- ENTREE de SECOURS -



jeudi 6 mars 2014

Les robots au chômage rapé ?

De tout temps les esclaves ont facilité la tâche des employeurs, et outre les animaux domestiqués, la mécanique des mouvements perpétuels et gratuite (roues à aubes, moulins à vent, etc), arriva celle des moteurs a explosion comme électrique. Cette aide venue laissa donc à l'homme plus de temps à réfléchir sur des méthodes plus élaborées. L'ère de l'informatique donna une nouvelle dimension aux robots: ils étaient programmables.
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Donc, travaillant 24/24h et 7/7j, le produit sorti ne peut qu'être moins cher. Moins cher pour répondre à l'achat de personnes de moins en moins fortunées suite à la perte de leur emploi ou de réduction de ses horaires. Mais surtout, pour que les produits continuent à se vendre, il fallait les rendre destructibles. Sur ce, arriva l'imprimante 3D. Machine encore coûteuse de nos jours mais, qui permettra bientôt, de fabriquer enfin du solide incassable. Produit qui durera donc plus longtemps mais qui ne résoudra pas par là le problème du chômage.
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Là où les cailles tombent toutes rôties
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Mais, comme tout ne peut être robotisé ou copié indéfiniment sur des machines, l'homme aura donc une toute petite place. Mais, si les acheteurs ont de moins en moins d'argent, ce ne sont pas les robots qui mettront la clé sous la porte (encore qu'ils s'en foutent !), mais les derniers humains qui travaillent faute de continuer leur effort et de jeter la marchandise !
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Ainsi, à moins de fabriquer des billets de mille comme le font les banques à partir de rien (!) et que chacun en reçoive des brouettes pour vivre, il n'y aurait donc pas de solution. Donc, comme ceux qui travailleraient encore n'accepteraient plus de se tuer à la tâche pour manger alors que les sans-emploi sont payés à rien foutre, ce serait donc un monde de chômeurs. Chômeurs qui vivraient donc d'argent sorti de la planche à billets où peut-être une loterie viendrait briser la monotonie de 'se la couler douce' en offrant plus de billets à quelques-uns. Car, de vouloir un jour interdire les robots déclencherait bien la révolution !

14 commentaires:

  1. Un robot de 18.000 euros signe l'arrêt de mort de l'ouvrier

    05 mars 2014
    par Arnaud Lefebvre

    Des robots sophistiqués destinés à travailler menacent de rendre superflus de nombreux métiers de travailleurs ayant peu de formation. C'est ce qu’affirme l'entrepreneur en technologie Jerry Kaplan. Selon lui, des inventions comme le robot Baxter de l'entreprise américaine Rethink Robotics offrent en effet aux machines la possibilité de se déplacer librement et d'exécuter une combinaison de différentes opérations. De ce fait, les tâches d'un travailleur peuvent être totalement effectuées grâce à la technologie et selon Kaplan, à terme, certains métiers disparaîtront complètement. Notamment, on sait que le centre de technologie Sirris à Diepenbeek expérimente un robot Baxter.
    Le robot Baxter coûte 25.000 dollars et est équipé d'un ordinateur-tablette qui peut passer pour un visage. De récents manquements dans les capacités optiques d'un ordinateur qui ont longtemps été considérés comme un des plus grands problèmes de l'intelligence artificielle sont à la base de l'introduction de machines comme le Baxter. En outre, grâce à la révolution du smartphone, les prix des sensors, une pièce essentielle des ordinateurs, vont s'effondrer, selon Rodney Brooks qui a conçu le robot Baxter. Cependant, selon lui, d'autres développements dans le domaine des machines aptes à apprendre étaient aussi nécessaires pour mettre la technologie au point et affiner le cerveau des engins.
    « En premier lieu, le Baxter sera peut-être incorporé sur des lieux de stockage pour manipuler des marchandises ou pour charger les véhicules de transport », indique Jerry Kaplan. « Sur ce genre de lieu de travail, les travailleurs n'utilisent en effet plus que leurs mains et leurs yeux, ce qui peut être pourra être parfaitement assuré par Baxter. Ces travailleurs seront alors peut-être rapidement remplacés par des robots. Par contre, il faudra sans doute encore des décennies avant que les voitures automatiques de Google puissent fournir un service tout à fait autonome de taxis, mais la technologie a déjà démontré qu'il est possible d'organiser un transport sans conducteur en toute sécurité sur des autoroutes ».
    Selon Kaplan, il n'est pas non plus impensable que le trafic cargo transcontinental soit assuré par des camions-drones et que la présence d'un chauffeur ne soit nécessaire que dans les derniers kilomètres avant l'arrivée à destination. « De cette manière, beaucoup de tâches peuvent peut-être restructurées ce qui rendrait un bon nombre de professions inutiles en grande partie ». Rodney Brooks signale que des trusts importants comme Amazon et Google se sont mis au rachat d'entreprises de robotique. Cela peut, selon lui, conduire à de nouvelles évolutions grâce auxquelles, entre autres, des compétences mécaniques plus précises pourraient être attribuées aux mains des robots, ce qui entraînerait de nouvelles possibilités.

    http://www.express.be/business/fr/technology/un-robot-de-18000-euros-signe-larret-de-mort-de-louvrier/203063.htm

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  2. Parlement de Crimée : unanimité pour le rattachement à la Russie

    Par La Voix de la Russie

    Le parlement de Crimée a adopté la décision sur le rattachement à la Russie, indique le texte de la résolution.

    « (La Crimée souhaite ) intégrer la Russie en tant qu'entité de la Fédération de Russie », stipule le texte présenté par le député Sergueï Chouvaïnikov.T

    http://french.ruvr.ru/news/2014_03_06/Le-parlement-de-Crimee-vote-a-lunanimite-pour-le-ralliement-de-la-Russie-0958/

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  3. Sur Pussy Riot attaqué à Nijni Novgorod
    06/03/2014 10:55

    En Nijni-Novgorod McDonald à la gare de Moscou un groupe de jeunes hommes a attaqué un membre du groupe punk Pussy Riot Nadezhda Tolokonnikova et Maria Alekhine. Cinq jeunes filles douchés objets métalliques, de la nourriture, et puis une autre et versé de la peinture verte.

    En outre, les filles des jeunes ont déclaré "Interfax".

    "Masha Alekhine a été battu au visage - une coupure sur son front," - dit l'avocat affecté filles Eugene Gubin. Selon lui, les assaillants de seringues éjacule filles sur un liquide inconnu. En conséquence, les filles ont des lésions oculaires.

    Tout ce qui s'est passé que les caméras ont enregistré le fast-food, et la caméra groupe participant. Les employés de la police de Nijni-Novgorod enquêter sur les circonstances des attaques sur Tolokonnikova et Alekhine. Les victimes ont déjà visité la police et est allé à l'hôpital.

    L'attaque s'est produite presque immédiatement après les deux participants bande punk est arrivé à Nijni-Novgorod sur le train du matin de Moscou en 6 heures et 20 minutes. Avec eux sont venus Peter Verzilov et «deux ou trois assistants."

    Ils sont allés dans un restaurant fast-food près de la gare prendre le petit déjeuner à 6 heures et 40 minutes. Ici pour Tolokonnikova et Alekhine homme a couru et aspergé leur substance verte. À la suite de l'attaque, l'une des filles blessée à l'œil.

    Sur la scène fonctionne groupe de police judiciaire.

    Ce n'est pas le premier incident avec les filles à Nijni Novgorod. 14 janvier 2014, ils étaient dans le blocus de transport à la gare de Moscou parce que les messages au sujet de la menace à la bombe. Espérons Tolokonnikova et Maria Alekhine venus à Nijni-Novgorod à rencontrer les prisonniers pénitencier le numéro 2 des femmes. Dans la soirée, ils avaient l'intention de retourner à Moscou. Première arrêté leurs voitures sur le chemin de la gare, puis bouclé la zone de la station à cause du message suspect.

    http://www.vesti.ru/doc.html?id=1350842

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  4. L’UE va financer des « trolls » pour contrer les eurosceptiques en vue des élections de 2014


    On se pince pour y croire. Le Parlement européen va débourser environ 2 millions de livres sterling (2,5 millions d'euros) pour lancer une armée des "trolls" dans les forums de discussion en ligne, afin de lutter contre l'euroscepticisme galopant. Objectif : empêcher un désastre lors des prochaines élections européennes qui devraient avoir lieu entre le 5 et le 8 juin 2014. Citoyens, tenez-vous prêts ! Les trolls de Van Rompuy sont lâchés ! Et ils ne feront pas de quartier !

    Ce n'est pas le Journal de Mickey qui sort l'information, mais bien le Daily Telegraph, journal peu réputé pour ses blagues et ses poissons d'avril (qui sont d'ailleurs encore peu de saison...), dans un article du 3 février 2013 signé Bruno Waterfield. Le Daily Telegraph a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d'une campagne de propagande sans précédent, avant et pendant les élections de juin 2014.

    Au coeur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique. Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s'agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".

    Big Brother : "La solution, c'est plus d'Europe"

    La stratégie mise en place par l'UE rappelle fortement les préconisations du juriste Cass Sunstein, ancien administrateur de l'OIRA du gouvernement Obama, pour venir à bout des théories du complot sur la Toile. En 2008, il avait en effet co-signé avec Adrian Vermeule un article intitulé Conspiracy Theories, où il affirmait que la meilleure réponse aux théories du complot consistait dans l'infiltration cognitive des groupes extrêmistes, au niveau des réseaux sociaux, des forums, et même des réseaux physiques, dans le but de les désamorcer en soulevant des doutes au sujet de leurs prémisses factuelles ou de leurs implications logiques et causales du point de vue de l'action politique.

    Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu'expriment de plus en plus d'Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe". Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé - dans le roman 1984 de George Orwell - ne saurait être que fortuite. Des fonctionnaires européens grassement payés pour troller sur Twitter et Facebook réussiront-ils à convaincre les Grecs que plus d'Europe c'est la paix, ou les Espagnols que plus d'Europe c'est le plein emploi ?

    (suite en dessous:)

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  5. Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés - incorrects - sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu'est l'UE, dixit Barroso.

    En pleine crise économique, et alors que l'austérité est imposée aux Etats, l'UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu'une augmentation de près de 2 millions d'euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.

    Fanatisme et république bananière

    Nigel Farage a été l'un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur RT, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".

    Voici la traduction de son interview. Alors que la journaliste lui fait remarquer le côté loufoque de l'opération, Farage répond :

    « Eh bien, c’est du sérieux, le Bureau du Parlement, c’est-à-dire l’organisation du Parlement européen qui décide de l’attribution des fonds, a décidé qu’ils allaient former du personnel en interne en vue des élections européennes de 2014, les former afin qu’ils aillent en ligne, sur Facebook, Twitter et d’autres réseaux sociaux, pour « corriger », c’est le terme qu’ils ont choisi, pas moi, pour « corriger » toute méprise pouvant exister au sujet de l’UE. Et je dois dire que le fait que ce soit un parlement qui fasse cela, utilisant l’argent du contribuable à ces fins, en dit long sur les institutions de l’UE.

    Tout d’abord, un parlement est constitué d’un président, vous savez celui qui s’assoit sur la chaise (d’où son nom : en anglais : « chairman ») et qui à Westminster est appelé le « speaker », ou « chairman » dans d’autres parlements de par le monde, ensuite vous avez le reste du personnel, et ce dernier est censé être neutre, il n’est pas du tout censé être politisé. Le fait que le Parlement européen ait décidé d’engager des fonds afin de former ses équipes à cette tâche, montre franchement qu’il ne vaut pas mieux qu’une république bananière. Voilà quelque chose qu’on attendrait de Mugabe ou quelqu’un de ce genre. Sans doute des gens seront choqués de l’apprendre. Personnellement, y ayant travaillé durant treize ans, je ne suis pas du tout surpris : ils ont vraiment peur, ils ont peur car du nord au sud et d’est en ouest, dans toute l’Europe, les citoyens sont en train de dire : « nous n’avons jamais voté pour que cette union devienne les Etats-Unis d’Europe, nous n’avons jamais demandé que la majorité de nos lois soit élaborée ailleurs et par d’autres, et nous comptons bien remédier au problème ». Donc, ils ont peur, et se défendent. »

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  6. « Oui, d’accord, de fait ils ont peur, en revanche et en faisant abstraction des critiques sur le plan moral, ce projet est-il seulement légal ? »

    « Les mots « légal » et « Union européenne » ne vont pas ensemble. Rien ici n’a vraiment d’importance : il n’y a pas de règles. Vous savez, le traité de Lisbonne, enfin ce qui est devenu le traité de Lisbonne après que les électeurs aient laissé tombé le projet de constitution européenne, le traité de Lisbonne, donc, avait interdit le renflouement des pays de la zone euro et pourtant cinq pays de cette zone euro ont aujourd’hui « bénéficié » de plans de renflouement. Il n’y a pas de règles. Ce que nous avons ici, c’est une croyance politique, fanatique, selon laquelle nous nous devons de construire une structure européenne, un Etat européen, doté de sa propre armée, de ses propres forces de police, de son propre Trésor, et au diable ce que pensent les peuples d’Europe, nous allons le faire nonobstant. Voilà ce qui motive ce projet européen ; ils ont un drapeau, ils ont un hymne, ils sont fanatiques, et je crois qu’ils sont les gens les plus dangereux que l’on ait vus en Europe depuis soixante-dix ans. »

    « Bien, vous avez clairement exprimé votre point de vue. Maintenant, et brièvement, n’aurait-il pas été plus sensé de s’attaquer au problème à sa source, au lieu de dépenser l’argent du contribuable ainsi que vous le mentionniez sur les médias et réseaux sociaux en tentant de la sorte de changer l’opinion publique ? »

    « Quand bien même vous dépenseriez un billion d’euros en tentant de régler le problème à la source… Le problème à la source, sur le plan économique, est que la zone euro ne peut ni ne va jamais fonctionner. Donc, il est inutile de tenter quoi que ce soit : on ne peut rien résoudre. Il s’agit d’une construction dont l’architecture même est inadaptée, autant sur les plans économique que politique, cela ne fonctionnera pas, et plutôt que d’admettre leur défaite, ce qu’ils vont tenter à présent est de traîner dans la boue les gens comme moi ou de remettre en question leur légitimité, et je pense que dans les années qui viennent la guerre des mots qui a lieu au sein de l’UE va de fait devenir de plus en plus aigre et sale. »

    Obama, Van Rompuy, Pujadas : trolls ?

    Cette immense campagne de propagande qui s'annonce dans les mois à venir, une fois que les "trolls" du Parlement européen auront été formés avec l'argent public, m'a donné envie d'aller jeter un oeil sur le compte Twitter du troll-en-chef, le président du Conseil européen, Herman van Rompuy. Va-t-il prendre lui-même la tête de son armée de trolls ? A-t-il déjà déclenché les hostiliés ? Jugez-en par vous-mêmes... Voici son dernier tweet, posté le 13 février, qui pourrait donner le ton des messages à venir :

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  7. Il vante l'accord de libre-échange euro-américain en train de prendre forme, le formidable espoir que représente, selon lui, le Grand Marché Transatlantique, quelques heures à peine après que Barack Obama y a lui-même fait référence dans son discours sur l'état de l'Union : "Nous allons lancer des discussions sur un accord transatlantique global sur le commerce et l'investissement avec l'Union européenne parce qu'un commerce libre et équitable de part et d'autre de l'Atlantique soutiendra des millions d'emplois américains bien payés", a déclaré le président des Etats-Unis mardi soir devant le Congrès à Washington. Belle synchronisation.

    La déclaration d'Obama nous aura d'ailleurs valu un petit événement médiatique : la première évocation du Grand Marché Transatlantique, ce mercredi 13 février 2013, dans le journal de 20 heures de David Pujadas sur France 2. Maryse Burgot, la correspondante de la chaîne à Washington, est emballée et nous présente l'union euro-américaine comme une nécessité : "Face à la montée des pays émergents, face à la Chine, face au Brésil, les Européens et les Américains n'auraient pas aujourd'hui d'autre choix que de se mettre ensemble, c'est tout le sens de ce qui a été annoncé aujourd'hui".

    On regrettera ici l'absence de contextualisation, qui ne permet pas au téléspectateur d'imaginer que les origines de ce projet remontent à 1990 (on a, au contraire, l'impression que l'idée vient tout juste de sortir de la tête de Barack Obama), et qu'il a suscité bien de la défiance, jadis, tant au PS qu'au RPR (ancêtre de l'UMP). On n'entendra pas ainsi parler des réticences exprimées en octobre 2009 par celui qui est devenu le numéro un du Parti socialiste (Harlem Désir), ni des fortes objections avancées par le leader de la gauche radicale (Jean-Luc Mélenchon), sans parler des analyses très critiques d'un Pierre Hillard, situé de l'autre côté de l'échiquier politique. Pas d'allusion non plus à ce qu'un fonctionnaire international (E. Aperaude) écrivait dans Marianne en avril 2009, qui parlait de "l'Europe de la servitude volontaire", pointant que le projet d’unification euro-atlantique n’était pas seulement économique, mais aussi politique et militaire, et allait clairement dans le sens d’un alignement des Etats européens sur les Etats-Unis.

    Et puis, Maryse Burgot nous assure que ce projet ne risque pas de voir le jour de sitôt, qu'on a le temps de voir venir : "Alors bien sûr, il y aura des réticences, il faudra des années avant de trouver un accord..." L'ennui, c'est que ces propos ne cadrent pas du tout avec le calendrier fixé par les deux hommes chargés du dossier, Karel de Gucht (le commissaire européen au Commerce) et Ron Kirk (le représentant au Commerce mandaté par Barack Obama), qui "espèrent que les négociations, ouvertes début 2013, seront bouclées en 18 mois. Donc que cette vaste zone de libre-échange devienne une réalité dès la mi-2014..."

    A se demander si les "trolls" n'ont pas déjà commencé à oeuvrer... dans le petit écran.

    http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/l-ue-va-financer-des-trolls-pour-130702

    http://bistrobarblog.blogspot.fr/2012/10/paye-pour-faire-la-taupe-sur-internet.html

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  8. Quelle est la plus grande menace pour l'humanité ?


    Lizzie Bennett métro Medic
    5th Mars, 2014



    Prenez un moment et réfléchir à ce que vous pensez est le plus grand danger nous comme une espèce devrons faire face dans un proche avenir.

    Fait ?

    Qu'est-ce que vous venez avec ?

    - Pandémie ?
    - Holocauste nucléaire ?
    - Astéroïde tueur ?
    - Effondrement de la société ?
    Toutes ces choses pourraient bien conduire à notre disparition, mais la plus grande menace qui nous guette en ce moment est l'échec des antibiotiques pour tuer les infections.

    Infection. Simple, invisible jusqu'à ce qu'il soit trop tard, l'infection.

    Debout à l'extérieur dans Praed St Paddington, Londres, la vue semble assez normal. Hôpital St Marys est en face de l'hôtel et un pub, un panneau de signalisation et une petite plaque bleue sur un de ses murs étayés. Les gens marchent passé, beaucoup ne réalisant pas que la fenêtre au deuxième étage au-dessus du signe de la plaque et de la route est la pièce où Alexander Fleming a découvert la moisissure qui mènent au premier antibiotique, la pénicilline, en 1928.

    Selon certaines estimations, la pénicilline a sauvé plus d'un milliard de vies depuis qu'elle est devenue disponible dans le commerce en 1943. Ces milliards de vies ne comprennent pas les autres antibiotiques qui ont été développés depuis.

    La découverte et le développement des antibiotiques ont été salués comme l'un des plus grands les plus transformationnelles, avances, médicaux de tous les temps.

    La résistance aux antibiotiques a rendu de nombreux antibiotiques inutiles, et la liste est de plus en plus chaque mois. Nous sommes vraiment dirigés vers une époque où les infections très simples sont des tueurs à nouveau redoutés.

    Les enfants vont mourir de l'amygdalite, n'importe quel type de chirurgie orthopédique deviendra une loterie infection dans l'os est peu probable d'être de survivre sans antibiotiques. La plupart des formes de chimiothérapie seront inutiles tant que thérapie antibiotique est longent le traitement. patients transplantés d'organes sont en proie à des infections, dont aucun ne serait traitable. Les gens une fois devenu fou comme un effet secondaire de la syphilis et d'autres maladies sexuellement transmissibles devraient sévir dans la société.

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  9. Les gouvernements du monde doivent prendre une partie de la responsabilité de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Oui les médecins ont prescrit des antibiotiques sur, et oui les patients ont exigé pour chaque affection mineure, mais en ajoutant des antibiotiques pour l'alimentation animale a causé massive passive sur-exposition.

    Un rapport de l'Université de Princeton affirme que 80% des antibiotiques produits dans les États-Unis sont donnés aux animaux. Une grande quantité de ces antibiotiques sont excrétés qui lui permet de se déplacer dans le sol et les eaux souterraines fournitures.

    Les antibiotiques sont maintenant détectables dans les poissons sauvages et sont régulièrement mis dans la nourriture donnée aux poissons d'élevage.

    Des avertissements ont été émis à ce sujet il y a plus de deux décennies, mais encore les gouvernements permettent la pratique de continuer.

    La FDA a émis des directives concernant l'industrie des marqueurs de résistance aux antibiotiques dans les cultures vivrières génétiquement modifiées en 1998. Le document précise:

    Dans les deux cas, les développeurs de cultures devraient évaluer la sécurité d'utilisation des antibiotiques gènes marqueurs de résistance présents dans les cultures transgéniques.

    Une évaluation de la sécurité d'utilisation d'un marqueur de résistance à un antibiotique, s'il est exprimé, doit comprendre une évaluation de la sécurité de la protéine ou de l'enzyme codée par le gène, s'il est présent dans l'alimentation. Peu importe si elle est exprimée, les développeurs de cultures devraient évaluer le potentiel de la thérapie avec des antibiotiques pour être compromis par le transfert du gène de plantes aux micro-organismes dans l'intestin de l'homme ou de l'animal, ou dans l'environnement.

    Nous sommes confrontés à une crise, une crise énorme que le développement de nouveaux antibiotiques prend des années, et ils sont des années que nous n'avons pas. La recherche d'antibiotiques naturels est sur. L'un des sauveurs les plus prometteuses se trouve à l'arrière de la plupart des armoires, ne sortant que pour rehausser une tarte aux pommes. Cannelle.

    Les études sur les propriétés antibiotiques de la cannelle sont en cours depuis des années.

    (suite en dessous:)

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  10. Chercheur principal Erdogan Ceylan, MS, a indiqué que dans le jus de pomme échantillons inoculés avec environ un million de E. coli O157: H7 bactéries, environ une cuillère à café (0,3 pour cent) de cannelle tué 99,5 pour cent des bactéries en trois jours à température ambiante (25 ° C ). Quand la même quantité de cannelle a été combiné avec soit 0,1 benzoate de sodium pour cent ou de sorbate de potassium, des agents de conservation approuvés par la Food and Drug Administration, les E. coli ont été assommés à un niveau indétectable. Le nombre de bactéries ajoutées à des échantillons d'essai était de 100 fois le nombre généralement trouvé dans les aliments contaminés. ( Source )

    Autres substances naturelles sont à l'étude vigoureusement. L'ail, l'argent colloïdal et de traitement plus récemment probiotique impliquant yaourt pour les infections intestinales telles que Clostridium difficile. Des choses simples que beaucoup de gens ont, ou peuvent faire à la maison.

    Il semble ironique que tous les progrès humanité a fait que nous nous trouvons dans une situation où un organisme unicellulaire peut littéralement être la mort de nous.

    Prenez soin

    Liz

    http://www.thedailysheeple.com/whats-the-biggest-threat-to-mankind_032014

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  11. Écotaxe = 100 000 euros de manque à gagner par heure… Ce que coûte à la France l'indécision permanente du gouvernement

    2 465 753 euros par jour, 100 000 euros par heure, ou encore 1 700 euros par minute. C'est ce que coûte le report de l'écotaxe selon un compteur en temps réel mis en ligne mardi par France Nature Environnement (FNE). Le manque à gagner aurait donc déjà dépassé 150 millions d'euros depuis le 1er janvier.

    J'y vais, j'y vais pas...
    Publié le 6 mars 2014

    Atlantico : Le manque à gagner dû à la suspension de l'écotaxe se chiffre à plus de 100 000 euros par heure et a déjà dépassé 150 millions d'euros depuis le 1er janvier, selon un compteur mis en ligne mardi 4 mars par l'ONG France Nature Environnement (FNE). Le gouvernement est-il en train d’enfoncer ses déficits publics et sa dette, en essayant d’obtenir l’effet inverse ?

    Philippe Crevel : Le Gouvernement doit faire face à un manque à gagner fiscal qui remet en cause le financement de plusieurs projets d’infrastructures et à un coût lié au non-respect du contrat avec l’entreprise en charge de l’exploitation des portiques. Nous sommes dans un cas exceptionnel d’un prélèvement qui a disparu mais dont une partie des coûts de recouvrement demeure. Au-delà de cette hérésie fiscale, le gouvernement constate que l’assiette fiscale commence à se dérober sous ses pas. Les rentrées d’impôts, de cotisations et de taxes sont moins fortes que prévues en raison de la volonté des Français d’y échapper et à une croissance aux abonnée absente. Le surcroit fiscal a généré un découragement ou un renoncement qui évidemment réduit les ressources de l’Etat. (...)

    http://www.atlantico.fr/decryptage/ecotaxe-100-000-euros-manque-gagner-heure%E2%80%A6-que-coute-france-indecision-permanente-gouvernement-philippe-crevel-1001862.html

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    Réponses
    1. Incompréhension économique ! "Le manque à gagner dû à la suspension de l'écotaxe se chiffre à plus de 100 000 euros par heure et a déjà dépassé 150 millions d'euros depuis le 1er janvier" !!? Où peut bien se situer le 'manque à gagner' ??! Que va faire le citoyen de tout cet argent qui n'a pas été volé par l'Etat ? Va t-il le brûler ? Le foutre à la poubelle ? Et bien non, il va le dépenser ! Cà alors !

      Donc, lui il va contribuer à créer des emplois ! et reverser de la tva. Il ne manque donc zéro centime au budget de l'Etat.

      Le plus lamentable (et Atlantico n'en a pas l'exclusivité) est que la presse parle toujours de 'manque à gagner' (??!). Qu'est-ce donc qu'un 'manque à gagner' ? "J'ai acheté un billet de loterie où j'aurai pu gagner 3000 briques, je n'ai pas gagné, mon chiffre de 'manque à gagner' se situe donc à 3000 briques !", ou, "je n'ai pas acheté de nouvel avion cette année, où est l'économie d'un milliard qui n'est pas dans ma poche ?"

      Plus con que çà tu meurs.

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  12. Snippers de la place Maidan : La vérité se fait jour, et ce n’est pas ce que les médias vous ont dit !

    galadriel 5 mars 2014 Conflit

    Comment ne pas douter aussi pour la Lybie, et la Syrie ? Même procédé exactement : manifestation pacifique, population désarmée, snippers sur les toits, levée de bouclier internationale, chaos… Souvenez-vous, du processus, vous serez frappés comme moi par les similitudes.

    Quand on songe aux victimes innocentes, aux milliers de réfugiés qui ont tout perdu, aux pays ruinés, à la haine qui se répand comme la peste, c’est d’une monstruosité absolue.

    ON VOUS A PRÉSENTÉ LES CHOSES COMME ÇA :

    Ukraine : bain de sang à Kiev

    Les forces spéciales antiémeute ont tiré à balles réelles. Attention, certaines images de la vidéo peuvent choquer.

    http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/video-batailles-de-rues-en-ukraine-les-snipers-de-la-police-anti-emeute-face-aux-manifestants-casques_534909.html

    ET ENCORE COMME ÇA :

    http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/ukraine-plus-de-60-morts-des-manifestants-tues-par-ia0b0n1932764

    ETC.. Les exemples ne manquent pas dans la presse.

    LA RÉALITÉ C’ÉTAIT ÇA :

    Ukraine: policiers et manifestants abattus par des snipers inconnus
    Les autorités estoniennes ont confirmé l’authenticité d’un entretien dans lequel le ministre des Affaires étrangères Urmas Paet aurait déclaré à la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton que les mêmes snipers inconnus avaient tiré à la fois sur les manifestants et les policiers lors des troubles à Kiev.
    L’entretien entre M. Paet et Mme Ashton a eu lieu le 26 février, après une visite du ministre estonien dans la capitale ukrainienne. Selon un communiqué de la diplomatie estonienne, M. Paet a fait part de ce qu’il avait appris lors de ses rencontres à Kiev et a exprimé sa préoccupation au sujet de la situation en Ukraine.

    On retient particulièrement un fragment de la conversation dans lequel M. Paet a fait état de snipers embusqués qui avaient tiré sur des gens à Kiev. Le ministre a déclaré tenir cette information du docteur Olga Bogomolets, médecin qui avait soigné les manifestants et les policiers blessés sur la place de l’Indépendance.
    « Olga m’a dit qu’à en juger d’après les preuves dont elle disposait, les mêmes tireurs avaient abattu des policiers et des personnes rassemblées sur la place », a affirmé M. Paet lors de son entretien avec Mme Ashton.
    L’Ukraine s’enfonce dans le chaos

    D’après le ministre, Mme Bogomolets lui a montré des photos et cité des avis médicaux confirmant que les balles ayant fait des morts des deux côtés avaient été tirées par les mêmes armes.

    « Mais ce qui inquiète particulièrement les gens, c’est que la coalition [en place à Kiev] refuse d’enquêter sur ces épisodes. On devient de plus en plus conscient que ce n’était pas Ianoukovitch qui se trouvait derrière ces tireurs, mais quelqu’un qui fait actuellement partie de la nouvelle coalition », a confié M. Paet à Mme Ashton.

    Le ministre estonien a refusé de commenter cet enregistrement.
    « Il est dommage que la conversation ait été interceptée. Et ce n’est pas sans raison qu’elle a été mise en ligne aujourd’hui », a conclu M. Paet.

    http://fr.ria.ru/world/20140305/200651842.html

    http://lesbrindherbes.org/2014/03/05/snippers-de-la-place-maidan-la-verite-se-fait-jour-et-ce-nest-pas-ce-que-les-medias-vous-ont-dit/

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    1. Voir ou revoir:

      Les 'révolutions furtives'
      mardi 25 février 2014

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/02/les-revolutions-furtives.html

      et, pareil que pour les inondations dont les coupables sont les Etats (et non la 'montée des eaux' ! Hahaha !) pour non-dragage des fleuves et mise en danger d'autrui et mort avec préméditation, ce qui s'est passé dernièrement à Kiev (snippers mercenaires étrangers) est que... la presse occidentale n'en a pas parlé ! Cà alors !! l'aurait-elle oublié ? Faudra qu'on lui rappelle que la vérité ce n'est pas de la merde.

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