'
RépondreSupprimerSeptembre 08, 2014 19:07
Selon un lundi déclaration par le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, le nouveau paquet a été adopté par une procédure écrite, "l'approfondissement des mesures ciblées du 31 Juillet."
"Les sanctions visent à promouvoir un changement de cap dans les actions de la Russie de déstabiliser l'est de l'Ukraine", dit la déclaration.
Bien qu'il a été précédemment rapporté que les nouvelles sanctions pourraient entrer en vigueur d'ici mardi, la décision finale de l'UE ne précise pas la date à laquelle elles seront appliquées, disant seulement qu'il "aura lieu dans les prochains jours", laissant le temps "pour un évaluation de la mise en œuvre de l'accord de cessez-le-feu [en Ukraine] ".
"En fonction de la situation sur le terrain, l'UE est prête à revoir les sanctions convenues, en tout ou en partie," de Van Rompuy de la déclaration se lit comme suit.
Au cours du week-end, certains diplomates de l'UE a déclaré à Reuters que les sanctions pourraient être levées si le cessez-le feu entre les forces gouvernementales et les milices ukrainiennes détient. La trêve a été convenu la semaine dernière.
"Un cessez-le feu doit détenir des sanctions doivent être levées," l'agence a cité un haut diplomate de l'UE comme disant.
Selon certains représentants de l'UE, les sanctions pourraient "même obtenir monté entièrement."
Malgré une certaine prise de vue sur le week-end, "globalement, le cessez-le feu a eu lieu,« un chien de garde de sécurité de l'OSCE, a déclaré lundi, ajoutant que "il est encore fragile."
Ukraine-feu tient pour la paix fragile pour durer
La nouvelle série de sanctions est aurait pour but de sociétés russes de pétrole appartenant à l'Etat, en particulier Rosneft, Transneft, et Gazpromneft.
Lundi, le Premier ministre Dmitri Medvedev a averti que la Russie pourrait fermer ses couloirs aériens pour les compagnies aériennes occidentales si la prochaine série de sanctions européennes frappe le secteur de l'énergie de la Russie.
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Si de nouvelles sanctions de l'UE ont atteint secteur de l'énergie, la Russie peut fermer l'espace aérien - Medvedev
RépondreSupprimerPour être approuvé, les documents restrictives devaient être signés par les 28 Etats membres de l'Union européenne. Il a été rapporté que la décision ne passe pas par à la fois, et une UE ambassadeurs réunion d'urgence a dû être appelé, comme certains gouvernements avaient des doutes sur la nouvelle «punition» pour Moscou.
"Le cessez-le feu est un énorme pas en avant et qui vient avec la possibilité d'une solution politique ... Il y a un appétit très fort dans toute l'Europe pour dire que nous voulons une solution politique ici, nous ne voulons pas d'une montée en puissance de la pression économique," dit l'opposition parlementaire britannique et militant de la paix Jeremy Corbyn RT.
http://rt.com/news/186148-eu-adopt-sanctions-russia/
Les sanctions occidentales, point de croissance de l’économie russe
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
L’incertitude de plusieurs pays européens en ce qui concerne la nécessité des sanctions antirusses traduit une désintégration profonde parmi les alliés transatlantiques et confirme le bien-fondé de la position de Moscou qui poursuit la politique étrangère indépendante en dépit de la pression de plus en plus forte de la part de Washington.
Selon le premier ministre russe Dmitri Medvedev cité par le journal Vedomosti, les sanctions occidentales à l’égard de la Russie pourraient entraîner l’effondrement du système global de sécurité. « J’espère que nos partenaires occidentaux ne le veulent pas et il n’existe pas de fous parmi ceux qui adoptent les décisions », a souligné Dmitri Medvedev. « Les sanctions constituent une arme à deux tranchants et les restrictions se répercutent finalement sur ceux qui les introduisent. Qui plus est, il est possible que les sanctions fassent le jeu de l’Etat à l’égard duquel elles sont proclamées.
Le directeur général et membre du présidium du Conseil russe pour les affaires internationales Andrei Kortounov, président du Fonds « Nouvelle Eurasie » dit:
« Les sanctions sont le dernier argument et la preuve de l’échec de la diplomatie. De ce fait, il faut régler de tels problèmes en premier lieu par les moyens diplomatiques. Les sanctions sont appliquées lorsqu’on décline d’autres moyens de régler les conflits ».
Les politiciens occidentaux seront tôt ou tard contraints de mettre le cap sur la paix et le bon voisinage sur l’échiquier international. Le politologue Alexandre Dougine dit:
« Obama a promis de lever les sanctions à condition que la Russie suspende le soutien de la Novorussie, réprime les milices populaires qui sont aujourd’hui sur le point d’affranchir Lougansk et Donetsk. La Russie tient ferme et il est décidé de choisir la carotte au lieu du bâton ».
Fait révélateur : la Russie ne sera pas perdante. Si l’Occident choisit la confrontation, les autorités russes en profiteront pour satisfaire les intérêts nationaux. Si le bon sens prend le dessus en Occident, la Russie renoncera avec plaisir aux sanctions réciproques qui portent un préjudice sérieux aux producteurs européens. Quant aux habitants de Russie, ils ne les ressentent pratiquement pas
http://french.ruvr.ru/2014_09_08/Les-sanctions-occidentales-point-de-croissance-de-l-economie-russe-8883/
En coupant les marchés entre la Russie et l'Europe de l'Ouest, les Etats-Unis entendent se positionner alors comme remplaçant ! Or, comme le gaz de shiste proposé n'est qu'une bulle vide sans possibilité de rentabilité, son prix à l'extraction et transport ne peut rivaliser avec la concurrence asiatique. D'où, effectivement, si la Russie renvoie la balle en fermant les robinets de gaz, le prix du gaz en Europe de l'Ouest ne peut qu'être plus cher, voire très cher !
SupprimerKiev dit qu'il ne peut pas enterrer les morts en Ukraine orientale gratuitement
RépondreSupprimer8 septembre 2014 17:09
Département du logement et de l'infrastructure communautaire de Kiev Administration d'Etat (KSCA) dit à propos de l'impossibilité de libre disposition de personnes tuées au cours de l'opération dite anti-terroriste (ATO) dans la région de Donetsk et de Lougansk dans . Cela a été rapporté aujourd'hui un certain nombre de médias ukrainiens cité la lettre correspondante, publié sur le site de l'KSCA.
Dans ce cas, le ministère se réfère à la loi «sur le statut des anciens combattants et des garanties de leur sécurité sociale." En vertu de cette loi, la procédure pour l'octroi du statut de combattants aux personnes participant à la A & P, déterminées par le Conseil des ministres, les notes de journal, " Groshi Nashi ».
"Compte tenu du fait qu'aujourd'hui cette procédure n'a pas été élaboré par le gouvernement, le service de funérailles publiques à Kiev à l'enterrement des citoyens qui appartiennent à cette catégorie ne peuvent pas fournir des services funéraires individuels fournis gratuitement à l'enterrement des combattants et invalides de guerre," - a déclaré dans une lettre signé par le chef du département Dmitry Novitsky.
L'opération militaire dans l'est de l'Ukraine a été en cours depuis plusieurs mois. Aujourd'hui, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme bin Zeid Ra'ad Al-Hussein a déclaré que depuis le début du conflit, tuant au moins trois mille personnes, selon lesITAR-TASS.
"Depuis Avril, lorsque le conflit a éclaté, les gens ont été tués dans 2729. autre 298 personnes ont été tuées dans l'accident," - a déclaré le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux droits de l'homme, Ivan Simonovic. Toutefois, il a noté que le chiffre réel pourrait être plus élevé.
http://www.vesti.ru/doc.html?id=195448
« La politique de l’UE est dictée par Washington » : Moscou réagit sévèrement aux sanctions
RépondreSupprimerTraduit par : Nina FASCIAUX publié Jeudi 31 juillet 2014
Dans un communiqué publié le 30 juillet suite aux sanctions sectorielles prises à l’encontre de la Russie par l’Union européenne la veille, le ministère des affaires étrangères russe exprime sévèrement ses regrets quant à l’attitude des Européens et prévient que la Russie agira désormais en conséquence avec ces derniers.
Ministère des affaires étrangères russe
« Suite à la mise en place par l’Union européenne de sanctions anti-russes le 29 juillet, nous sommes forcés de constater l’absence évidente de volonté politique et de désir de cette dernière à s’investir dans le règlement de la crise ukrainienne.
L’UE ignore aveuglément les raisons du développement tragique des événements dans le Sud-Est du pays, où, dans le cadre d’une soi-disant « opération antiterroriste » des autorités de Kiev, des dizaines de citoyens pacifiques meurent chaque jour et où des centaines de milliers d’habitants ont été contraints de devenir des réfugiés. Une immense région (le Donbass, ndlr) se trouve désormais au bord d’une catastrophe humanitaire de grande ampleur.
Tous ces événements sont en grande partie la conséquence directe des décisions irresponsables de l’UE elle-même, qui se montre complaisante avec les autorités actuelles à Kiev. L’UE a ainsi donné carte blanche à la « pacification » du pays et a fait preuve d’un lourd manque de scrupules politiques, en acceptant de facto de qualifier l’opération punitive de Kiev contre son propre peuple d’approche mesurée en vue de rétablir la loi et l’ordre.
C’est une honte pour l’Union européenne, qui après de longues pérégrinations pour s’exprimer « d’une seule voix », s’exprime désormais par la voix de Washington, abandonnant pratiquement les valeurs fondamentales européennes, parmi lesquelles la présomption d’innocence.
La politique de l’UE n’est désormais plus basée sur des faits avérés, mais est dictée par Washington, entre deux visionnages de vidéos douteuses sur YouTube. Moscou est déçue par l’incapacité de l’UE à endosser un rôle indépendant sur la scène internationale.
Il semble par ailleurs que l’UE soit prête à de sérieux sacrifices économiques afin de permettre la réalisation de schémas politiques désastreux qui ne sont pas les siens. Les économies russes et européennes sont des « vases communicants » et la troisième vague de sanctions entreprise par Bruxelles affectera l’Europe pas moins que la Russie.
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Nous constatons pourtant avec quel zèle certains pays européens soutiennent ces décisions irrationnelles, qui sont inversement proportionnelles au niveau d’impact sur leur bien-être. Les citoyens des Etats membres de l’UE sont-ils au courant de ce qui résultera de ces jeux en termes de pertes d’emplois et gains commerciaux ?
RépondreSupprimerNous rappelons également que les sanctions sectorielles vont à l’encontre des normes en vigueur à l’OMC. Les mesures restrictives qui touchent les sphères financières auront également des conséquences négatives sur les banques des Etats membres de l’UE présentes sur le marché russe.
Pourtant, certaines d’entre elles tirent jusqu’à ce jour de grands profits des activités de leurs filiales dans notre pays.
Nous sommes consternés par la décision d’instaurer un embargo sur le commerce d’armes et d’équipement militaire avec la Russie. A la différence de Kiev, pour qui, en revanche, de telles restrictions ont été levées récemment, la Russie n’est pas impliquée dans le conflit militaire en Ukraine.
Avec ces sanctions, Bruxelles met elle-même des barrières à une collaboration avec la Russie dans des domaines-clés comme l’énergie. C’est une démarche irréfléchie et irresponsable. Elle conduira inévitablement à une hausse des prix sur le marché européen de l’énergie.
En ce qui concerne les difficultés qui pourraient survenir dans certains secteurs de l’économie russe, elles seront sans aucun doute surmontées. L’efficacité et l’autonomie de notre économie s’en trouveront accrues.
Évidemment, nous allons prendre en considération le comportement non constructif et non indépendant de l’UE dans la poursuite du développement de nos relations.»
Les autres réactions suite aux sanctions de l’UE :
Embargo sur les fruits et légumes polonais
Le 30 juillet, l’agence vétérinaire russe Rosselkhoznadzor a déclaré qu’à partir du 1er août, l’importation de certains types de fruits et légumes polonais serait interdite en raison de « violations répétées » dans la certification et procédures de quarantaine. Le ministre polonais de l’agriculture Marek Savitsky a qualifié l’embargo russe sur les fruits et légumes polonais de « répression politique », qui a été instauré par la Russie en réaction aux sanctions de l’UE, a rapporté mercredi 30 juillet le service de presse du ministre polonais de l’agriculture.
La Pologne a l’intention de demander à la Commission européenne un soutien financier pour les agriculteurs qui ont souffert de l’embargo russe, après quoi les entreprises agricoles se réorienteront vers les marchés asiatique et américain, indique le communiqué.
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Comme l’a souligné le président polonais de l’Association des jardiniers Tomach Solis, la Russie représente un des marchés clés pour la Pologne où est exporté jusqu’à 70 % de sa production totale.
RépondreSupprimerLa Russie peut se passer des Mistral
« La Russie est capable de construire son propre porte-hélicoptères si la France refuse de lui fournir les navires de guerre de type Mistral », a déclaré le 30 juillet le vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine ajoutant que le navire russe serait encore mieux « parce qu’il sera équipé pour travailler sous des latitudes froides ». « Quand nous avons commandé ces navires, nous ne disposions pas des technologies nécessaires à de tels chantiers mais maintenant nous les avons » a mis en garde le vice-Premier ministre.Dmitri Rogozine a souligné qu’il ne pensait pas que le refus de livrer les Mistral soit bénéfique pour François Hollande car « cela engendrerait une profonde crise dans les chantiers navals respectifs et la France devrait payer une amende, comme stipulé dans le contrat ».
http://www.lecourrierderussie.com/2014/07/ue-washington-moscou-sanctions/
SupprimerBien évidemment, la dictature bruxellowahingtonienne ne souffrira pas des sanctions qu'elle impose à son propre peuple ! les Dirigeants continuant d'être grassement payé par les contribuables.
Si de nouvelles sanctions de l'UE ont atteint secteur de l'énergie, la Russie peut fermer l'espace aérien - Medvedev
RépondreSupprimerSeptembre 08, 2014 11:56
Premier ministre Dmitri Medvedev a mis en garde que la Russie pourrait fermer ses couloirs aériens pour les compagnies aériennes occidentales si la prochaine série de sanctions européennes frappaient les compagnies énergétiques russes.
"S'il y a des sanctions liées au secteur de l'énergie, ou des restrictions supplémentaires sur le secteur financier de la Russie, nous devons répondre de manière asymétrique," a déclaré M. Medvedev dans une interview avec le journal Vedomosti, publié lundi.
Ministres de l'UE se réuniront lundi pour discuter de nouvelles sanctions contre la Russie et sont répandu pour être présenté mardi. Le Premier ministre a promis une riposte forte si l'Occident frappe la Russie avec plus de sanctions.
"Nous pourrions imposer des restrictions de transport," a déclaré M. Medvedev, ajoutant: "Nous croyons que nous avons des relations amicales avec nos partenaires, et les compagnies aériennes étrangères des pays amis sont autorisés à survoler la Russie. Cependant, nous devons répondre à toutes les restrictions imposées sur nous", a déclaré le Premier ministre.
Après les sanctions frappant la filiale low-cost d'Aeroflot Dobrolet à la fin de Juillet, M. Medvedev a discuté avec les ministres la possibilité de limiter, de même bloquer complètement, les vols européens vers l'Asie qui survolent la Russie.
"Si les transporteurs occidentaux doivent contourner l'espace aérien, ce qui pourrait conduire de nombreuses compagnies aériennes en difficulté à la faillite. Ce n'est pas le chemin à parcourir. Nous espérons seulement que nos partenaires s'en rendent compte à un moment donné ", a t-il dit Vedomosti.
Voler au-dessus de l'espace aérien russe enregistre compagnies occidentales dirigées vers l'Asie au moins 4 heures de temps de vol, ce qui ajoute à environ 30.000 dollars par vol.
Lufthansa a déclaré qu'il pourrait perdre plus de 1 Md € en trois mois si elle n'utilise pas l'espace aérien russe. Lufthansa, avec British Airways et Air France, sont les plus grandes compagnies aériennes de l'UE. Les compagnies aériennes américaines actuellement ne fonctionnent pas dans l'espace aérien de Sibérie.
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Beaucoup de compagnies low-cost ont décidé de ne pas lancer de nouvelles routes vers la Russie, avec la menace de sanctions peut-être un facteur. La semaine dernière, Ryanair a abandonné des plans pour établir un Dublin-St. Pétersbourg itinéraire, et easyJet, une autre compagnie aérienne basée en Europe, a abandonné son intention de développer un Londres-St. Service-Pétersbourg.
RépondreSupprimerMedvedev n'a pas précisé si l'espace aérien bloqué s'appliquerait également aux marchandises et de livraison des entreprises, comme UPS et FedEx.
Huile en jeu
Sanctions de l'UE, qui aurait être introduits mardi, seront interdire trois principaux huile entreprises- Rosneft, Gazprom Neft, et russe Transneft - d'élever à long terme (plus de 30 jours) la dette sur les marchés de capitaux européens, selon le Wall Street Journal et le Financial Times .
- voir liste des Cies aériennes qui survolent la Russie sur site -
(ex: Air France-KLM 249 vols/semaine, Lufthansa 220, etc)
Rosneft - le plus grand producteur de pétrole de la Russie - a été ajouté à la liste des sanctions des États-Unis le 16 Juillet et a été mis sur la liste de l'UE le 29 Juillet plus grand indépendant de gaz naturel producteur de Russie, Novatek, a également été ajoutée à la liste noire en Juillet, avec une interdiction sur l'exportation de matériel de salut-technologie huile nécessaire dans l'Arctique, la mer profonde, et les projets d'extraction de schiste à la Russie.
Gazprom Neft est la filiale pétrolière du géant gazier russe Gazprom.
Transneft est appartenant à l'Etat pipelines de pétrole de la compagnie de la Russie qui exporte du pétrole brut de Rosneft, et 56 pour cent des exportations de pétrole brut de la Russie.
Les sanctions seront probablement pas s'appliquer aux groupes pétroliers russes privées telles que Lukoil et Surgutneftegaz.
L'UE aurait également suivre l'exemple de l'Amérique sur l'interdiction de la vente d'armes de sociétés russes qui fournissent également l'armée russe, le WSJ rapporte dimanche. Le 16 Juillet, les États-Unis sur la liste noire de plusieurs entreprises du secteur de la défense comprennent Almaz Antey-Corporation, la préoccupation Kalachnikov et Instrument Design Bureau, ainsi que des sociétés telles que Izhmash, Basalte, et Uralvagonzavod.
«Les sanctions sont toujours une arme à double tranchant. En fin de compte, ils finissent par se retourner contre eux et finissent par nuire à ceux qui sont les premiers à imposer des restrictions ", a déclaré M. Medvedev.
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L'UE a accepté sur les nouvelles sanctions, mais ont dit qu'ils pourraient être retardés ou même annulés si la Russie montre la volonté de résoudre le conflit en Ukraine.
RépondreSupprimerLe vendredi Kiev a introduit un cessez-le feu pour calmer les combats entre les forces de l'armée et anti-gouvernement ukrainien, mais les combats et les bombardements poursuivi dans l'est du pays
http://rt.com/business/185924-sanctions-eu-oil-airspace-medvedev/
Mais pourquoi les médias français détestent-ils tant Vladimir Poutine ?
RépondreSupprimer8 septembre 2014
The French Saker
En 2013, il y a un an, les médias français ont agressé Vladimir Poutine, quand il a refusé de s’aligner sur Obama et Hollande. Les deux présidents voulaient abattre Bashar al Assad et nos médias ont repris le ton guerrier de notre ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius (lequel continue à exprimer ses regrets que les États-Unis n’aient pas frappé la Syrie). Ces mêmes médias n’arrêtent pas de débiter des stupidités au sujet des droits des homosexuels en Russie, ignorant totalement l’héritage culturel du pays. Ils ont refusé de reconnaître le succès des Jeux de Sotchi, tenant pour négligeable la satisfaction exprimée par les pays émergents, et par tous les athlètes européens qui y ont participé. Et depuis le début de l’année, ils ne cessent de chercher à porter la crise ukrainienne à son comble, exacerbant l’hostilité de « la France » à l’égard à la Russie en général, et à l’encontre de Poutine en particulier, poussant même ouvertement à la guerre comme récemment le journal Libération, avec sa Une choquante du 3 septembre dernier.
Or, cette hostilité affichée, ce n’est pas l’opinion des citoyens français, lesquels se partagent entre anti-Russes, pro-Russes et « n’a pas d’opinion ». Ce n’est que l’hostilité des médias, que ce soient les journaux (papier et en ligne), la télévision ou les stations de radio. Par exemple, des émissions comme le 7/9 de France Inter ou le 20 h de France 2 touchent des millions de personnes, et leur discours malveillant, répété tous les jours, tel un métronome, finit inévitablement par provoquer un début de phobie anti-russe.
Constamment, circulent des nouvelles à propos de convois militaires russes allant alimenter en armes et en hommes les rebelles de l’est, ou à propos de l’appui donné par la Russie à de prétendues exactions commises par ces derniers. Et à chaque fois, ces informations se révèlent fausses quelques jours plus tard. Mais aucun démenti, aucun article ne vient rectifier le tir initial. L’affaire du vol MH17 de la Malaysian airlines en est un autre exemple, dramatique : après avoir asséné d’innombrables articles accusateurs contre Poutine, nos médias se sont bien gardés de dire que la responsabilité en revenait de plus en plus clairement aux forces militaires ukrainiennes. Par ailleurs, les reportages auprès des populations ont longtemps montré des mères de famille éplorées d’Ukraine de l’ouest dénonçant les violences des séparatistes et proclamant leur amour indéfectible pour le régime de Kiev. C’est seulement très récemment que d’autres voix, venant du côté des séparatistes ont pu être entendues, et la plupart du temps via des médias alternatifs.
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Dans le même temps, personne n’a dénoncé les bombardements par l’armée ukrainienne de villes et de villages. Personne n’a fait remarquer que le nombre des victimes civiles en résultant dépassait de beaucoup celui des victimes du virus Ebola. Si des responsabilités sont à trouver pour ces faits, jamais nos média ne mettent en cause le gouvernement de Kiev, ses milices d’extrême droite et ses conseillers américains. C’est toujours, sans ambiguïté, la faute à… Vladimir Poutine, systématiquement accusé de vouloir reconstituer l’ancien Empire russe, de Vladivostok jusqu’à la Pologne et aux pays baltes.
RépondreSupprimerLe Kremlin a beau démentir tous les forfaits qui lui sont imputés, en apportant ses preuves, aucun média français ne rapporte ses propos, ni ne daigne examiner les preuves en question, les considérant a priori comme non dignes d’intérêt, et déniant leur existence aux lecteurs. La France, il est vrai, n’est pas seule coupable de cette désinformation. Progressivement, les médias de tous les pays européens, même en Allemagne, qui fut pourtant plus prudente au départ, ont repris un discours émanant directement de la presse américaine, comme le vérifient ceux qui se donnent la peine d’y aller voir, elle-même téléguidée par l’ensemble des intérêts économiques, financiers, militaires et politiques de Washington (cf. Pour approfondir).
La responsabilité du gouvernement Hollande
Ce propos nous conduit à rechercher les causes profondes de l’hostilité, sinon de la haine manifestées par nos médias à l’égard de Poutine. A priori, nos médias n’ont pas de raisons d’en vouloir au président russe, d’autant plus que beaucoup d’entre ces médias sont financés par des entreprises ayant, jusqu’aux « sanctions », fait de très bonnes affaires en Russie. C’est la position incroyablement anti-russe du gouvernement Hollande qui a joué, une position à peine inférieure en intensité à celle de Barack Obama. En France, les médias, notamment les chaines nationales, sont particulièrement soucieux de répercuter les positions du gouvernement, de quelque bord qu’il soit issu. Comme François Hollande et le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, inspirés par leur conseiller diplomatique Bernard Henri Levy, n’ont cessé de déclarer qu’il fallait en tous points s’opposer à Poutine, les médias ont suivi sans sourciller, tels des soldats au garde-à-vous.
Mais, en remontant encore plus haut à la recherche des causes profondes, il faut bien reconnaitre que le gouvernement français actuel, le plus soumis aux États-Unis de tous les gouvernements français jusqu’à nos jours, s’est montré, plus encore que le gouvernement de Londres, le poodle, le toutou, pour ne pas dire le petit télégraphiste de Washington. Or Washington est en guerre avec la Russie depuis 1945, et entend bien que ses toutous suivent en tous points son exemple.
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Un peu d’histoire
RépondreSupprimerDès la fin de la seconde guerre mondiale, les États-Unis ont entrepris d’abaisser l’URSS, dont ils avaient été formellement les alliés. Il y avait deux raisons à cela : la possession par l’URSS d’une force nucléaire presque équivalente à la leur, et l’existence d’un système économique où l’État jouait un rôle essentiel. Il leur fallait démontrer aux Européens, dont ils avaient décidé de se faire des alliés soumis, que, via l’Otan, l’Amérique pouvait les dispenser de tout effort de défense autonome, et que, via le libéralisme et la mondialisation, ces mêmes pays devaient se détourner de tout système de capitalisme d’État ou de simple dirigisme, afin de s’ouvrir à une croissance radieuse, autrement dit à l’invasion par les entreprises et la banque américaines.
La chute du communisme soviétique a résulté en grande partie des offensives menées sur tous les fronts, avec beaucoup d’habileté, par l’Amérique. Elle a été aussi la conséquence de la gestion déplorable du pays par les successeurs de Staline, notamment par Gorbatchev, pourtant présenté en Europe comme un grand dirigeant. Dans les premières années de la Russie non soviétique, les États-Unis ont cru avoir gagné la partie. Boris Eltsine se révélait incapable de rendre l’économie russe aussi performante que celle des grands pays européens. Il avait par ailleurs laissé prospérer une corruption généralisée et encouragé la privatisation de tout ce qui restait de l’économie soviétique, mettant le pays aux mains des oligarques.
Restait un souci pour Washington. Malgré la décadence rapide de ses forces conventionnelles, la Russie conservait un arsenal nucléaire d’une telle importance qu’elle pouvait détruire le monde… et l’Amérique avec, au cas où des tensions militaires dégénéreraient. Il fallait donc faire plus qu’affaiblir la Russie : la détruire complètement en tant qu’État organisé, de façon qu’il ne reste plus aucun décideur capable, si besoin était, d’« appuyer sur le bouton » de la bombe. L’entreprise de destruction douce se poursuivit donc pendant un certain temps, avec toutes les techniques dites de la softwar (guerre douce) : multiplication des Organisations non gouvernementales (ONG), dites droit-de-l’hommistes, envahissement par la publicité occidentale et par des biens de consommation non produits en Russie, et, bien entendu, corruption conduite à tous les niveaux de la société, par la diplomatie de la planche à billet dollar.
Les ressources « principielles » russes
L’affaire était en passe de réussir. Les Européens, notamment les Français, ne connaissaient plus de la Russie que des armées de « nouveaux riches » avides de dépenser des bénéfices mal gagnés dans les stations de sports d’hiver, les Casinos ou dans l’immobilier de luxe des quartiers chics parisiens. Il s’est trouvé cependant que la Russie avait gardé ce que Philippe Grasset (dedefensa.org) nomme des « ressources principielles » : un sens de la dignité, de l’honneur, de la patrie (la rodina), qui est aujourd’hui bien dégradé, sinon disparu en Occident.
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La pérestroika (restructuration) n’a pas été vécue par la Russie comme une défaite imposée par l’Occident. Les Russes y ont surtout vu, outre le rejet par eux-mêmes d’un système politico économique devenu aberrant, un retour aux valeurs profondes de leur tradition culturelle, assorti d’un retour, prudent mais indéniable, aux libertés civiles. Il y avait cependant une ombre au tableau, qui profitait aux oligarques, mais dont se plaignait la population en profondeur.
RépondreSupprimerDe 1991 à 1999, pendant près dix ans, les méthodes néo-libérales imposées par les nombreux conseillers américains ont provoqué un désastre, qui a failli ramener la Russie au niveau d’un pays du tiers-monde : marchandisation obligée des ressources économiques, multiplication des inégalités, renforcement d’une corruption déjà bien présente, envahissement de l’espace culturel et intellectuel par des films hollywoodiens imposant une vision du monde étrangère aux traditions russes.
Un réflexe sauveur
Vint cependant un réflexe émanant, pourrait-on dire, de la société toute entière, laquelle refusait de se laisser entrainer au désastre. Comme souvent en de telles circonstances (pensons à De Gaulle en 1940), apparut une sorte de sauveur. Ce fut Vladimir Poutine, soutenu par un pouvoir d’État jusqu’ici silencieux, qui ramena l’espoir. A l’Ouest, on lui a reproché d’être un ancien du KGB (le service de renseignement de l’URSS, l’équivalent de la CIA). Dans un sens, cette remarque est fondée, car c’est sur la tradition de ce corps, pour qui la notion de patriotisme avait encore un sens, que Poutine s’est appuyé. Il a ainsi pu rassembler à nouveau vers le pouvoir central (le Kremlin) les principaux leviers de commande du pays. Il a repris le contrôle des ressources naturelles avec Gazprom, et celui de l’industrie et de la banque. Il a réquisitionné les ressources volées par les oligarques, afin de rétablir les équilibres budgétaires. La Russie est désormais un pays faiblement endetté, et ce n’est pas seulement grâce aux exportations de pétrole et de gaz. L’État peut désormais investir dans des domaines stratégiques, comme l’espace et la défense. La recherche scientifique est repartie. Enfin, contrairement aux descriptions alarmistes faites par les Occidentaux, la natalité est de nouveau en croissance et l’état sanitaire de la population s’améliore régulièrement. Tous ces facteurs se conjuguent pour faire de Vladimir Poutine, en Europe, un chef d’État incroyablement populaire, et cela sans avoir besoin de manipuler l’opinion publique, comme ce fut longtemps le cas sous le régime communiste.
L’ennemi à abattre : la Russie
De ces réussites, il s’ensuit que la Russie, vue notamment par les stratèges de Washington, est redevenue un concurrent redoutable, de fait l’ennemi à abattre. Son économie, dirigée globalement par l’État, semble à même, bien mieux que désormais l’économie américaine et celle de l’Occident en général, de maîtriser les crises qui s’annoncent. Par ailleurs, la Russie est restée une grande puissance nucléaire, dotée par ailleurs d’armements conventionnels en voie de modernisation rapide.
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Si la Russie m’avait été contée favorablement…
RépondreSupprimerForte de cette renaissance, la Russie aurait volontiers accru ses échanges avec les pays de l’Union européenne, pour le plus grand bénéfice de tous. L’Allemagne était déjà considérée comme un partenaire institutionnel. Ce rôle se serait renforcé, et pas seulement dans le domaine du gaz. La France avait noué d’importantes relations industrielles et commerciales avec des alter ego russes. Un rapprochement civilisationnel s’esquissait par ailleurs, la Russie, tout en devenant une grande puissance asiatique, retrouvait sa place de grande puissance européenne. Quant aux sentiments de la population française à l’égard de la population russe, loin d’être faits de peur et de replis, comme le prétendent nos médias, ils retrouvaient une tradition historique faite d’amitié et d’échanges.
C’en était trop pour Washington
Il fallait à Washington, absolument, en s’appuyant sur les gouvernements irresponsables de l’Europe de l’est, Pologne et pays baltes en tête, mettre en place, non seulement une nouvelle Guerre froide, mais même un quasi-état de guerre, justifiant que l’Amérique mobilise, non pas ses propres moyens (devenus rares), mais ceux des pays de l’Otan. A cette fin, l’affaire de l’Ukraine a été délibérément dramatisée par l’Amérique, par sa diplomatie du dollar et par ses forces spéciales. Ce qui aurait dû n’être qu’une difficulté politique momentanée, se réglant par une fédéralisation conviviale de l’Ukraine et par l’acquisition par ce pays du rôle enviable de pont entre l’est et l’ouest, a finalement été transformé, sous la pression américaine, en une véritable guerre civile, amenant le monde aux frontières d’une guerre nucléaire, tout en ruinant le peuple ukrainien (ce qui est le dernier des soucis de l’Amérique).
L’Europe perdante sur tous les tableaux
Or, comme nous l’avons rappelé, le gouvernement français, qui aurait dû prendre la tête des pays européens en faveur de ce qui aurait pu devenir une nouvelle Eurasie, de l’Atlantique à l’Oural, a décidé de devenir le plus docile de tous les caniches européens promenés en laisse par l’Oncle Sam. L’histoire pourra s’interroger sur les raisons de ce comportement suicidaire. Nous pensons pour notre part, sans évidemment pouvoir le prouver, que l’Amérique a acheté en France les complicités dont elle avait besoin, à tous les niveaux nécessaires. Le Système qu’elle représente sait comment recruter des appuis.
Il en est résulté que Vladimir Poutine a renoncé à se faire « aimer », si l’on peut dire, par les Européens. La presse française, pour sa part, s’en est réjouie, comme nous l’avons souligné au début de cet article. Le diable sortait enfin de sa boite. Un néo-anticommunisme, devenu du Poutine-bashing, reprenait ses droits. Mais la France, et plus largement l’Europe, ne gagneront rien à ce retrait d’une Russie profondément déçue par elles.
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Adieu à l’euroBRICS
RépondreSupprimerLa Russie, comme nous et d’autres l’avons abondamment souligné précédemment sur vineyardsaker.fr, s’est retournée, malgré les difficultés, vers la Chine et les autres pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Elle a poussé à la mise en place d’un fonds monétaire international alternatif, ainsi que de grands projets communs et bientôt d’une nouvelle monnaie capable de détrôner le dollar de la position royale que notre docilité lui a permis d’acquérir. L’euro, qui aurait pu jouer un rôle majeur dans la construction de ce nouvel équilibre, restera donc ce qu’il est aujourd’hui : un instrument affaibli par la crise, auquel l’Allemagne et, derrière elle, la Banque Fédérale américaine, refusent tous moyens pour contribuer aux investissements productifs, dont l’Europe a tant besoin. Quant au concept d’euroBRICS, que, avec d’autres bons esprits meilleurs que nous, nous avions fortement soutenu ici, il est renvoyé aux calendes grecques. Washington pourra remercier l’Élysée et le Quai d’Orsay de leurs fidèles services.
Jean-Paul Baquiast
http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/08/les-medias-francais-detestent-tant-vladimir-poutine/
Savez vous qu'en abaissant la vitesse sur les routes et multipliant les contrôles cela créé des bouchons ? Bouchons salutaires qui permettent au gouvernement de parler, parler et reparler à la radio écoutée par les automobilistes ? Automobilistes pris au piège/pris en otage par la dictature.
SupprimerPourquoi font-ils chier le monde tous les jours avec 'des travaux routiers entrepris aux heures de pointe' !
Voilà pourquoi l'Europe vient de lancer le «option nucléaire» contre la Russie
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 08/09/2014 10:11 -0400
Les dirigeants européens, nous supposons sous la pression de Washington, semblent faire un gros pari liée aux conditions météorologiques avec la vie de leurs contribuables cet hiver. Comme ils lâchent sanctions de financement sur les producteurs d'énergie de gros de la Russie, l'Europe a injecté un volume record de gaz naturel en stocks souterrains dans un effort pour «Outlast Russie et atténuer tout scénario napoléonienne "Guerre d'Hiver". Le plan semble être de priver les entreprises énergétiques russes de flux de trésorerie - comme les flux vers l'Europe sont déjà plongeant - et de supprimer leur capacité de financement, ce qui pourrait forcer de graves difficultés sur principaux moteurs économiques de la Russie. Il semble y avoir trois problèmes potentiels avec ce plan ...
Comme le rapporte Bloomberg,
La dépendance de l'Europe sur la Russie livraisons de gaz naturel via l'Ukraine est en baisse après la région pompé un volume record de l'essence dans les stocks souterrains, ce qui minimise le risque de pénurie pendant l'hiver à venir.
- voir graphiques sur site -
La ligne bleue ci-dessus montre les débits moyens quotidiens de Velke Kapusany à la frontière slovaque et l'Ukraine, le plus grand point d'entrée unique pour le gaz russe à l'Union européenne, le mois dernier a chuté à un niveau record, selon les données de l'exploitant du réseau slovaque Eustream AS remontant à 2011. L'histogramme rouge représente le bloc de 28 pays a pompé un volume record de gaz dans le stockage, selon Gas Infrastructure Europe, un groupe de pression à Bruxelles.
Flux de gaz naturel en provenance de Russie auprès de l'UE n'ont pas été touchés dans la crise actuelle. Les sites de stockage en Slovaquie, qui ont dû chercher des importations d'urgence après ses fournitures ont été supprimés en 2009, était de 92 pour cent complet, le 4 septembre, selon Gas Infrastructure Europe.
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L'Europe est Stocking-up - qui prend tout son sens - juste au cas où la Russie tire la chasse ... mais a maintenant pris la situation de "11" sur l'amplificateur de Spinal Tap de l'escalade des tensions par des sanctions de planification sur les fournisseurs d'énergie de la Russie.
RépondreSupprimerLe plan semble clair:
actions jusqu'à maintenant (à survivre à l'hiver) ...
affamer les entreprises russes de flux de trésorerie (merci aux stocks) ...
leur couper la source de financement (des sanctions) ...
forcer l'économie de Poutine en chute libre ...
Poutine se plie et tout se termine heureusement jamais après
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Il semble y avoir trois problèmes avec ce plan ...
1) Que faire si le temps est beaucoup plus froid que la normale cet hiver? (C'est à dire qu'ils ont besoin de plus d'alimentation)
Il apparaît déjà comme si le modèle El Nino en développement peut dire sensiblement plus froid météo cet hiver ...
Base centrale El Nino semblent être associés avec des hivers européens beaucoup plus froides que orientale à partir de El Nino. Les anomalies de température sortent sur 2-3C moyenne plus froid que l'hiver européen "normal" .
Avec une prévision fondée central El Nino pour l'hiver 2014/2015 cela suggère une chance de certains froid brutal déplacer une grande partie de l'Europe centrale et du nord au temps cet hiver.
- voir carte des températures sur site -
Pour le Royaume-Uni et de l'Irlande une centrale El Nino base ne propose plus froid que la moyenne hivernale ainsi - En raison de la proximité de l'océan Atlantique l'anomalie négative est beaucoup moins extrême pour la Grande-Bretagne que pour l'Europe centrale et la Russie. Néanmoins, avec la température venir anomalie sur 1c plus froid que la moyenne, le Royaume-Uni aurait encore plus de chance d'un hiver plus froid que la moyenne de l'Est El Nino base.
2) La Russie a déjà engagé à soutenir les entreprises sanctionnées (et nous ne serait guère surpris si la Chine ébréché dedans)
Le gouvernement russe, selon Bloomberg, est prêt à fournir 1,5 milliards de roubles de financement à Rosneft pour soutenir la production au niveau actuel, le Premier ministre Dmitri Medvedev affirme dans une interview Vedomosti.
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Détails, les mesures de soutien sont à l'étude
RépondreSupprimerSoutien ne serait pas dans un an; nécessaire pour soutenir la production, car Rosneft est contribuable principal le budget
et en outre, Gazprom semble être le financement rapidement avant que les sanctions soient effectivement mis en place ...
Comme le rapporte Bloomberg, les banques européennes peuvent organiser de nouveaux emprunts pour Gazprom, rapporte Interfax, citant des personnes proches qu'il n'identifie pas.
Le conseil d'administration de la société d'envisager des prêts 23 septembre a pas encore de détails, les rapports de service de nouvelles
Porte-parole de Gazprom Sergueï Kupriyanov a refusé de commenter lorsqu'il est atteint par Bloomberg
3) Qu'est-ce qui se passe au printemps ? Industriels allemands ont besoin d'énergie?
Il semble que Poutine est un homme patient ... pourquoi ne pas attendre jusqu'à ce que les stocks ont diminué, l'hiver est fini, et puis appuyez sur ...?
* * *
Il semble que le plan à court terme de l'Europe afin d'atténuer la «guerre d'hiver» peut avoir de plus grandes conséquences de boomerag qu'ils semblent croire (et garder à l'esprit les conséquences de froid, énervé Européens dans le passé ).
* * *
Nous rappelons que les sanctions prévues sont sur Gazprom Neft sera sanctionné (pas la nat entité de gaz de Gazprom) que l'Europe semble se concentrer sur le côté du pétrole brut de choses pour l'instant.
Comme le rapporte WSJ,
Nouvelles sanctions de l'Union européenne sur la Russie d'augmenter le nombre d'entreprises russes incapables de lever des fonds sur les marchés de capitaux du bloc d'inclure trois compagnies pétrolières appartenant à l'Etat, selon des documents vus par le Wall Street Journal.
Les documents montrent l'UE cherche à frapper les compagnies pétrolières russes, mais en laissant indemne ceux qui sont impliqués dans la production de gaz et d'exportation, qui sont essentiels pour l'approvisionnement énergétique de nombreux pays européens.
...
Cadre d'une expansion modeste de sanctions mis en place à la fin de Juillet, les trois compagnies pétrolières - Gazpromneft, la production pétrolière et le raffinage filiale de OAO Gazprom, la société de transport de pétrole Transneft, et le géant pétrolier Rosneft - seront interdits à partir de la collecte de fonds de plus de 30 jours «maturité.
* * *
Donc jab à des compagnies pétrolières, et d'atténuer restriction blowback de gaz naturel ?
http://www.zerohedge.com/news/2014-09-08/here-why-europe-just-launched-nuclear-option-against-russia
L'Otan entend interdire à la Russie et à la Chine de se développer
RépondreSupprimerThierry Meyssan
Réseau Voltaire
lun., 08 sept. 2014 09:22 CDT
Le fastueux sommet de l'Otan à Newport n'a pas accouché publiquement des grandes décisions annoncées, mais il est probable qu'elles ont été prises en secret. Pour empêcher la Russie et la Chine - mais aussi l'Inde - de poursuivre leur développement, l'Otan peut compter sur le terrorisme de l'Émirat islamique qu'il feint de condamner et de combattre.
Le sommet de Newport (Pays de Galles) est le plus important de l'Otan depuis celui de Prague en 2002. À l'époque, il s'agissait d'inclure de nouveaux États d'Europe centrale et orientale au sein de l'Alliance. Cette fois, il s'agit de planifier une stratégie à long terme pour contenir le développement de la Russie et de la Chine de sorte qu'ils ne puissent rivaliser avec les États-Unis [1].
Tout ce qui touche à l'Otan est sujet à polémique. En effet, elle n'a cessé, depuis sa création, en 1949, de manipuler les faits pour se présenter comme une alliance défensive face à l'expansionnisme soviétique, alors que c'est le Pacte de Varsovie, créé six ans plus tard, en 1955, qui visait à défendre les États socialistes face à l'impérialisme anglo-saxon (et non l'inverse).
En outre, contrairement à sa dénomination, l'Otan n'est pas une alliance entre égaux, mais la vassalisation des armées partenaires par les États-Unis et le Royaume-Uni. En effet, toutes les armées membres de cette prétendue « alliance » sont placées sous le commandement d'un unique officier états-unien - par ailleurs commandant des forces US en Europe - , tandis que le service secret de l'Otan, le « Gladio », sous l'autorité conjointe de Washington et de Londres, veille à ce que jamais des anti-impérialistes n'arrivent au pouvoir dans les autres États membres [2]. Pour ce faire, l'Otan n'a lésiné ni sur les assassinats politiques, ni même sur les coups d'État (en France [3], en Italie, en Grèce, à Chypre et en Turquie).
Cette vassalisation contrevient aux principes de la Charte des Nations unies, puisque les États membres perdent l'indépendance de leur politique étrangère et de Défense. Elle fut mise en cause par l'Union soviétique, puis par le président Charles De Gaulle qui, après avoir affronté une quarantaine de tentatives d'assassinat par l'OAS financée par l'Otan et s'être fait réélire, annonça le retrait immédiat de la France du commandement intégré et le renvoi des 64 000 soldats et employés administratifs de l'Otan hors du territoire français.
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Cette page d'indépendance française cessa avec l'élection de Jacques Chirac qui, quelques mois après son arrivée à l'Élysée, réintégra la France au sein du Conseil des ministres et du Comité militaire de l'Alliance. Elle se termina définitivement avec le retour de l'armée française sous commandement états-unien, décidé par Nicolas Sarkozy, en 2009.
RépondreSupprimerEnfin la vassalisation des États membres s'est poursuivie avec la création de nombreuses institutions civiles, dont la principale et la plus efficace est l'Union européenne. Contrairement à une idée répandue, l'Union actuelle n'a pas grand-chose à voir avec l'idéal d'unité européenne, mais a pour vocation de fixer les membres de l'Otan hors de l'influence soviétique, puis russe, conformément aux clauses secrètes du Plan Marshall. Il s'agit donc de diviser l'Europe en deux blocs. Ce n'est donc pas un hasard si les bureaux de l'Otan et ceux de l'Exécutif européen sont principalement situés à Bruxelles et secondairement au Luxembourg. Et c'est pour permettre le contrôle de l'Union par les Anglo-Saxons que celle-ci s'est dotée d'une étrange Commission dont la principale activité est de présenter des « propositions » économiques ou politiques, toutes prédéfinies par l'Otan. On ignore souvent que l'Alliance n'est pas simplement un pacte militaire, mais qu'elle intervient dans le domaine économique. D'abord l'Otan est le premier client de l'industrie de Défense en Europe, puis elle détermine des normes pour ses appels d'offre, c'est-à-dire pour tout ce qui concerne la vie quotidienne de ses soldats. Ce sont ces normes qui sont proposées par la Commission, puis adoptées par le Parlement européen.
Actuellement les trois quarts du budget de l'Otan sont assurés par les seuls États-Unis.
L'avenir du projet impérialiste anglo-saxon
Depuis le coup d'État de 2001 [4], les États-Unis envisagent une confrontation avec la Chine. Dans cette perspective, le président Barack Obama a annoncé le repositionnement de ses forces en Extrême-Orient. Cependant, cet agenda a été perturbé par le redressement économique, politique et militaire de la Russie, qui s'est montrée capable, en 2008, de défendre l'Ossétie du Sud attaquée par la Géorgie et, en 2014, la Crimée menacée par les putschistes de Kiev.
Par ailleurs, le projet du « bouclier anti-missiles » a été abandonné. Présenté comme un système de protection face à des missiles iraniens, ce « bouclier » était en réalité un système offensif déployé alentour de la Russie pour la paralyser. Un simple coup d'œil sur une mappemonde permet de constater que des missiles iraniens, s'ils devaient être tirés sur les États-Unis, ne passeraient pas au-dessus de l'Europe centrale, mais par le plus court chemin : le pôle nord. Après avoir miné durant une décennie les relations entre Washington et Moscou, le projet est abandonné car il s'avère techniquement impossible de détruire en vol des missiles russes intercontinentaux de dernière génération. Du coup, c'est le principe même de la « dissuasion nucléaire » qui est abandonné face à la Russie, même s'il reste pertinent pour d'autres États.
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Tout en effectuant son « pivot vers l'Asie », Washington a exacerbé les tensions entre la Chine et ses voisins, particulièrement le Japon. L'Otan, qui historiquement vassalise l'Europe à l'Amérique du Nord, s'est donc ouverte à des partenaires asiatiques et océaniques, notamment l'Australie et le Japon, à travers des contrats d'association. En passant, elle a élargi son champ d'action à l'ensemble du globe [5].
RépondreSupprimerEn cette période de restrictions budgétaires, l'Alliance, qui ne connaît pas la crise, se fait construire un nouveau siège social, à Bruxelles, pour la somme faramineuse d'1 milliard d'euros. Il devrait être livré début 2017 [6].
La question de l'Émirat islamique
À la préoccupation d'empêcher la Chine et la Russie de contrôler assez de matières premières pour être en capacité de rivaliser avec les États-Unis, s'est ajoutée durant l'été la question de l'Émirat islamique.
Une intense campagne de presse a diabolisé cette organisation jihadiste, dont les crimes ne sont pas nouveaux, mais qui vient de s'en prendre à la population irakienne. Nous avons maintes fois expliqué que l'ÉI est une création occidentale et que, malgré les apparences, son action en Irak est parfaitement conforme au plan US de diviser ce pays en trois États distincts [7]. Pour réaliser un projet qui constitue un crime contre l'humanité parce qu'il suppose un nettoyage ethnique, Washington a eu recours à une armée privée qu'il se doit de condamner publiquement tandis qu'il la soutient en sous-main.
Les États-Unis auraient pris la mesure du danger islamiste après que l'ÉI eut égorgé deux de leurs ressortissants, les journalistes James Foley et Steven Sotloff. Cependant, un examen attentif des vidéos [8] laisse à penser qu'elles ne sont pas authentiques. Le problème s'était déjà posé avec l'ÉI lorsqu'il était sensé avoir égorgé, en 2004, Nick Berg [9].
Nous avons également souvent souligné que l'ÉI se distinguait des groupes jihadistes précédents à la fois par son service de communication et par ses administrateurs civils, capables de gérer les territoires conquis. Il s'agit donc d'un groupe appelé à durer. Ainsi que l'a montré Alfredo Jalife-Rahme, le Califat, même s'il agit actuellement principalement en Syrie et en Irak, a été conçu pour porter le fer à long terme contre la Russie, l'Inde et la Chine [10].
La question de l'Émirat islamique n'avait donc pas à être ajoutée à l'ordre du jour anti-Russes et anti-Chinois, elle en faisait partie. Au demeurant, ne souhaitant pas risquer de voir un État membre exprimer ses doutes sur cette mascarade, Washington a déplacé le débat en marge du sommet. Le président Obama a réunit 8 autres États, plus l'Australie (qui n'est pas membre de l'Otan, mais seulement associée) pour mettre au point son plan de guerre. Il a ultérieurement été décidé d'associer la Jordanie à ce dispositif.
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RépondreSupprimerLes conclusions du sommet
Le sommet a expédié en une brève matinée la question de sa longue présence en Afghanistan. Certes, l'Otan retirera comme prévu ses troupes combattantes en fin d'année, mais elle conservera le contrôle de l'armée afghane et de la sécurité du pays. Le sommet s'est même payé le luxe d'appeler les deux candidats à la présidentielle afghane à prendre l'engagement de signer sans plus tarder les exigences d'immunité pénale des États-Unis, alors que cette élection est organisée et dépouillée par les forces états-uniennes. Dès lors, le candidat qui ne répondrait pas à cet appel ne devrait pas s'étonner de ne pas être considéré comme élu.
Comme on brandit une cape rouge pour énerver un taureau, le sommet a décidé d'étendre le contrôle de l'Otan sur la partie orientale de l'Europe (dont l'Ukraine), question de voir ce que sera la réaction russe. Mais il n'a pas été plus loin. L'Acte fondateur Otan-Russie n'a pas été révoqué et l'Ukraine n'a pas été intégrée à l'Alliance. Chacun a préféré évoquer un possible cessez-le-feu entre Kiev et le Donbass.
En outre, le sommet a doté l'Alliance de deux nouveaux outils : un service de cyber-guerre pour contrer les hackers militaires chinois, et une Force d'intervention rapide de 4 000 hommes, issus de 7 pays et placés sous commandement britannique. Enfin, le sommet a ouvert la procédure d'adhésion du Monténégro et a, bien sûr, enjoint les États membres à développer leurs dépenses militaires.
Quelques remarques
Malgré les imputations du gouvernement ukrainien - selon qui la Russie aurait envahit son pays... mais avec seulement 1 000 hommes que personne n'a vus, ainsi que le note Giulietto Chiesa [11] - , le sommet n'a pas décidé d'entrer en guerre contre Moscou et s'est contenté d'une mesure symbolique. On ne comprend donc pas pourquoi tant de fastes ont été déployés à Newport.
À moins que les choses importantes aient été décidées à huis clos, lors de la réunion des chef d'État du vendredi 5 septembre, il ne semble pas que les guerres secrètes aient été évoquées lors du sommet, mais uniquement en marge du sommet avec certains alliés uniquement. Déjà, en 2011, l'Otan avait violé ses propres statuts en ne réunissant pas le Conseil atlantique avant de bombarder Tripoli. Il semblait en effet impossible que tous acceptent de se livrer à une telle boucherie. Les États-Unis et le Royaume-Uni réunirent donc en secret la France, l'Italie et la Turquie à Naples pour planifier une attaque qui fit au moins 40 000 morts civils en une semaine.
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Le communiqué final est d'une rare hypocrisie [12] : la crise ukrainienne est traitée comme une agression russe, sans jamais faire mention du coup d'État de la place Maidan, ni de l'installation d'un gouvernement incluant des nazis. La crise syrienne est présentée comme un conflit entre « une opposition modérée qui protège les minorités » et, à la fois, la « tyrannie du régime de Bachar el-Assad » et « des groupes extrémistes », sans jamais faire mention de ce que le régime syrien est une République alors que l'opposition modérée est rémunérée par les dictatures du Golfe, ni que la crise a été ouverte par une guerre secrète franco-britannique conformément aux annexes du Traité de Lancaster House, ni que le président el-Assad vient d'être réélu par 63 % du corps électoral, et alors que la République arabe syrienne est la seule à avoir protégé non seulement les minorités, mais tous ses citoyens, incluant la majorité sunnite. Avec cynisme, le communiqué prétend que l'Alliance a protégé le peuple libyen, conformément aux résolutions 1970 et 1973, alors qu'il a utilisé ces résolutions pour changer le régime en tuant 160 000 Libyens et en plongeant le pays dans le chaos.
RépondreSupprimerCependant, en définitive, au cours des dernières années, l'Otan est parvenue à ses fins en Afghanistan, en Irak, en Libye et au Nord-Est de la Syrie, c'est-à-dire uniquement et exclusivement dans des pays ou des régions organisées en sociétés tribales. Elle ne semble donc pas apte à entrer en conflit direct avec la Russie et la Chine.
Notes :
[1] « Le sommet de l'Otan : guerre sur deux fronts », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 4 septembre 2014.
[2] Lire Les armées secrètes de l'Otan, par le professeur Daniele Ganser, disponible en épisode sur Réseau Voltaire.
[3] Sur les coups d'État de 1958 et de 1961, on se reportera à (1) « Quand le stay-behind portait De Gaulle au pouvoir » et (2) « Quand le stay-behind voulait remplacer De Gaulle », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 27 août et 10 septembre 2001.
[4] Nous rappelons que le 11 Septembre 2001, pendant que le monde était hypnotisé par des attentats à New York et Washington, le président George W. Bush fut illégalement démis de ses fonctions en vertu du programme de « continuité du gouvernement ». Il ne les retrouva qu'en fin de journée, après que son pays ait profondément modifié sa politique étrangère et de Défense. Durant cette journée, tous les membres du Congrès et leurs équipes furent placés par l'autorité militaire en résidence surveillée au Greenbrier complex (Virginie occidentale) et à Mount Weather (Virginie).
[5] « Otan, offensive mondiale », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 29 juillet 2014.
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[6] « 1 milliard d'euros pour le nouveau siège de l'Otan », Réseau Voltaire, 29 janvier 2014.
RépondreSupprimer[7] Voir notamment (1) « Le "Kurdistan", version israélienne », ; (2) « John McCain, le chef d'orchestre du "printemps arabe", et le Calife » ; (3) « Le grand retournement saoudien », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 1er juillet, 18 août et 1er septembre 2014,
[8] « Foley video with Briton was staged, experts say », Deborah Haynes, The Times, 24 août 2014 ; « Foley murder video 'may have been staged' », Bill Gardner, The Daily Telegraph, 25 août 2014. Et sur l'identité de Sotloff, voir : « Le journaliste décapité était un Israélien formé dans une antenne du Mossad », par Hicham Hamza, Panamza, 3 septembre 2014.
[9] « L'affaire Nicholas Berg », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 mai 2004.
[10] « Un djihad mondial contre les BRICS ? », par Alfredo Jalife-Rahme, Traduction Arnaud Bréart, La Jornada (México), Réseau Voltaire, 18 juillet 2014.
[11] « En Ukraine, les menteurs paniquent », par Giulietto Chiesa, Megachip (Italie), Réseau Voltaire, 3 septembre 2014.
[12] « Déclaration finale du sommet de l'Otan », Réseau Voltaire, 5 septembre 2014.
http://fr.sott.net/article/23030-L-Otan-entend-interdire-a-la-Russie-et-a-la-Chine-de-se-developper
La Chine de devenir la plus grande économie mondiale en 2024: IHS
RépondreSupprimerXinhua
08/09/2014
La Chine deviendra la plus grande économie du monde en 2024, comme devrait presque quadrupler de 2013 à 2024 les dépenses des consommateurs du pays, a déclaré IHS, une société mondiale de données et d'analyses industrielles, vendredi à Londres.
Prévisions IHS dans un communiqué de presse qui en 2024, avec un produit prévu nominal intérieur brut (PIB) de US $ 28,25 trillions, la Chine dépassera les États-Unis $ 27.310.000.000.000, devenir la plus grande économie dans le monde.
La part de la Chine dans le PIB mondial devrait augmenter d'environ 12% en 2013 à 20% en 2025, a déclaré la société aux États-Unis Colorado,.
«Au cours des 10 prochaines années, l'économie chinoise devrait rééquilibrer vers une croissance plus rapide de la consommation, ce qui aidera à la structure de l'économie nationale ainsi que la croissance de l'Asie-Pacifique comme une région", a déclaré Rajiv Biswas, Asie chef économiste chez IHS.
Dans les dix années à 2024, les dépenses de consommation chinoise devrait croître à un taux annuel moyen de 7,7% par an en termes réels, de devenir un des principaux moteurs de la demande des consommateurs mondiale et la croissance mondiale, a déclaré IHS. En un mot, le total des dépenses des consommateurs chinois va croître dans les environ trois billions de yuans (488,3 actuelles milliards de dollars US) à 11 milliards de yuans (US $ 1,79 trillions) d'ici 2024.
"Prochaine réunion du Forum économique mondial de nouveaux champions à Tianjin, en Chine, mettra l'accent sur la science, la technologie et l'innovation», a déclaré Biswas.
«Ce sont quelques-uns des secteurs clés qui seront cruciales pour aider à transformer l'économie de la Chine à l'économie axée sur l'exportation fabrication à faible coût des trois dernières décennies en une économie à valeur ajoutée plus élevée, tirée par la demande de consommation intérieure", a t-il dit .
En Avril, cependant, le Programme de comparaison internationale a déclaré dans un communiqué que la Chine est en passe de supplanter les États-Unis en tant que plus grande économie du monde plus tôt que prévu, peut-être dès cette année, en utilisant des calculs qui sont basés sur ce qu'on appelle parité pouvoir d'achat ( PPP).
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?cid=1102&MainCatID=11&id=20140908000108
Washington, OTAN, UE en mode folie furieuse
RépondreSupprimerPaul Craig Roberts
dim., 07 sept. 2014 08:18 CDT
Herbert E. Meyer, un dingue qui fut pendant un temps assistant spécial du directeur de la CIA sous l'administration Reagan, a écrit un article appelant à l'assassinat du président russe Vladimir Poutine. Si nous pouvions "le faire partir du Kremlin les deux pieds devant avec un trou derrière la tête, ce serait bien pour nous".Comme l'illustre très bien ce fou de Meyer, la folie que Washington a déversé sur le monde ne connaît plus de retenue. Jose Manuel Barroso, une marionnette de Washington installée comme président de la Commission, a déformé les propos issus de sa récente conversation téléphonique confidentielle avec le président Poutine en déclarant aux médias que Poutine avait fait des menaces : "Si je veux, je peux prendre Kiev dans deux semaines."
De toute évidence, Poutine n'a pas émis de menace. Une menace serait incompatible avec l'approche diplomatique de Poutine face à la menace stratégique que Washington et ses marionnettes de l'OTAN font peser sur la Russie en Ukraine. Représentant permanent de la Russie auprès de l'UE, Vladimir Chizhov, a déclaré que si Barroso maintenait son mensonge, la Russie rendrait public l'enregistrement complet de leur conversation.
Quiconque est familier avec la disparité entre les armées russes et ukrainiennes sait très bien qu'il faudrait à l'armée russe seulement 14 heures et non 14 jours, pour prendre la totalité de l'Ukraine. Rappelez-vous ce qui s'est passé avec l'armée géorgienne, entraînée et équipée par les États-Unis et Israël, lorsque Washington a mis ses stupides marionnettes géorgiennes en Ossétie du Sud. L'armée géorgienne, soutenue par les États-Unis et Israël s'est effondrée devant la contre-attaque russe en 5 heures.
Le mensonge que la marionnette de Washington, Barroso, a fait n'est pas digne d'une personne sérieuse. Mais où y a-t-il en Europe, une personne sérieuse au pouvoir ? Nul part. Les quelques personnes sérieuses sont loin du pouvoir. Considérons le Secrétaire général de l'OTAN, Anders Rasmussen. Il a été premier ministre du Danemark et a vu qu'il pouvait s'élever au-delà du Danemark sur la scène internationale en servant de marionnette pour Washington. En tant que premier ministre, il a fortement soutenu l'invasion illégale de l'Irak par Washington, en déclarant que "nous savons que Saddam Hussein possède des armes de destruction massive." Bien sûr, ce fou n'était nullement au courant de telle chose, et d'ailleurs pourquoi cela poserait problème si l'Irak possédait de telles armes. Beaucoup de pays possèdent des armes de destruction massive.
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Selon la règle selon laquelle toute personne qui sert de Washington est valorisée, le numéro Rasmussen a été promu.
RépondreSupprimerLe problème avec l'élévation des imbéciles sans scrupules, c'est qu'ils sacrifient le sort du monde pour leur carrière. Rasmussen a mis à présent l'ensemble de l'Europe orientale et occidentale au bord de l'anéantissement. Rasmussen a annoncé la création d'une force qui constituerait un fer de lance capable de mener une guerre éclair (Blitzkrieg) contre la Russie. Ce que la marionnette de Washington appelle « le plan de préparation de l'action » est justifiée comme une réponse à "un comportement agressif de la Russie en Ukraine."
"Le fer de lance de la force" de Rasmussen serait anéanti avec chaque capitale européenne. Quel genre d'idiot provoquerait une superpuissance nucléaire de cette façon ?
Rasmussen dénonce le "comportement agressif de la Russie", mais n'a aucune preuve de ce qu'il avance. La Russie s'est tenue sur la touche alors que gouvernement fantoche de Washington à Kiev a bombardé et attaqué des logements civils, des hôpitaux, des écoles et émis un flux constant de mensonges contre la Russie. La Russie a rejeté les demandes des provinces nouvellement indépendantes de l'est et du sud de l'Ukraine, les anciens territoires russes, d'être réunies avec la Russie. Comme les lecteurs le savent, je considère la décision de Poutine comme une erreur, mais les événements pourraient me prouver le contraire et je serai prêt à l'accepter. Pour l'instant, le fait est que tout acte de comportement agressif est le résultat de l'appui des États-Unis, de l'UE et des nazis à Kiev. Ce sont les milices nazis ukrainiennes qui attaquent des civils dans les anciens territoires russes de l'est et du sud de l'Ukraine. Un certain nombre d'unités militaires ukrainiennes ont régulièrement fait défection dans les républiques indépendantes.
Oui, les nazis. L'Ouest de l'Ukraine fut la maison-mère de la division SS ukrainienne qui combattit pour Hitler. Aujourd'hui, les milices organisées par le Secteur Droit et d'autres organisations politiques de droite portent l'insigne nazi des divisions SS ukrainiennes. Ce sont les gens que Washington et l'UE soutiennent. Si les nazis ukrainiens pouvaient gagner contre la Russie, ce qu'ils ne peuvent pas, ils se tourneraient vers l'Occident, tout comme l'a fait l'armée islamiste de l'EIIL (Etat Islamique d'Irak, de Syrie et du Levant) financée par Washington qui a déclenché la guerre en Libye et en Syrie. Maintenant l'EIIL est en train de participer au remodelage du Moyen-Orient, et Washington semble impuissante.
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William Binney, un ancien haut fonctionnaire de la National Security Agency (NSA) des États-Unis, et ses collègues de la CIA et des services de renseignement militaire ont écrit à la chancelière allemande Angela Merkel en lui conseillant de se méfier des mensonges d'Obama au prochain sommet de l'OTAN au Pays de Galles. Les responsables du renseignement états-unien conseillent à Merkel de se remémorer de l'histoire "des armes de destruction massive" de l'Irak et de ne pas être à nouveau trompée, cette fois-ci dans le cadre du conflit avec la Russie.
RépondreSupprimerLa question est : qui Merkel représente-t-elle ? Washington ou l'Allemagne ? Jusqu'à présent, Merkel a représenté Washington plutôt que les intérêts économiques allemands, et non le peuple allemand pas plus que les intérêts de l'Allemagne en tant que pays. Voici l'exemple d'une manifestation à Dresde où une foule s'oppose au discours de Mme Merkel aux cris de "kriegstreiber" (fauteur de guerre), "menteur, menteur," et "pas de guerre avec la Russie." (voir la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=-wSMhGE_Mpk).
Lors de mon doctorat, mon directeur de thèse, qui est devenu un haut fonctionnaire du Pentagone assigné à la tâche de mettre un terme à la guerre du Vietnam, en réponse à ma question sur la façon dont Washington a toujours réussi à imposer aux Européens ce que Washington voulait m'a répondu : "l'argent, nous leur donnons de l'argent" "L'aide étrangère" ai-je demandé ? "Non, nous donnons aux dirigeants politiques européens des valises pleines d'argent ("bag fulls of money")". Ils sont à vendre, nous les avons achetés. Et ils viennent rapporter". Peut-être que cela explique les 50 millions de dollars amassés par Tony Blair en une année.
Les médias occidentaux, le plus grand bordel au monde, attend désespérément la guerre. Le comité de rédaction du Washington Post, devenu à présent un journal-trophée aux mains du propriétaire milliardaire d'Amazon.com, a publié un éditorial le 31 août qui reprend tous les mensonges émanant de Washington (et du Post) au sujet de Poutine.
Le propriétaire d'Amazon.com sait sans doute comment commercialiser les produits sur Internet, mais en ce qui concerne la direction d'un journal, sa gestion est désespérante. Les rédacteurs en chef du Washington Post ont fait de son trophée la risée du monde entier.
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Voici les accusations stupides que les éditeurs du milliardaire ont formulé contre Poutine dans son journal :
RépondreSupprimerPoutine, a vécu douloureusement l'effondrement de l'URSS, c'est pour cela qu'il a "ressuscité la tyrannie du Grand mensonge" afin de reconstituer l'empire russe.
"Les milices sponsorisées par les russes en Ukraine" sont responsables du "tir qui a abattu l'avion de ligne de la Malaisie en juillet." Les "médias contrôlés par l'Etat russe" ont menti et désinformé le peuple russe au sujet des responsables qui sont à l'origine du crash de l'avion de ligne.
"M. Poutine le Grand Menteur montre pourquoi il est important de soutenir une presse libre là où elle existe et des médias comme Radio Free Europe qui apportent la vérité aux gens qui en ont besoin".
En tant qu'ancien rédacteur en chef du Wall Street Journal, je peux dire en toute confiance que cette propagande extraordinaire dans le cadre d'un éditorial aurait entraîné le licenciement immédiat de toutes les parties concernées. A mon époque, le Washington Post était considéré comme un agent de la CIA parmi les membres du Congrès. Aujourd'hui, le Post a sombré bien en dessous de cette réputation.
J'ai assisté à des flots de propagande émanant des médias durant ma vie, mais cet éditorial du Washington Post a décroché le pompon. L'éditorial montre combien les journalistes, les éditorialistes sont complètement ignorants à moins qu'ils soient complètement corrompus ; cela suppose aussi que leurs lecteurs sont complètement ignorants. Si les unités militaires russes étaient en action dans l'est de l'Ukraine, la situation serait exactement comme décrit par Alexander Zakharchenko et Dmitry Orlov : l'Ukraine n'existerait plus. L'Ukraine serait de nouveau une partie de la Russie comme elle le fut pendant des siècles avant que Washington profite de l'effondrement soviétique pour écarter l'Ukraine loin de la Russie.
La question qui se pose est : combien de temps la Russie va avoir la patience de supporter les énormes mensonges et provocations de l'Occident ? Peu importe la façon dont la Russie se retient d'intervenir, la Russie est accusée du pire. Par conséquent, la Russie peut ainsi infliger le pire.
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L'OTAN ne pourrait rien faire, si la Russie décidait que l'Ukraine entre les mains de Washington, était une trop grande menace stratégique, et décidait de réintégrer l'Ukraine au sein de la Russie dont elle a fait partie pendant des siècles. Toute force de l'OTAN envoyée sur le terrain entraînerait une guerre que l'OTAN ne pourrait gagner. La population allemande, se rappelant des conséquences de la guerre avec la Russie, renverserait le gouvernement fantoche de Washington. L'OTAN et l'Union européenne s'effondreraient tandis que l'Allemagne quitterait la construction absurde servant les intérêts de Washington au détriment de l'Europe.
RépondreSupprimerUne fois que cela se produira, le monde aura la paix. Mais pas avant.
Pour ceux qui se soucient de comprendre comment cette terre de propagande fonctionne, le gouvernement fantoche de Washington à Kiev attribue la défaite de ses forces militaires dans la République Donetsk à la présence au sein de l'armée de Donetsk d'unités militaires russes. C'est la propagande qui est diffusée à l'ouest de l'Ukraine et dans les médias occidentaux "pressetitués" ("presstitute"), une collection de putes qui font écho à la propagande sans aucune investigation. Cependant, Kiev a une histoire différente pour le FMI. Kiev ne peut pas recevoir de l'argent du FMI pour payer ses créanciers occidentaux si l'Ukraine est en guerre. Par conséquent, l'Ukraine déclare exactement le contraire au FMI : la Russie n'a pas attaqué l'Ukraine.
(Lire : http://vineyardsaker.blogspot.com/2014/08/ukie-doubleplusgooddoublethink.html)
Les médias occidentaux restent indifférent à tous les faits. Ce qui les intéresse ce sont juste les mensonges. Seulement les mensonges.
Le Washington Post, le New York Times, CNN, Fox "news", Die Welt, la presse française, la presse britannique, tous plaident : "s'il vous plaît Washington donnez-nous des mensonges plus sensationnels que nous puissions les répandre. Notre santé financière en a besoin. Pourquoi se soucier de la guerre et du genre humain si nous pouvons regagner la stabilité financière."
Selon Justin Raimondo, Washington plante les graines de Troisième Guerre mondiale .
http://fr.sott.net/article/23029-Washington-OTAN-UE-en-mode-folie-furieuse
Fin d'une époque
RépondreSupprimerPourquoi General Electric a vendu sa division intérieure-appareils
8 septembre 2014
GENERAL ELECTRIC a été le pionnier de la plupart des gadgets qui aujourd'hui apparaissent comme indispensable dans la maison moderne, mais une fois étaient un luxe: l'ampoule, le lave-linge et le grille-pain, pour n'en nommer que trois. Vers le milieu du 20e siècle, GE est devenu un nom de ménage à travers le monde. Toutefois, le 8 Septembre la vénérable institution a annoncé qu'elle avait convenu de vendre son entreprise à des appareils Electrolux, un concurrent suédois beaucoup plus faible, soit 3,3 milliards de dollars.
Au fil des décennies, depuis Thomas Edison a fondé en 1892, GE est devenu un conglomérat lourd, dans toutes sortes d'entreprises. Sous Jeff Immelt, son patron depuis 2001, il a commencé à perdre du poids. En 2007 GE a vendu sa division énormes de matières plastiques; l'année dernière il a complété la vente de NBC Universal, son empire cinématographique et télévisuelle; et cette année, dans le cadre d'un plan visant à réduire énorme des services financiers division de GE, son activité de carte de crédit a été détachée. GE avait essayé de vendre l'entreprise d'appareils avant, en 2008, mais la crise financière mondiale a obtenu de la manière. La raison pour laquelle il a essayé de nouveau, cette fois avec succès, est clair à partir des états financiers de l'entreprise: au cours des trois dernières années, la division qui regroupe appareils d'éclairage et produit 5% du chiffre d'affaires de GE, mais seulement 1% de ses bénéfices. En plus de devenir GE sur les bits les plus risqués de la finance, M. Immelt pousse davantage dans des biens d'équipement à forte marge sophistiqués tels que des moteurs d'avions, des turbines à gaz pour la production et de l'équipement électrique pour les plates-formes de fracturation.
La dernière affaire est à certains égards plus importants pour l'acheteur, Electrolux, que ce soit pour GE. L'appareil-fabricant suédois vise à utiliser la prise de contrôle de doubler sa part du marché américain, ainsi que de mettre en place l'échelle de rivaliser avec les goûts de Beko de la Turquie et LG en Corée du Sud, qui bénéficient de coûts de production inférieurs. Curieusement, le soumissionnaire retenu n'était pas Haier, une entreprise chinoise ambitieux, ou Whirlpool, un rival-deux fabricants américains qui ont déjà déclaré qu'ils veulent ajouter de la capacité à rester compétitif. C'est peut-être parce Electrolux a versé environ 7,3 fois les bénéfices «GE Appliances pour 2013: il s'agit d'une prime significative par rapport à la valeur du marché boursier met sur des entreprises telles que Whirlpool, selon Nigel Coe chez Morgan Stanley, une banque. Combien de temps Electrolux sera en mesure Appareils tour GE dans une machine à but lucratif qui justifie le prix payé ne sait pas encore. Ce qui est certain, c'est que sur le marché mondial de plus en plus concurrentiel pour les produits blancs, la tâche ne sera pas facile.
http://www.economist.com/news/business-and-finance/21616209-end-era
Comment prévenir un Hack thermique sur votre NIP ATM
RépondreSupprimerPoster militant activiste Poster
8th Septembre, 2014
Vous venez de terminer votre voyage à l'épicerie avec votre carte de débit, en veillant à cacher votre numéro d'identification. Mais avant de vous arriviez à la maison, les fonds dans votre compte sont effacées clair. Comment est-ce arrivé ?
Merci à un dispositif peu coûteux et ingénieux qui se fixe à un iPhone, une nouvelle vague de vol de cyber permet au titulaire de commettre un vol qualifié le silence par la lecture de votre empreinte thermique. Il existe une variété de façons qu'ils peuvent obtenir votre numéro de carte là ou plus tard, mais ce qu'ils ont vraiment besoin, c'est votre code PIN.
Mark Rober montre comment facile ce vol est en fait voler le NIP de quelqu'un dans la vidéo ci-dessous.
- voir sur site comment ils récupèrent l'empreinte thermique des doigts qui ont composé le code secret de la carte de crédit d'une cliente au supermarché ! -
Mis à part la solution évidente d'utiliser l'argent pour ces opérations, il y a quelques façons de transformer le hack thermique contre votre soi-disant adversaire.
http://www.thedailysheeple.com/how-to-prevent-a-thermal-hack-on-your-atm-pin_092014
Aucune économie pour les Américains
RépondreSupprimerPar le Dr Paul Craig Roberts
Global Research, Septembre 08, 2014
La moyenne Dow Jones des actions a clôturé vendredi à 17 137, en dépit du fait que le rapport sur l'emploi de la masse salariale était un maigre 125 000 nouveaux emplois pour Août, une quantité insuffisante pour maintenir le rythme de croissance de la population en âge de travailler.
Le 125000 emplois à faible chiffre est également incompatible avec le Bureau de la deuxième estimation d'analyse économique du deuxième trimestre 2014 la croissance du PIB américain de 4,2 pour cent, un chiffre au-delà de la capacité de l'économie américaine actuelle.
De toute évidence, les chiffres économiques ne sont pas synchronisés avec l'autre. Ils sont aussi en décalage avec la réalité.
Une des raisons à la moyenne du marché boursier est élevé est le massivement des liquidités de la Réserve fédérale a injecté dans le système bancaire depuis 2008 Au lieu d'aller dans l'inflation des consommateurs, l'argent est allé dans actions et d'obligations inflation des prix.
Une autre raison pour le marché de stocks élevés artificielle est la multi-billion de dollars de rachat de leurs propres actions par des sociétés américaines. Beaucoup de ces entreprises ont même emprunté auprès des banques afin de faire grimper le cours des actions des achats lourds, maximisant ainsi les primes des dirigeants et les valeurs des options d'achat d'actions pour les membres du conseil d'administration. En effet, ils sont en train de piller leurs propres entreprises en chargeant les entreprises de la dette afin de faire monter Directoire et Conseil de revenus.
La hausse du marché boursier n'est pas parce que les revenus des consommateurs et ventes au détail réelles sont de plus en plus. Revenus médians des familles réel ont été en baisse, et ventes au détail réelles, au mieux, sont à plat.
Regardons la composition des pathétiques 125 000 nouveaux emplois, et puis nous allons examiner si ces emplois sont réels ou faire-croire. (Gardez à l'esprit que d'emplois salariés sont des emplois à temps partiel et que le nombre d'emplois salariés n'est pas le nombre de personnes employées, parce que de nombreux Américains à joindre les deux bouts en travaillant deux et même trois emplois.)
Comme je l'ai signalé depuis de nombreuses années, l'économie américaine n'est plus capable de créer des emplois de production de biens. Le Bureau d'emplois salariés Labor Statistics Août rapport montre zéro emplois manufacturiers. J'ai lu l'autre jour que les États-Unis ont maintenant quatre ou cinq fois plus de personnes sur les bons d'alimentation que de l'emploi manufacturier.
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Les emplois de la nouvelle économie sont en mal payés, les services-les domestiques non échangeables emplois qui caractérisent une troisième économie mondiale.
RépondreSupprimerReflète peut-être l'effondrement des ventes au détail, le commerce de détail a perdu 8400 emplois en Août.
"Les services professionnels et d'affaires» représentaient 47 000 ou 38% des nouveaux emplois du mois d'août. Parmi ces 47 000 nouveaux emplois, 49% constituaient des «services administratifs et des déchets," services d'aide largement temporaires.
«Les soins de santé et assistance sociale" ont représenté 42 700 ou 34% des nouveaux emplois, dont 53% est constitué de «services de soins de santé ambulatoires."
Les serveuses et les barmen ont représenté 21 100 ou 17% des nouveaux emplois.
Il y avait 8.000 nouveaux emplois gouvernementaux ou 6% des 125 000 nouveaux emplois.
C'est tout. C'est la situation de l'emploi de "la seule superpuissance du monde», «la plus grande économie du monde», «personnes les plus riches du monde." C'est l'image de l'emploi dans un pays du tiers monde.
Et maintenant, la vraie question: Est-ce ces 125 000 nouveaux emplois vraiment là, ou sont-ils un mirage statistique. Statisticien John Williams ( shadowstats.com ) dit que les emplois sont un mirage produit par "l'évolution des ajustements saisonniers dans le processus d'ajustement simultané-saison utilisée par le Bureau of Labor Statistics" et par le / modèle de la mort à la naissance, ce qui suppose que beaucoup d'autres non déclarée nouveaux emplois sont créés chaque mois par les nouvelles entreprises en démarrage que sont perdus de fermetures d'entreprises non déclarées. Williams dit que sans les gadgets utilisés par le BLS pour créer des emplois qui n'existent pas, le changement réel de la masse salariale d'août »était une contraction solide de plus de 125 000 emplois." En d'autres termes, l'économie n'a pas gagné 125.000 emplois. Il a perdu 125 000 emplois.
En commençant par le régime Clinton, l'économie américaine a travaillé uniquement pour les un pour cent, et il ne fonctionne que pour eux parce que le gouvernement fait les 99 pour cent renflouer les un pour cent. L'économie américaine est une économie aristocratique qui fonctionne pour quelques-uns de gouvernement privilégié, mais pas pour quelqu'un d'autre. Pour comprendre cette dure réalité, lire le livre Nomi Prins, Tous les banquiers «Les Présidents.
Bien sûr, les chiffres réels sont plus comme les dix pour cent et les 90 pour cent. Le One Percent pris, parce que la partie supérieure de un pour cent sont tous multi-milliardaires avec plus d'argent que la famille pourrait passer dans de multiples vies.
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Le temps est révolu où les sociétés américaines avaient un sens de la responsabilité sociale.
RépondreSupprimerDeux Américains distingués écriture dans Daedalus, l'une des rares publications restantes pas (encore) sous le contrôle de l'entreprise, montrent que les entreprises américaines sont devenues socialement dysfonctionnel, car ils ne font que les actionnaires et les dirigeants. http://www.amacad.org/pdfs/Sylla_Gomory pdf
Historiquement aux États-Unis, les entreprises ont des responsabilités à leurs clients, les employés, les communautés et les propriétaires. Au cours des dernières années, cela a été modifié. Aujourd'hui, les entreprises n'ont que des responsabilités à leurs actionnaires. Si les profits augmentent, les cadres reçoivent des primes de performance pour servir les actionnaires.
Réduire le succès exécutif à un indicateur a d'énormes conséquences négatives pour tout le monde. Américains souffrent de plusieurs façons. Leurs services emplois, à la fois la fabrication et négociables professionnel tels que le génie logiciel, ont été délocalisés et donné aux étrangers. Américains ont été privés de revenus d'intérêts de sorte que les anciens responsables de la banque en charge du gouvernement des États-Unis peuvent sauver les banques que la déréglementation permis à plus de levier de la dette et du risque.
Les frais de service à la clientèle a été déplacé aux clients qui perdent beaucoup de temps d'attente pour se connecter avec une personne vivante qui peut corriger l'erreur la société a fait. Le déchaînement de la cupidité comme la seule vertu de l'entreprise et de la pression de Wall Street pour plus de profits a causé de nombreux fournisseurs de services, tels que le téléphone et Internet, de renoncer à l'entretien et la modernisation des installations afin de maîtriser les coûts et augmenter les profits. Mon téléphone a cessé de travailler le 3 Septembre, et mon fournisseur de services n'a pas d'équipes de travail suffisantes pour réparer ma ligne avant le soir du 8 Septembre l'année dernière, mon fournisseur d'accès Internet ne pouvaient pas rétablir mon accès à Internet pendant 10 jours. Si vous appelez sur un projet de loi ou un problème de service, les entreprises vous garder sur la ligne attendant toujours une personne réelle alors qu'ils essaient de vous vendre de nouveaux services, même si ceux que vous avez achetés ne fonctionnent pas.
Les équipes du service suffisante pour fournir la satisfaction des clients signifie des coûts plus élevés, moins de profits, moins les gains des actionnaires et moins les primes de rendement pour les gestionnaires. Devinez qui paie le prix pour les grandes récompenses aux propriétaires et aux gestionnaires-clients.
Je me souviens des jours d'AT & T, un monopole réglementé. Tout a fonctionné. Tout problème a été résolu dans les deux heures, à moins d'une catastrophe majeure comme un ouragan ou une tornade. Le téléphone a répondu au plus tard le troisième anneau par une vraie personne, pas un enregistrement de la voix, et la personne qui a répondu pourrait résoudre n'importe quel problème. Il n'y avait pas de menu d'une demi-douzaine ou douzaine à partir de laquelle sélectionner et d'attendre une autre quart d'heure tout en étant donné argumentaires de vente.
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Les bénéfices en imposant des coûts sur les clients ne sont pas les profits légitimes. Les bénéfices réalisés par la relocalisation des emplois américains sont en mer pas de bénéfices légitimes. Les bénéfices obtenus par les renflouements d'erreurs de gestion par les contribuables qui fournissent les fonds de sauvetage, mais ne partagent pas les bonus ne sont pas des profits légitimes.
RépondreSupprimerLes bénéfices obtenus par concentration de monopole, comme il en existe maintenant dans la «services» financiers de l'industrie, ne sont pas des profits légitimes.
En Amérique, les franchises, les chaînes et les magasins à grande surface ont détruit un large éventail d'entreprises indépendantes et familiales qui ont permis Américains entreprenants une existence indépendante.
Libre-marché déréglementé Amérique a créé une économie qui ne sert que quelques-uns, ce qui explique la concentration extraordinaire au 21e siècle du revenu et de la richesse dans les mains de moins en moins-une autre caractéristique d'un pays du tiers monde.
Le capitalisme américain a échoué. Il ne peut plus créer des emplois pour la main-d'œuvre, et ses profits proviennent de sa capacité politique d'imposer des coûts sur la population américaine.
http://www.globalresearch.ca/no-economy-for-americans/5400294
L'EIIL/EI, nouvelle « tête de turc » créée par les Etats-Unis
RépondreSupprimerPressTv
dim., 07 sept. 2014 02:05 CDT
Traduction : Résistance 71
Un ancien haut-fonctionnaire du congrès américain dit que les États-Unis et leurs alliés ont créé le groupe terroriste takfiriste de l'EIIL comme "tète de turc" afin de paver le chemin d'un redéploiement de leurs troupes en Irak.
"L'EIIL/EI est la nouvelle tête de turc créée par l'Occident qui permettrait à celui-ci de renvoyer des troupes au sol dans la région", a dit Rodney Martin dans un entretien avec Press TV ce dimanche. "Il y a un grand nombre d'agendas cachés pour lesquels l'EIIL a été créé et l'EIIL est façonné comme tête de turc, car les États-Unis ne peuvent pas fonctionner sans une tête de turc." (NdT : Depuis 1945 se sont succédés comme "têtes de turc", ennemis imaginaires ou créés de toute pièce : le communisme marxiste sous toutes ses formes, même si Wall-Street le finançait, mais chut!... avec en tête de liste l'URSS bien sûr, puis l'Iran, Oussama Bin Laden et par extension l'Islam pour donner un semblant de bases fabriquées à la doctrine foireuse du "choc des civilisations"...). Il a de plus critiqué sévèrement Obama pour en fait continuer les politiques néo-conservatrices en Irak et en Syrie. "Le président Obama a dit que la guerre contre l'EIIL demande des ressources. Ceci est une ligne de conduite néo-conservatrice. Il y a eu une nouvelle poussée des nouveaux cons de derrière le rideau pour un retour des troupes sur le terrain. Ce sont des ressources dont le président Obama parle et il est très important de se concentrer sur le langage lorsque le mot "ressource" est employé."
Cela veut dire, les bottes sur le terrain, un retour des troupes en Irak et de manière essentielle mettre en action le modèle qui a été développé dans leur doctrine du Projet pour un Nouveau Siècle Américain. Martin a fait ces remarques alors que l'armée américaine a dit qu'elle avait effectué une série de nouveaux raids aériens contre des positions terroristes près d'un barrage sur la rivière Euphrate irakienne. "L'EI a capturé une base aérienne syrienne et brutalement exécuté environ 250 soldats syriens et il n'y a eu aucune mention faite de ceci ni même une colère exprimées par Obama au sujet de l'exécution de troupes syriennes parce que les politiciens occidentaux emmenés par Obama et les nouveaux cons (Néo-cons) veulent virer Bachar Al-Assad du pouvoir", a expliqué Martin.
Les États-Unis et leurs alliés dans la région ont aidé militairement et financièrement les groupes extrémistes pour lutter contre le régime syrien et ses forces militaires ces dernières années, ignorant les avertissements des pays comme l'Iran qui a dit depuis longtemps qu'un jour ces groupes retourneront leurs armes contre eux.
http://fr.sott.net/article/23024-L-EIIL-EI-nouvelle-tete-de-turc-creee-par-les-Etats-Unis
«Nous en avons assez»: 85% de la France ne veut pas 2ème terme de Hollande
RépondreSupprimerSeptembre 08, 2014 13:01
Un sondage en France a révélé 85 pour cent de la population ne veut pas le président François Hollande de chercher un second mandat en 2017 ses taux d'approbation ont atteint un niveau historiquement bas, avec seulement 13 pour cent des personnes interrogées disant qu'il fait un bon travail .
Le sondage a été réalisé par l'IFOP pour l'hebdomadaire français La Journal du Dimanche et il a fait la lecture inconfortable pour Hollande. Cinquante pour cent des personnes interrogées ne pense pas que le président français a été honore ses promesses. Taux de chômage avoisine un niveau record et est actuellement plus de 10 pour cent.
Toutefois, le président de feu sous n'a pas l'intention d'arrêter de fumer, en disant lors du récent sommet de l'OTAN à Cardiff qu'il ne démissionnera pas et restera en fonction jusqu'à ce que son mandat expire en 2017, son taux d'approbation de 13 pour cent seulement de lui le plus fait impopulaire président français depuis la Seconde Guerre mondiale, dans un autre sondage réalisé par TNS-Sofres.
Fustigé pour son incapacité à remettre l'économie en marche, sa misère a été aggravée par un ancien partenaire a publié un livre qui dit tout. Valérie Trierweiler a décrit les 60 ans comme étant dédaigneux des pauvres, ce qui contredit son statut de président socialiste .
"Avec la sortie de chaque nouveau sondage, je l'ai regardé se désintégrer», a écrit Trierweiler. " Il a besoin de trouver quelqu'un à blâmer pour la baisse. Il ne pourrait jamais être lui, il devait en avoir d'autres et moi. "
Hollande a perdu beaucoup de ses partisans de base de la gauche de l'échiquier politique, et a également souffert de mécontentement au sein de son propre cabinet. À la fin Août, le gouvernement français a été dissous en dépit d'avoir été formé seulement quatre mois plus tôt.
Ils ont stoppé après que les ministres ont claqué les projets du président François Hollande en matière de fiscalité et des coupes, tout en étant critique du programme d'austérité de l'Allemagne. Dirigé par l'ancien ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, ils châtiés Hollande pour être fixé sur les impôts élevés et des réductions de dépenses, qui disent-ils auraient dû être à la recherche pour réduire les impôts afin d'augmenter le pouvoir d'achat et aider à relancer l'économie.
Un autre sondage, publié par Le Figaro vendredi, a montré que Hollande perdrait une seconde tête ronde à la tête de l'élection présidentielle du leader du Front National, Marine Le Pen .
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Le chef du parti d'extrême droite a déclaré que le président doit dissoudre l'Assemblée nationale, chambre basse du parlement de la France. Elle a ajouté qu'il était "plus que nécessaire" et "la seule décision responsable" Hollande ferait depuis qu'il est devenu chef de l'Etat, il y a cinq ans.
RépondreSupprimer"François Hollande essaie de gagner du temps, mais le mal est trop profond», a soutenu Le Pen. Le Front national a vu un regain de popularité sur le dos de leur anti-immigrés et politiques eurosceptiques. Ils ont remporté les électeurs des groupes politiques traditionnels, à la fois à gauche et à droite, au milieu de chômage record et désenchantement croissant avec un establishment politique français discrédité.
Il ne semble que le président Hollande ne disposent d'un allié, comme le Premier ministre français Manuel Valls a dit BFM-TV de Bologne où il devait rencontrer son homologue italien Matteo Renzi, qu'il soutenait la tête française assiégée de l'Etat.
"Je ne vais pas me laisser impressionner par des débats internes, et encore moins par les appels à la démission ou à la dissolution et par une extrême droite qui croit qu'il est proche de prendre le pouvoir», dit Valls.
Le Premier ministre français est également très impopulaire parmi l'électorat: un sondage d'opinion à la fin de Août a montré que 36 pour cent de la population sont le soutient.
Valls a également été approuvé par Hollande dans le passé. Il a été nommé au poste de Premier ministre en Mars afin d'installer la discipline au sein du gouvernement. Au cours de la révolte de Montebourg à la fin de Août, les rapports dans le journal français, Le Parisien, a déclaré que Valls a donné au président Hollande un ultimatum concernant Montebourg et son éclat: " . C'est lui ou moi Si vous refusez, je vais y aller. "
L'ancien premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a été licencié pour être trop mou.
http://rt.com/news/186016-hollande-rating-record-low/
Pensez anglais vin mousseux peut prendre le champagne français ? Placez vos paris maintenant
RépondreSupprimerKentish vigneron Chapel Down se tourne vers crowdfunding pour élever £ 3.9m
Par Denise Roland et Nathalie Thomas
09:46 BST le 8 septembre 2014
Les plans de producteurs Kent à mobiliser jusqu'à 3,9 M £ par une campagne de crowdfunding sur le site web Seedrs, où les fans de vin mousseux anglais de Chapel Down peuvent investir aussi peu que 10 £. Ceux qui achètent 2000 parts - coûtant £ 560 - ou plus seront admissibles à une réduction de 33pc.
Contrairement aux obligations de détail, qui ont été utilisés par les entreprises orientées vers le consommateur telles que Le Jockey Club pour amasser des fonds des clients, les investisseurs vont devenir actionnaires de l'entreprise par le régime de crowdfunding.
Dans le même temps, le vigneron est élever £ 670 000 auprès d'investisseurs institutionnels et de particuliers fortunés à travers une nouvelle question plus traditionnelle de l'action. La collecte de fonds, a annoncé lundi, vient après Chapel Down soulevé 4.35m £ par une augmentation de capital l'année dernière.
Frazer Thompson, chef de la direction de Chapel Down, a déclaré la société a réalisé il pourrait y avoir soif pour les actions entre les amateurs de vin après avoir découvert que près de 850 petits investisseurs au détail avaient acheté des actions sur le marché tout simplement de se qualifier pour la remise de 33pc sur ses produits. Il a déclaré que le groupe a opté pour le crowdfunding sorte que les petits investisseurs peuvent encore échanger leurs actions et ont été non seulement prêter de l'argent de l'entreprise - comme c'est le cas avec une liaison de détail.
«C'est en faisant partie plutôt que d'être un prêteur à un taux d'intérêt intéressant», a déclaré M. Thompson. Toutefois, il a insisté la société ne sera pas tourner le dos à des institutions soit; il croit que l'industrie du vin anglais sera bientôt mûr pour la consolidation et Chapel Down se penchera sur l'acquisition d'autres entreprises si l'occasion se présente.
Vignerons anglais a connu une récolte torride dans 2011 et 2012, de même que de nombreux nouveaux arrivants entraient dans le secteur des plans d'affaires "fantaisistes", M. Thompson a déclaré. Il croit qu'il y aura bientôt un "roll up" des marques.
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Chapel Down intention d'utiliser les nouveaux fonds de subir une expansion majeure de ses activités. Les plans comprennent la plantation de plus de vignes, la construction d'une nouvelle cave et d'une brasserie et de mettre en place de nouvelles installations de stockage et de distribution.
RépondreSupprimerCertains des premiers bailleurs de fonds ont déjà empilés dans l'initiative de crowdfunding, avec des investissements allant de £ 10 à £ 10 000.
Chapel Down a annoncé la campagne comme il a publié un ensemble optimiste des résultats malgré des ventes de vin plus lents en raison des vendanges pauvres pour les millésimes 2011 et 2012.
La groupe plutôt tourné vers les ventes de bière, qui ont augmenté de 60pc à £ 733 000 au cours des six premiers mois de l 'année, pour compenser une croissance plus lente dans le vin. Globalement, les ventes ont augmenté de 21pc à 2,44 £.
M. Thompson a ajouté que les ventes de vin devraient revenir sur la bonne voie dans les deux prochaines années suite à une récolte exceptionnelle en 2013 et les signes d'une forte récolte cette année. Il a dit qu'il "ne pouvait pas avoir scénarisé" de meilleures conditions cette année, après un printemps sans gel
http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/retailandconsumer/11081061/Think-English-sparkling-wine-can-take-on-French-champagne-Place-your-bets-now.html
Malgré les crises mondiales : Bordereaux de prix huile au-dessous de 100 dollars
RépondreSupprimerEn Ukraine et au Moyen Orient guerre--mais le prix du pétrole tombe pendant des mois. Maintenant, le genre important de Brent de la mer du Nord a chuté sous la barre des 100 dollars. Pour ce faire, les experts blâment spéculateurs.
Francfort/Singapour - mer du Nord, l'huile est aussi bon marché que depuis un an pas plus : malgré la pénurie redoutée en raison de la crise au Moyen-Orient et en Ukraine ont repris lundi pour la première fois depuis juin 2013 inférieur à 100 $ le baril de Brent. Dans le midi trading un baril (159 litres) de Brent pour livraison en octobre avec 99,91 dollars a été enregistrée - 88 cents de moins qu'à la clôture de la bourse vendredi. Un baril de la variété américaine du West Texas intermediate est réduit de 85 cents à 92,44 $.
Le marché du pétrole était actuellement "dans une oreille de sourd", les experts a écrit la Commerzbank dans un commentaire. Après la chute de la marque de 100 dollars est à prévoir avec plus de pertes. La baisse des prix a été entraînée mais également hautement spéculatives.
Il y a beaucoup de raisons de la chute des prix du pétrole malgré les crises en Irak, la Syrie, Israël et l'Ukraine. Donc, entre autres choses, la demande globale a diminué, l'offre reste cependant largement stable. (Vous pouvez lire une analyse détaillée de l'huile ici.)
L'ambiance pourrait selon la Commerzbank mais tour doit avoir lieu face à plus grandes pertes de production risques géopolitiques. Encore les rapports des autres sanctions économiques contre la Russie seraient impression guère. Le fait que la Chine avait introduit plus de six pour cent du pétrole brut et produits pétroliers de 36 pour cent de plus que le mois précédent au mois d'août, ne semblent ne pas être intéressés par le marché.
Le prix du pétrole brut du pétrole Organisation des exportateurs de pays (OPEP) a diminué. Selon les calculs du Secrétariat de l'OPEP lundi, le baril a coûté 98,36 dollars vendredi dans la coupe. 77 cents étaient moins de jeudi. L'OPEP calcule son prix de ce que l'on appelle panier sur la base des douze variétés plus importantes.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/oelpreis-nordseesorte-brent-kostet-erstmals-wieder-unter-100-dollar-a-990438.html
Le prix du pétrole descend en dessous de 100 dollars le baril en boost pour les automobilistes britanniques
RépondreSupprimerBrent frappe de 16 mois faible après la faiblesse des données chinoises, malgré les préoccupations géopolitiques
Par James Titcomb
10:15 BST le 8 septembre 2014
Le prix du pétrole a chuté en dessous de 100 dollars le baril pour la première fois en 16 mois, ce qui soulève la perspective d'un prix moins cher à la pompe.
Brent, l'indice de référence le plus surveillé, touché $ 99,95 en marché le lundi matin, à la suite des données économiques chinoises décevantes.
Bien que les exportations chinoises ont augmenté de 9.4pc sur une base d'année en année en Août, les importations ont baissé 2.4pc, dans un autre signe d'un éventuel ralentissement économique dans la deuxième plus grande économie du monde.
Cela a envoyé le prix du pétrole en baisse de plus de 1pc à un creux de $ 99,76. Sa dernière échangé en dessous de 100 dollars le baril en Juin 2013 Tout récemment, en Juin, le baril de Brent se négociait au-dessus de 115 $.
Bien que l'essence au Royaume-Uni est lourdement taxée, les prix ont tendance à fluctuer en réponse à l'huile. Une guerre des prix de supermarché a récemment poussé les prix à un bas niveau en trois ans et deux ans et demi.
Les prix du pétrole ont chuté pendant trois jours consécutifs. Un faible rapport sur l'emploi américain vendredi a entraîné une chute de 1pc malgré la persistance des tensions au Moyen-Orient.
La chute a eu lieu malgré les craintes accrues sur l'incertitude générée par l'indépendance écossaise. La livre a chuté face au dollar lundi à 10 mois faible, tandis que les stocks des entreprises exposées à l'Ecosse ont également diminué.
Selon une enquête de Reuters, cependant, les prix bas actuels peuvent être insoutenable. L'enquête a déclaré que le prix moyen de l'huile nécessaire pour soutenir les budgets des principaux pays producteurs de pétrole qui composent l'alliance de l'OPEP est $ 106.
http://www.telegraph.co.uk/finance/oilprices/11081109/Oil-price-drops-below-100-a-barrel-in-boost-to-UK-motorists.html
Mais où est donc l'explication qui tient debout pour une fois ? Disons plutôt que sur les marchés truqués ils peuvent marquer n'importe quoi et tenir compte des tensions qui bloquent/paralysent l'économie mondiale à propos de la prochaine guerre imminente, la chute du dollar et enfin le prétexte pour introduire la dictature mondiale justifiée par une probable attaque extraterrestre à venir ! En un mot c'est un masque pour dire que "tout va bien dormez brave gens !"
SupprimerDéficit d'investissement intérieur : Les allemands gaspillent des milliards à l'étranger
RépondreSupprimerPar David Böcking
Allemagne s'écroule parce qu'elle investit trop peu. Il s'agit également sur les épargnants, qui souvent coulent leur argent à l'étranger. Nouveaux produits financiers pour y remédier maintenant - mais quoi s'agit-il vraiment ?
Hambourg - économie n'apporte rien : ce message a été la semaine dernière une fois de plus dans le monde sur leurs taux d'intérêt de La Banque centrale européenne a envoyé niveau record abaissé. Mick er des taux d'intérêt, d'épargne ou les comptes du marché monétaire devient le modèle de la perte. Toutefois, mettre les investisseurs en Allemagne quelque quatre cinquièmes de leur fortune dans des investissements sensibles au taux d'intérêt. Trop souvent, les Allemands même dans des projets d'investissement dans les flux de capitaux étrangers. Une partie importante de ce capital a exporté a été la crise financière mondiale de 2008 de la victime. Les tours de bureaux espagnols, qui ont été construits avec de l'argent allemand, s'est soudain vide, les certificats de Lehman étaient sans valeur.
« Entreprises telles que les consommateurs ont très mal enregistrées ces dernières années », a déclaré le chef de l'Institut allemand de recherche économique (DIW), Marcel Fratzscher, miroir en ligne. Si les banques sur les économies réalisées dans d'autres pays, souvent à perte : depuis l'an 2000, les Allemands a enregistré une perte de près de 400 milliards d'euros selon les calculs de DIW sur le net économie provenant de l'étranger. En même temps, il manque cruellement des investissements en Allemagne, avertit Fathi dans un livre vient de paraître (plus sur cela dans le nouveau miroir).
Cela devrait être différent. Ministre de l'économie Sigmar Gabriel (SPD) a lancé une Commission dans la vie, appartient à la Deutsche Bank chef Jürgen Fitschen et par Fathi est dirigé. Leur objectif : mobiliser des capitaux privés plus d'investissement en Allemagne. Au contraire continuer juste têtu nourrir leurs tirelires, citoyens devraient plutôt mettre une partie de l'argent dans la construction de routes et de ponts.
"La population financé leur propre infrastructure: l'idée est fondamentalement correcte et la plus charmante", dit Christian Ahlers, Président du marché financier à la Fédération des organisations de consommateurs (VZBV). La Commission devrait élaborer des modèles spécifiques encore. Pourraient être, entre autres, que les citoyens participent à l'achat d'actions, obligations ou fonds spécial pour les projets de construction.
Investisseurs privés devraient achat d'actions des sociétés de construction Bilfinger Berger et Hochtief maintenant sur votre propre ? « Pour la plupart des consommateurs, des titres individuels ne sont aucune option viable », dit Ahlers. Si quoi que ce soit acheter des fonds de capitaux propres, qui investissent dans le secteur de la construction, y compris: « pour un fonds puisse ensuite la partie risquée d'un portefeuille comprendre. »
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Défenseurs des consommateurs sont sceptiques
RépondreSupprimerDes investisseurs allemands en obligations ont jusqu'à présent guère le choix. Aux États-Unis, villes financent depuis des décennies avec ce qu'on appelle les obligations municipales la construction des écoles et des aéroports. Aussi au Canada, la Grande-Bretagne et l'Australie, obtenu l'argent pour des projets de construction des obligations spéciales. En Allemagne, les obligations sous-souveraines sont l'exception, toutefois, jusqu'à présent.
Participation des citoyens au Fonds sur l'infrastructure spéciale demeure l'option la plus probable. Qui pousse à l'Union européenne : de l'automne a partir, elle a discuté un projet de règlement pour que des fonds mutuels à long terme européens, ELTIF court. Vous devriez permettre des investissements dans des projets d'infrastructure et sont destinés spécifiquement à la vente aux investisseurs individuels. Toutefois, le modèle ne convainc pas les défenseurs des consommateurs. Cette forme d'investissement est principalement « adapté pour les investisseurs professionnels », il est dit dans un exposé de position de la VZBV. « En conséquence, nous voyons l'ouverture prévue de la nouvelle classe de produit pour les investisseurs privés avec inquiétude. » Les appels de liaison de vendre les actions de fonds sans publicité ou par le biais de marchés secondaires aux petits épargnants.
La raison de l'inquiétude : même bien informé investisseurs peuvent difficilement s'abstenir de projets d'infrastructure, selon les risques de protection du consommateur. Selon l'état actuel des ELTIFs comme fonds fermés sont prévues - un modèle, dont Tücken devait répondre à de nombreux acheteurs de navire avec perte fonds ces dernières années.
L'évaluation des risques a été particulièrement difficile aussi pour les fonds qui ne sont pas négociés sur un marché boursier, avertit la VZBV en ce qui concerne le Windkraftfinanzierer de Prokon. Il vend avec succès des années ce qu'on appelle droitsmalgré les nombreux avertissements. Seulement suite à l'insolvabilité de nombreux acheteurs s'est rendu compte business model de combien fragile Prokon et comment peu de valeur, a eu les titres achetés.
« Sauvons les épargnants, mais comme il lui plaît »
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Défenseurs des consommateurs Ahlers voit un deuxième problème : la question de l'endroit où un retour régulier à venir pour les projets d'infrastructure publique. S'il est concevable que les investisseurs privés pour les routes construits alors des frais utilisation. Mais le remorqueur de la guerre actuelle au péage pour les voitures prévues montre aussi comment fragiles sont de tels modèles. Qu'il est peu recours aux produits d'exploitation des projets publics, actuellement airlines et propriétaire d'un magasin qui voulaient déjà faire de l'argent sur l'expérience d'aéroport de ville de Berlin.
RépondreSupprimerFace à telles objections, Commission de Gabriel pourrait venir à la conclusion que les citoyens seraient plutôt indirectement - prenne partie par les banques ou compagnies d'assurance plus en plus de mettre leurs économies dans des projets d'infrastructure. Pas pour rien, ERGO CEO Torsten Oletzky et Alliance membre du Helga Jung siégeant en Commission Fash. « Les assureurs allemands sont très conservatrices en comparaison internationale, », dit Fathi. « Vous investir massivement dans des obligations d'État, même si vous secouer à peine produisent. » L'industrie a déjà signalé qu'elle m'en tiendrais à l'avenir comme plus d'argent dans les infrastructures.
Défenseurs des consommateurs Ahlers serait correctement, surtout professionnels en investissant dans des projets de construction. Il a commenté « Let épargnants mais sauver comme il veut, » la critique de l'aversion au risque investisseurs allemands. « C'est la tâche fondamentale du secteur financier, d'appliquer la croissance du capital. »
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/investitionen-deutsche-legen-geld-zu-oft-im-ausland-an-a-990393.html
Si l'économie se redresse, pourquoi le taux de participation sur la population active à 36 ans faible ?
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 7 Septembre, 2014
Faut-il s'inquiéter que le pourcentage d'Américains qui sont travaillent ou cherchent du travail est le plus bas qu'il a été en 36 ans ? En Août, un record de tous les temps élevé 92.269.000 Américains de 16 ans et plus n'a pas «participer à la force de travail". Et quand vous jetez dans les gens qui sont considérés comme "de la population active», mais ne travaillent pas actuellement, qui pousse le total des travailleurs américains en âge qui n'ont pas de travail à plus de 100 millions. Oui, il peut être difficile à croire, mais il ya plus de 100 millions d'Américains en âge de travailler qui ne sont pas employés à l'heure actuelle. Inutile de dire que ce n'est pas un signe d'une économie saine, et c'est un énorme pourquoi dépendance à l'égard du gouvernement a grimpé à des niveaux sans précédent absolument. Quand les gens ne peuvent pas prendre soin d'eux-mêmes, ils ont besoin de quelqu'un pour prendre soin d'eux. Si le pourcentage de personnes dans la population active continue de diminuer comme il a été, ce qui est ce que cela va signifier pour l'avenir de notre société ?
Le tableau ci-dessous montre l'évolution du taux de participation à la population active civile depuis 1980 Comme vous pouvez le voir, le taux a augmenté régulièrement entre 1980 et 2000, mais depuis lors, il a été généralement en baisse. En particulier, cette baisse a fortement accéléré depuis le début de la dernière récession ...
- voir graphique sur site -
Nous n'avons jamais vu un déclin précipité étendue de cette nature avant. Mais au lieu d'admettre que nous avons un problème très grave sur nos mains, de nombreux économistes du courant dominant sont licencient ce déclin comme "de nature structurelle". Par exemple, consultez l'extrait suivant d'un récent article de Reuters ...
Un document publié jeudi par la Brookings Institution, un think tank basé à Washington, a suggéré la baisse a été principalement due à un vieillissement de la population et d'autres facteurs structurels, et a conclu le marché du travail continuera à se rétrécir.
Mais il ya un défaut majeur dans cette analyse. Il s'avère que les Américains plus âgés sont le seul groupe pour lequel le nombre d'emplois ont effectivement été à la hausse. J'aime vraiment comment Zéro Hedge fait ce point l'autre jour ...
Eh bien, c'est très étrange, parce que c'était il ya seulement deux mois que le recensement a écrit ce qui suit [5] : «De nombreux travailleurs âgés ont réussi à conserver leur emploi pendant la récession; en effet, la population dans les groupes d'âge de 65 ans et plus étaient les seuls à ne pas à voir une baisse de la part de l'emploi de 2005 à 2010 (figure 3-25) ... restant indépendants et retarder la retraite était une façon de réduire l'impact de la baisse des marchés boursiers et la perte subséquente de l'épargne retraite ".
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Oui, les baby-boomers arrivent sur l'âge de la retraite.
RépondreSupprimerMais cela n'explique pas pourquoi les chiffres des taux de participation de la population active pour les groupes plus jeunes ont été à la baisse.
Chaque mois, l'économie américaine doit ajouter quelque part entre 100.000 et 150.000 emplois pour faire face à la croissance de la population. La création d'emplois a été tiède, au mieux, au cours des dernières années, la seule façon que le gouvernement a été en mesure d'obtenir le taux de chômage officiel de constante "descendre" a été de retirer des millions et des millions d'Américains de la population active.
Selon les chiffres officiels du gouvernement, depuis 2007 768 000 emplois ont été ajoutés à l'économie, mais un énorme 13 millions d'Américains ont été ajoutés au nombre de ceux qui «ne sont pas dans la population active».
En conséquence, le taux de chômage officiel a été magiquement "déclin".
Mais la vérité est que notre crise de l'emploi n'a pas été résolu du tout.
Et ce n'est pas seulement le nombre d'emplois que nous avons besoin d'être préoccupé. Nous traitons également avec un recul de plusieurs années dans la qualité de nos emplois . En fait, le Wall Street Journal vient d'annoncer que 34 pour cent de tous les travailleurs américains sont "pigistes" maintenant ...
Plus de preuves que ce n'est pas le marché de vos parents du travail: Environ un travailleur sur trois aux États-Unis est maintenant un pigiste.
Cinquante-trois millions d'Américains, soit 34% de l'effectif de la nation, se qualifier comme pigistes, selon un nouveau rapport de l'Union Indépendants, un organisme sans but lucratif, et Elance-oDesk Inc., une entreprise qui fournit des plateformes pour les professions libérales à trouver du travail. Ces personnes comprennent les entrepreneurs indépendants, les températures et les cumulards, entre autres.
En d'autres termes, environ un tiers de tous les travailleurs dans le pays sont des «temps» à ce stade.
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, c'est une statistique très alarmante.
Si l'économie se remettait vraiment, ce ne serait pas le cas.
Et comme des millions et des millions d'Américains sont forcés de quitter le marché du travail officiel, un nombre croissant de personnes se tournent vers l'économie souterraine.
Par exemple, dans certaines de nos grandes villes, nous assistons à une augmentation du nombre de vendeurs de rue. Ce qui suit est un extrait d'un récent article du Los Angeles Times intitulé « Plus de Angelenos deviennent vendeurs de rue au milieu de faiblesse de l'économie "...
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Assis à sa vente dans la rue stand avec des produits soigneusement disposés sur une nappe violette à paillettes, Jackie Lloyd reflète nostalgie les jours où elle avait un salaire régulier et des heures régulières.
RépondreSupprimerC'était il y a quatre ans, avant le 39-year-old a été mis à pied de son travail en tant que travailleur de cafétéria de l'école élémentaire et les factures de montage l'a forcée à se lancer dans l'auto-emploi.
Maintenant, le résident Pico-Union saute d'un endroit à l', vente huiles pour le corps, beurre de karité, du savon et des encens. Elle se déplace lorsque des entreprises à proximité se plaignent ou elle se sent en danger.
Certains jours, ses ventes apporter 150 $. D'autres, ils ne se cassent pas 20 $.
Afin d'avoir une classe moyenne forte, nous avons besoin d'emplois de la classe moyenne.
Si le taux de participation au marché du travail continue de baisser et la qualité de nos emplois continue de baisser, la classe moyenne continuera à diminuer. Pour beaucoup plus à ce sujet, s'il vous plaît voir mon article précédent intitulé « 30 statistiques pour montrer à tous ceux qui ne croient pas à la classe moyenne est en train de détruire ".
Mais nos autorités ne semblent jamais vouloir admettre ce que nos véritables problèmes.
Au lieu de cela, ils aiment à venir avec des théories alternatives pour nos luttes économiques.
Une des dernières théories mises de l'avant par la Réserve fédérale, c'est que l'économie ne se déplace pas le long comme il se doit parce que les Américains ordinaires sont «thésaurisation de l'argent" ...
Un des grands mystères du monde post-crise financière C'est pourquoi les États-Unis n'avaient pas l'inflation, malgré tout l'argent injecté dans l'économie.
La Réserve fédérale de St. Louis pense qu'il a la réponse: Un document de la branche de la banque centrale publié cette semaine accuse le faible niveau de circulation de l'argent en grande partie sur les consommateurs et leur « volonté d'amasser de l'argent . "
Cela semble complètement absurde pour moi.
De ce que je peux voir, la plupart des familles ne font que leur mieux pour survivre d'un mois à ces jours.
Je ne vois certainement pas beaucoup de gens "thésauriser".
Qu'en pensez-vous ?
Que pensez-vous ?
S'il vous plaît, n'hésitez pas à partager vos pensées en postant un commentaire ci-dessous ...
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/if-the-economy-is-recovering-why-is-the-labor-force-participation-rate-at-a-36-year-low
Quand on voit les équipes de bras cassé qui peuplent les gouvernements et qui se disent sortis de 'grandes écoles', il y a de quoi douter de ce qu'ils peuvent raconter à la télé et à les voir sapés comme des milords avec l'argent du peuple !
SupprimerCe n'est pas eux qui vont créer du travail (à part l'embauche de nouveaux bons à rien de fonctionnaires) mais plutôt tout faire pour éviter qu'il y en ait. C'est aussi ce qui s'appelle ruiner le peuple qui ira jusqu'à vendre ses flingues pour bouffer.
Ils viennent pour vos comptes
RépondreSupprimerPar Paul Rosenberg
International Homme de Doug Casey
8 septembre 2014
La quasi-totalité d'entre nous ont grandi en pensant que nous sommes inscrits à prouver que nous étions en sécurité et responsable. Nous avons annoncé nos services comme «marque» ou «licence», et nous n'avons jamais pensé à ce sujet au-delà de ce point. Après tout, c'était la façon dont les choses ont été faites, et nous savions que ce serait aider nos clients nous font confiance.
Il y a, cependant, un autre aspect de l'enregistrement, celui qui est sur le point de mordre beaucoup d'honnêtes gens ... et dur.
Qu'est-ce que l'enregistrement, vraiment ?
Qu'avons-nous fait quand nous avons enregistré auprès d'un organisme gouvernemental ? Nous leur avons donné notre nom, adresse, date de naissance, et ainsi de suite. Si nous y avons pensé à tout, nous avons pensé qu'ils agissaient comme une sorte de garant de nos services. Mais qu'est-ce qui s'est réellement passé, c'est que nous leur avons dit comment nous trouver et nous a fait mal.
L'inscription se fait nous rendre facile à trouver par exécuteurs, et se plaçant à leur merci. Oui, je sais que nous avons fait dans l'ignorance (je sais que je n'ai certainement) et de la nécessité, mais nous l'avons fait à la main de notre mieux "comment me trouver" renseignements aux organismes d'application de la loi.
Maintenant, ce que j'ai décrit ci-dessus implique inscriptions commerciales et professionnelles. Malheureusement, la même chose s'applique aux comptes bancaires et aux comptes de retraite. Lorsque vous vous inscrivez ceux qui ont un gouvernement, vous leur dites où va votre argent et qui le rend très facile pour eux de s'en emparer.
Déficits billions de dollars
Au cours des dernières années, le gouvernement américain a dépensé $ 1000000000000 par an plus qu'il n'en faut dans. (Et il y a beaucoup de facteurs entrent en jeu). La situation européenne est différente, mais pas particulièrement mieux.
Ces situations ne peuvent durer si longtemps. À un certain point, les gouvernements auront besoin de plus d'argent, d'autant plus que les banques sont sur le point d'échouer.
Les gouvernements vont protéger les grandes banques, au détriment des citoyens. Vous devez prendre cela au sérieux, et maintenant.
Warning Shots
Le Fonds monétaire international (FMI) a publié un document horrible, appelé cadre de financement du Fonds et de la dette souveraine . Ce document, à son tour a été basé sur une de Décembre 2013, appelé financière et les crises de la dette souveraine: Quelques leçons apprises et les oubliés .
Grands médias ignorés tout cela, bien sûr.
Le document Décembre 2013, dès le début, dit que «répression financière» est nécessaire. Voici ce qu'il dit:
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La demande est que les pays avancés n'ont pas besoin de recourir à la boîte à outils standard marchés émergents, y compris les restructurations de la dette et des conversions, l'inflation, les contrôles de capitaux et d'autres formes de financier répression.
RépondreSupprimerIl poursuit:
Comme nous documentons, cette affirmation est en contradiction avec le bilan historique de la plupart des économies avancées, où la restructuration de la dette ou des conversions, la répression financière, et une tolérance pour une inflation plus élevée, ou une combinaison de ceux-ci font partie intégrante de la résolution du passé important surendettement.
Ainsi, afin de fixer des surplombs-actuellement la dette à des niveaux-financiers horrible répression n'est pas seulement une option, mais nécessaire .
Ce n'est pas mon interprétation; ce sont leurs mots.
Et, bien sûr, ils ont déjà eu un essai, quand ils ont volé des fonds directement à partir de comptes bancaires individuels à Chypre. Voici comment ça s'est passé vers le bas:
• 16 mars 2013: Chypre annonce un jour férié et fixe les conditions d'un "bail-in" pour sauver les banques: 6,75% de tous les avoirs bancaires de moins de € 100 000 et 9,9% des grands équilibres de 100.000 € sera confisqué. Dans honnête langue, le mot qui est «vol».
• Les gens criaient, et le gouvernement ourlés et meilleur ennemi pour un certain nombre de jours.
• 24 mars 2013: Les gens sont autorisés à retirer des € 100 à la fois à partir de leurs comptes bancaires.
• 25 mars 2013: Un accord de bail-in est annoncé. Comptes auprès de plus de 100.000 €, soit 47,5% perdent de leur argent (Bank of Cyprus) ou 100% de leur argent (Laiki Bank).
Et comme il est arrivé, un certain nombre de gens très riches et les entreprises ont été autorisés à retirer leur argent dans son intégralité, quelle que soit la «bail-in».
Le rapport du FMI poursuit en disant:
Les gouvernements peuvent bourrer la dette en fonds de pension locaux et les compagnies d'assurance, les forçant par la réglementation à accepter des taux beaucoup plus faibles de retour que ce qu'ils pourraient autrement la demande. ....
Défaut domestiques, les restructurations ou les conversions sont particulièrement difficiles à documenter et peuvent parfois être déguisés en «volontaire».
Le document qu'ils ont glissé sur ajoute également ceci:
Le Fonds serait en mesure de fournir un accès exceptionnel sur la base d'une opération de la dette qui implique une extension des échéances.
Cela signifie que les notes de 30 jours peuvent être instantanément transformés en obligations à 30 ans.
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Le Trésor américain est déjà en cours d'emploi
RépondreSupprimerCe n'est pas seulement le FMI, bien sûr. Le Trésor américain a eu un groupe de travail sur ces idées depuis l'administration Bush.
Et en Août 2010, les ministères du Travail américain et le Trésor a tenu des audiences conjointes, de décider de la meilleure façon qu'ils puissent prendre le contrôle de tous les actifs IRA et 401 (k) des comptes. La décision était qu'ils avaient les remplacer par des "obligations de retraite du Trésor."
Autres exemples
• En 2009, le gouvernement de l'Irlande glissée € 4000000000 de son National Pensions Reserve Fund afin de soutenir ses banques insolvables. Le Mars suivant, ils ont volé le solde de 2,5 Md € pour un plan de sauvetage.
• En Novembre 2010, le Parlement français a € 36000000000 d'un fonds de pension de réserve pour payer les dettes d'un fonds «social».
• Toujours en Novembre 2010, le gouvernement de la Hongrie a effectivement eu 2,7 billions de forints (13,5 milliards de dollars) de 3 millions de comptes de retraite.
• Le gouvernement de la Pologne a nationalisé un tiers des cotisations futures aux comptes de retraite individuels. Cet argent sera presque certainement disparaître dans la caisse de l'Etat, privant les épargnants de quelque 2,3 milliards de dollars par année.
Alors ...
Comprendre que les pouvoirs financiers qui soient-FMI, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux (BRI), les banques centrales assorties, et votre gouvernement local-sont prêts à vous voler.
Lorsque vient le temps, toute leur habitude ventouse appât sera sorti: «Il frappe seuls les riches», «Nous avons à la corbeille l'économie pour la sauver», «Nous devons tous sacrifice», «C'est pour les enfants», et ainsi de suite.
Tous les gens bien-pensants à la télévision seront tordre les mains et dire que c'est le seul moyen de sortir. Peut-être qu'ils vont même laisser une banque ou deux accident pour bon effet.
Mais à la fin, ils visent à voler votre argent. Gouvernement et les grandes banques vont continuer sains et saufs.
Si vous voulez vous protéger, vous devez obtenir votre richesse de comptes enregistrés, parce que c'est là qu'ils vont saisir en premier.
Comprendre que ces gens n'ont que deux choix réels:
1.Réformer leur système, fermer les banques centrales, et de renoncer à leur pouvoir.
2.Lancer saisissant le seul gros tas de richesses portable restant: votre argent de retraite.
Je ne pense pas qu'aucun d'entre nous pensent qu'ils vont prendre l'option numéro un.
Reproduit avec la permission de Casey Research .
http://www.lewrockwell.com/2014/09/paul-rosenberg/theyre-coming-for-your-assets/
SupprimerNe nous trompons pas, l'Etat (privatisé en 71 au USA et 73 en France) n'a jamais eu besoin d'argent ! Il en fabrique !
Mais, le principal pour le riche et de ne laisser le pauvre le ratrapper, c'est pourquoi tous les gouvernement (quels qu'ils soient) font tout pour ruiner le peuple sous des prétextes parfois des plus farfelus mais qui marchent bien puisque les citoyens sont pris pour des cons !
Exemple 'Global Warming', l'arnaque mondiale qui ne devait pas durer plus d'une semaine ! Les guerres à propos de terroristes qui auraient l'intention de réduire la Terre en miettes avec ses petits poings ! etc, etc !
Rebelles pro-russes de Donetsk célèbrent l'expulsion de la junte fasciste ukrainienne
RépondreSupprimer»Au milieu de la deuxième commémoration de la guerre mondiale, les régions disent qu'ils ont toujours l'intention de déclarer l'indépendance malgré l'accord de cessez-le-feu
Shaun Walker à Donetsk
The Guardian ,Lundi 8 Septembre 2014
Avec le nombre de pop enjoués sur "expulser la junte fasciste", la poésie de guerre entraînante et - un peu incongrue - un défilé de chiens savants, les dirigeants de la Donetsk République autoproclamée du peuple ont célébré le lundi ce qu'ils considèrent comme la victoire sur Kiev.
Tenue à l'ombre d'un austère seconde guerre mondiale monument dans le centre de Donetsk, l'événement a été officiellement une célébration de la 71e anniversaire de la libération de la région du Donbass de l'occupation nazie. Mais les parallèles avec le conflit ukrainien actuel, où les dirigeants locaux et le président russe Vladimir Poutine ont comparé le gouvernement ukrainien à les nazis, ne sont pas difficiles à trouver.
Le Premier ministre auto-proclamé de la République populaire de Donetsk, Alexander Zakharchenko, a signé un accord de paix à Minsk vendredi dernier avec l'Ukraine de représentant, l'ancien président Leonid Koutchma. L'accord comprenait un cessez-le feu, un échange "tout pour tous" prisonnier, et une plus grande autonomie pour les régions de Donetsk et de Lougansk, avec l'hypothèse implicite qu'ils resteraient partie de l'Ukraine.
Après les entretiens, cependant, Zakharchenko dit que les régions avaient toujours l'intention de déclarer l'indépendance totale, ce qui suggère la région pourrait devenir une sorte d'«état de rupture" avec le soutien russe. En Donetsk, qui avait fait l'objet d'intenses bombardements ces dernières semaines, les rebelles et les forces gouvernementales ont tiré sur des zones résidentielles, les rebelles voient l'accord comme une victoire, de «geler» le conflit et forcer le gouvernement ukrainien à négocier avec les chefs rebelles, dont il avait déjà rejeté comme «terroristes».
Depuis que le cessez le feu a été signé, chaque partie a accusé l'autre de violer la trêve, et plus particulièrement dans la ville portuaire de Mariupol, où les points de contrôle ukrainiens sont venus sous le feu nourri de l'artillerie du côté pro-russe.
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Zakharchenko, s'exprimant lors de la manifestation à Donetsk, a déclaré que toutes les forces ukrainiennes doivent quitter les régions de l'Est, "ou nous allons les jeter". Les forces de Kiev a perdu beaucoup de terrain dans les deux semaines avant le cessez-le avec des preuves suggérant la Russie envoie des renforts d'armure et des soldats sur la frontière, quelque chose de Moscou a nié avec véhémence. Mais les troupes ukrainiennes contrôlent toujours l'aéroport de Donetsk et de nombreux autres sites clés, laissant craindre les combats pourraient reprendre à tout moment.
RépondreSupprimerAlexander Khryakov, un ministre dans le gouvernement de Donetsk, a déclaré au Guardian que un "vrai cessez-le feu" ne se produit que lorsque Kiev a été totalement vaincu.
«Aujourd'hui, nous célébrons la libération de la Donbass du fascisme", a t-il dit. "Et c'est une bataille qui est toujours en cours. Le cessez-le-feu viendra où il n'y a plus fascistes. Et pas seulement dans le Donbass, mais à Kiev aussi."
Le président de l'Ukraine Petro Porochenko a fait une visite surprise lundi à la ville portuaire du sud de Mariupol, qui est venu sous le feu nourri de l'artillerie, après que des combattants séparatistes auraient soutenus par une coopération russe ont pris la ville de Novoazovsk, plus loin le long de la côte et près de la frontière avec la Russie , il y a une quinzaine de jours.
Le samedi soir, un jour dans le cessez-le feu, la périphérie de la ville est venu sous le feu et les rebelles Donetsk a écrit sur son compte Twitter qu'ils ont été "prennent Mariupol", bien qu'ils aient dit plus tard, ils ont réagi aux provocations de la partie ukrainienne et étaient maintenir le cessez le feu. Le dimanche, les combattants ukrainiens ont affirmé que les rebelles avaient de nouveau bombardé leurs positions à la périphérie de Mariupol, faisant des victimes, et qu'ils avaient commencé à riposter, mais lundi était largement calme.
Porochenko, qui a parlé à une foule de travailleurs de l'acier à Mariupol, a promis que les pro-Russes face à une "défaite" s'ils tentaient de prendre la ville, ce qui donnerait aux rebelles Donetsk un débouché sur la mer.
"J'ai ordonné (l'armée) pour assurer la défense de Mariupol d'obusiers, lance-roquettes multiples, des chars, des armes anti-chars et une couverture aérienne", a déclaré le président ukrainien, vêtus de treillis de type militaire. "Mariupol a été, est et sera l'Ukraine."
Un certain nombre de combattants sur le côté ukrainien ont dit ces derniers jours que Kiev a besoin du cessez-le feu de se regrouper, mais reprendra les opérations militaires contre les "forces d'occupation" à la première occasion possible.
A Donetsk, il avait de la colère et la résolution parmi la foule de 1500 forte qui s'étaient rassemblés au rassemblement.
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"Nous avons adoré l'Ukraine jusqu'à ce qu'ils commencent à nous bombarder, maintenant nous ne pourrons jamais y retourner", a déclaré Zinaida, un 58-year-old locale. "Ils sont fascistes et ils ont votre soutien. Nous lisons que vous avez Ecosse vouloir y faire sécession. Pourquoi n'envoyez-vous pas vos chars et les détruire au lieu de les envoyer ici ? Nous ferons partie de la Russie maintenant et ne seront jamais aller sauvegarder ces fascistes ".
RépondreSupprimerDonetsk, une ville de 1 million d'habitants en temps de paix, est venu à ressembler à une ville fantôme au cours des dernières semaines, plus de la moitié de la population a quitté, et ceux qui restent rester à l'intérieur. Alors que l'ambiance à la manifestation a été unanime, beaucoup de ceux qui veulent continuer à faire partie de l'Ukraine ont quitté la ville. Le mois dernier, un militant pro-ukrainien rare a été capturé par les combattants rebelles et de se tenir debout drapé dans un drapeau ukrainien dans une rue du centre tandis que les passants jetaient des insultes et des projectiles sur eux. Ils ont ensuite été relâché.
Porochenko, de Mariupol, a déclaré que les rebelles avaient accepté de libérer environ 1200 prisonniers ukrainiens de captivité sous les termes de l'accord de Minsk. Il n'y avait aucune confirmation immédiate de la présente du côté des rebelles, ni aucune information quant à savoir si Kiev avait libéré les quelque 200 prisonniers qu'il avait prises parmi les combattants rebelles.
http://www.theguardian.com/world/2014/sep/08/donetsk-pro-russia-rebels-ukrainian-junta
Supprimer(...) Depuis que le cessez le feu a été signé, chaque partie a accusé l'autre de violer la trêve, et plus particulièrement dans la ville portuaire de Mariupol (...) C'est ce qui s'est passé à Kiev avec les troupes américaines Blackwater qui ont tiré (depuis la fenêtre d'un hôtel) sur les manifestants (pour faire croire que cela venait de la police), puis, sur les forces de l'ordre pour prétendre que les ukrainiens étaient armés !
(...) "Nous avons adoré l'Ukraine jusqu'à ce qu'ils commencent à nous bombarder, maintenant nous ne pourrons jamais y retourner", a déclaré Zinaida, un 58-year-old locale. "Ils sont fascistes (...) Le 'Ils sont fascistes' est quelque chose de tout-à-fait nouveau et si - le renversement de l'ancien chef d'Etat Ianoukovitch a été une bonne chose - l'arrivée à Kiev de Porochenko a réservé à l'Ukraine la surprise nazi. Régine nazional socialiste mis en place et entretenu par les nouveaux amis de l'Ukraine: USA/CEE.
Et la dame âgée de 58 ans poursuit: (...) Nous lisons que vous avez Ecosse vouloir y faire sécession. Pourquoi n'envoyez-vous pas vos chars et les détruire au lieu de les envoyer ici ? Nous ferons partie de la Russie maintenant et ne seront jamais aller sauvegarder ces fascistes ". (...) C'est une très bonne question !
L’OTAN sème le vent pour récolter la tempête ukrainienne
RépondreSupprimerAlexandre Artamonov
Lundi 8 Septembre 2014
L’OTAN cherche toujours noise à la Russie et quoi qu’elle fasse on lui fera porter le chapeau en cancre de la classe. Tel est son rôle parce que Washington a jeté son dévolu sur ce territoire slave tant convoité. C’est que les troupes à l’étoile sur fond bleu continuent de ramper à l’Est fidèles à l’héritage spirituel d’un Mac Kinder qui croyait que le maître du monde devait avoir maîtrise de la plaine slave jusqu’à l’Oural.
A partir de son ermitage en Limousin, le Général de l’Armée de l’Air Jean du Verdier a voulu nous confier son analyse géopolitique et historique sur le conflit entre les nazis de Kiev soutenus peu ou prou et à hue et à dia par l’OTAN et les milices pro-Russes des Républiques autoproclamées dans le Sud-Est où se battent même les militaires français partis en volontaires.
Voix de la Russie. Que pensez-vous du conflit ukrainien actuel et de l’attitude de Vladimir Poutine face à l’OTAN qui vient tout juste de tenir son sommet pour élaborer une nouvelle politique à l’encontre de la Russie ?
Général Jean Du Verdier. Je n’interviens pas en tant que militaire (je ne faisais pas partie de l’armée de terre) mais en tant qu’analyste et historien. Quand j’étais chez les jésuites, nos professeurs d’histoire nous incitaient toujours à distinguer dans un conflit les causes et les prétextes. La cause du conflit actuel en Ukraine – je pense que c’est la volonté des Etats-Unis de garder la mainmise sur l’Europe et de tenir à l’écart la Russie. Et cela justement par l’entremise de l’OTAN interposée.
La Russie et l’Europe de l’Ouest sont des pays complémentaires du fait de leur économie. Alors qu’au contraire, les Etats-Unis et l’UE sont en concurrence. Donc je pense qu’aujourd’hui les Etats-Unis, par l’intermédiaire de l’OTAN, mènent une politique agressive vis-à-vis de la Russie. A l’époque de Gorbatchev, les Russes ont donné des preuves de leur volonté pacifique en dissolvant le Pacte de Varsovie et l’URSS. A cette époque-là, l’OTAN n’avait plus de raisons d’être et aurait dû se dissoudre.
A l’inverse l’OTAN s’est montrée en permanence agressive vis-à-vis de la Russie en s’étendant toujours plus loin vers l’Est. En 2005, il y a eu un traité entre l’OTAN et la Russie, mais cela a été un peu du vent, car cela n’a pas abordé les problèmes de fond et je pense – c’est une opinion personnelle – que les dirigeants américains à l’heure actuelle n’ont pas une vraie vision géostratégique.
Aujourd’hui le bloc que constituent les pays d’origine indo-européenne et chrétienne va de San-Francisco à Vladivostok. Ces pays constituent un bloc qui pourrait se défendre contre les menaces externes. Les Américains sont bloqués dans une attitude peut-être héritée de la guerre froide… d’hostilité à l’égard de la Russie. « Hostilité » parce qu’ils ont peur que l’influence russe sur l’Europe amoindrisse le pouvoir qu’ils détiennent, une espèce de vassalité qu’ils exercent sur l’Europe. Et je pense que c’est la cause profonde de conflit actuel en Ukraine.
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Il n’est qu’une manifestation de cette volonté hégémonique sur l’Europe et la volonté d’écarter une Russie qui risque de contrecarrer cette influence. Je pense que la cause profonde est là !
RépondreSupprimerLe prétexte de la démocratie en Ukraine ou le peuple ukrainien qui se révolte contre des dirigeants – tout ça c’est de la superficie ! C’est le prétexte et point la cause !
Si on s’en tient justement à considérer ce problème à ce niveau-là, on peut dire que les Pro-Russes ont gagné sur le terrain, mais que dans le conflit général les USA sont en train de gagner ! Parce qu’ils ont réussi à l’occasion de ce conflit à dresser l’Europe, l’UE, contre la Russie. C’était cela qu’il fallait absolument éviter… Et je pense que le Président russe est assez intelligent pour comprendre que ce qu’il doit rechercher à l’heure actuelle c’est amadouer les Européens et faire comprendre à l’UE la position russe.
Je pense que sur le terrain, les Pro-Russes sont en train de gagner. A la mi-août jusqu’au 20 août à peu près, les choses allaient mal pour les Pro-Russes. Ils étaient plus ou moins encerclés dans les régions de Lougansk et de Donetsk… Mais à partir du 25 août, l’intervention russe s’est fait sentir, de façon très intelligente d’ailleurs au plan militaire… On voit très bien l’action pour doubler par le Nord Lougansk et Donetsk… Parallèlement il y a une action frontale en direction de ces deux villes, pour essayer de dégager Donetsk qui était en mauvaise posture… Et troisième axe d’efforts le long de la Mer d’Azov vers Marioupol peut-être avec une idée d’améliorer la relation avec la Crimée… Et encore plus loin : aller jusqu’à la Transnistrie où les Russes ont quand même déjà un point d’appui. C’est ma première analyse de la situation.
En tant que Français, je déplore beaucoup la position du gouvernement français, qui est bien sûr, comme d’habitude à la botte des Américains… L’histoire des Mistrals est absolument déplorable ! Je pense qu’en France la très grande majorité de Français s’en rendent compte ! Il y a eu hier une manifestation à Saint-Nazaire qui met en évidence l’inconséquence de la politique française en l’occurrence. Parce que personne ne fera plus confiance aux fabricants d’armes français si pour un « oui » ou pour un « non » on décide de ne plus livrer ! Je pense que c’est une décision sur laquelle on sera obligée de revenir assez tôt ! Du moins je l’espère !
Mais je pense que votre Président Vladimir Poutine est un des rares chefs d’Etat aujourd’hui à avoir une pensée géopolitique, plus qu’économique d’ailleurs. Il n’est pas du tout marxiste et il voit loin. Il essaie d’imaginer le monde de demain. Il cherche surtout à protéger ses frontières.
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Les Russes n’ont jamais été agressifs : ils n’ont cherché qu’à se protéger. Tout au long de leur histoire ils ont été victimes des Mongols, des Polonais, des Suédois, des Français, des Allemands… On comprend leur souci légitime de vouloir ménager autour du cœur de leur pays une zone-tampon qui leur permette de voir venir le péril d’un petit peu plus loin. Toute leur extension au cours des siècles n’a été toujours qu’une recherche de sécurité. Cela n’a jamais été une colonisation sauf pendant la période communiste. Je fais une parenthèse pour la période communiste où les Russes avaient délibérément une volonté de prosélytisme communiste qui les rendait agressifs !
RépondreSupprimerMais si on fait une parenthèse autour de cette période, eh bien ! – la politique russe n’a jamais été agressive. Et je pense que celle de M. Poutine ne l’est pas non plus ! M. Poutine cherche la sécurité de son pays et pour ça il a besoin d’avoir autour de son pays un glacis. Ainsi quand il réclame l’Ukraine, l’Ukraine a toujours été russe ! Si on plaisantait, on pourrait dire que c’est l’Ukraine qui pourrait revendiquer la Russie ! Parce que c’est de Kiev que la Russie était partie ! Cet Etat a été fondé par les Suédois les Russes étant le nom d’une peuplade suédoise autant que je me souvienne.
Commentaire. Il est bien vrai que l’Etat de la Russie d’antan se trouvait sur l’emplacement exact de l’Ukraine, autour de Kiev, mais sous la poussée des cavaliers de Gengis-Khan, les Russes ont reculé dans les forêts nordiques cédant leur place à un ramassis des peuples qui traversaient la plaine selon leur gré d’autant plus que le territoire de l’Ukraine se trouvait à mi-chemin entre la Crimée où l’on faisait activement commerce des esclaves… slaves (même la Sérénissime en fut preneuse pour ses galères) et les contrées septenrionales où l’on renouvelait justement le stock de la chair à vendre. Ceci est explicite, en tout cas en partie, de la valeur symbolique que les Russes rattachent à la Crimée, jadis le lieu de leur oppression !
http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/67041912/277027960/
SupprimerMême si les Etats-Unis (OTAN) n'a pas réussit à mettre la main sur l'Ukraine qui semble (à l'Ouest) se réveiller dans la douleur, ils auront au moins réussit à couper les liens d'amitié et commerciaux entre la CEE et la Russie. Les Etats-Unis n'y ont rien à y perdre, par contre... pour y gagner des marchés... hum-hum !
Dem députée veut laver le cerveau élèves de la maternelle sur le réchauffement climatique ...
RépondreSupprimerMonday, 8 Septembre, 2014
Joseph Goebbels serait fier ....
LAS VEGAS - Sur la scène du Sommet national de l'énergie propre de Harry Reid au Mandalay Bay jeudi était un défilé de politiciens démocrates vantant platitudes de sauver la planète et palliatifs assorties.
Nevada députée Dina Titus sorti et dépoussiéré un des dénigrements préférés d'Obama pour ceux réchauffement de la planète sceptiques, les qualifiant de membres de la Flat Earth Society.
"Ignorer ce genre de questions du changement climatique, tout en négligeant les avantages économiques que les individus et les entreprises peuvent avoir en réduisant leur consommation d'énergie et la conservation des ressources est juste une réponse irresponsable à un problème grave, "a t-elle déclaré dans son épaisseur voix traînante Géorgie, même si elle a vécu dans le Nevada majeure partie de sa vie. [...]
Titus a lancé un appel pour sensibiliser les gens à la menace du changement climatique. "Eduquer les gens est très important. Nous devons les éduquer à commencer à un âge très précoce à la maternelle ", a déclaré l'ancien professeur UNLV.
http://www.bluegrasspundit.com/2014/09/dem-congresswoman-want-to-brainwash.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+bluegrasspundit%2FNwhs+%28Bluegrass+Pundit%29
SupprimerAvec des sucettes et gâteaux en forme de croix gammées ?