- ENTREE de SECOURS -



lundi 23 janvier 2017

Surprise de l'élection de Donald Trump ?

Voilà quelqu'un 'inconnu au bataillon' politique et qui (comme vous et moi) a osé exprimer ses propres idées personnelles en public !! Çà alors !!  Juste que 'le petit plus' est que lui [Donald Trump] il a des milliards. Des milliards qui n'ont pas servi à construire/aménager des îles artificielles en paradis flottant mais à mener campagne contre le nano-groupuscule de dictateurs (non élus, je vous rassure) que représentent les merdias. Oligarchie qui, sous la fausse excuse d'informer le monde le désinforme en ne rapportant ni les idées du peuple ni, bien sûr, les opinions des 'élus' !! C'est-à-dire qu'il s'agit là d'un pouvoir suprême qui s'est adjugé la fonction de gouverner les habitants de la Terre en s'appropriant le droit unique de transmettre des messages en toute liberté!! *

*+ de 97 % des communications se font par la fibre optique filtrée par la NSA et, seulement moins de 3% par satellites (réservées aux militaires, cartographie et messageries maritimes). Seuls, s'échappent les 'talkie-walkies'.

Et voila que, pataugeant dans sa merde à 'Qui-chie-le-plus-haut', ces organes répugnants ont englouti des milliards pour accuser de tricherie sans preuve le vainqueur des élections comme depuis son dépôt de candidature et - on le constate aussi - depuis son poste mirador du début de son mandat.

Hahahahaha !

Le 'plus marrant" est que la presse à organisé/payé des faux-manifestants (à 50$/h !) pour défiler et scander des slogans hostiles au chef de l'Etat alors que ces mêmes 'contestataires' ont CERTAINEMENT voté pour Donald Trump compte tenu de leur situation misérable dans laquelle ils sont depuis plus de 8 années aux USA !

Exemple (à se plier en 4 ! Hahahaha !):


ou


où des photos de manifestantes (prostituées ?) sont montrées. Or, si la particularités est qu'il n'y a aucun panneau ou banderole fabriqués à partir d'adhésifs (sérigraphie) pour faire 'plus people'... tous ont utilisé les mêmes crayons feutres sur les pancartes ! HAHAHAHA !

Réjouissance mondiale qui a fait dire par les commentateurs jusqu'à 1000 % le nombre d'habitants qui ont suivi sur notre planète les présidentielles aux États-Unis !

Ainsi - lu dans 'La presse' - après le boucliers humains constitué de millions d'enfants, de femmes et d'hommes d'Europe derrière qui s'abritaient les 'forces americaines' pour lancer une guerre mondiale vers la Russie pacifiste, voilà 'plus de 23 000 enfants' dits 'réfugiés en Europe' !!! (qui seraient donc venus à pieds (nus ?) ou a 4 pattes ? sur des milliers de kilomètres, en voiture ou en avions), et qui... n'auraient pas de billets de retour vers leur pays chaud qu'ils auraient volontairement quittés pour les pays froids !!  Çà alors !! Pourquoi ne sont-ils pas allés au pôle Nord et demandé à y être chauffés ?

55 commentaires:

  1. Sénateur américain : les manifestations anti-Trump ne sont «que du spectacle»


    23 janv. 2017



    Les manifestations contre le nouveau président américain se sont multipliées mais, pour le sénateur de l'Etat américain de Virginie Richard Black, il s'agirait d'un groupe très restreint, financé et qui n'a pas l'air «très sincère»,

    Richard H. Black est un sénateur américain du parti républicain.

    Le premier jour où Donald Trump a officié en qualité de président des Etats-Unis, des milliers de personnes ont défilé à Washington dans le cadre de la Marche des femmes. Cet événement a lieu un peu partout dans le monde. Selon les organisateurs, le but est de montrer à Donald Trump que «les droits des femmes sont des droits humains».

    La marche a suivi de violentes et destructrices manifestations qui ont éclaté à travers les Etats-Unis après l'investiture de leur 45e président. A Portland, en Oregon, des manifestants ont brûlé des drapeaux américains. D'autres grandes villes ont été le théâtre de violents affrontements avec la police.

    RT : Avez-vous été surpris par ces protestations sans précédent ?

    Richard Black (R. B.) : Je ne suis pas du tout surpris. Des gens comme George Soros paient beaucoup d'argent ; je crois comprendre que beaucoup de ces manifestants ont été payés entre 1 500 et 2 500 dollars pour y assister. La plupart de ceux que j'ai vus à l'inauguration manquaient d'énergie, manquaient de passion... Ca n'est que du spectacle, ça ne veut rien dire.

    RT: Pourquoi, à votre avis, la présidence de Donald Trump met-elle des gens dans une telle colère ?

    R. B. : L'administration Trump pourrait amener aux changements les plus drastiques que nous verrions de nos vies. Une grande partie de ces changements auront lieu dans le domaine de la politique étrangère. Je pense que certains républicains sont très nerveux face aux évènements à venir, car Donald Trump modifiera fondamentalement notre politique étrangère.

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    L'exercice demandait de la modération : Donald Trump en aura fait, comme à son habitude, un show politique - ce qui n'a pas plu à John Brennan, ancien directeur de la CIA «Il devrait avoir honte» : l'ex-chef du renseignement n'a pas apprécié le discours de Trump à la CIA

    Quand il parle des vieux amis qui deviennent des alliés, je pense qu'il se réfère spécifiquement à la Russie

    RT : Pensez-vous que Donald Trump puisse unifier le pays ? A écouter son discours, on a l’impression qu’il le peut, qu'il en est certain.

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  2. R. B. : Il le fera. Nous sommes toujours en phase de transition après la campagne, mais il y a une ambiance de grandeur autour de la présidence et, très bientôt, vous verrez que certaines de ces choses vont disparaitre. Ils ne peuvent payer les manifestants pour faire cela pendant très longtemps. Fait intéressant : j'ai observé tous les manifestants - et presque tous étaient blancs. Il y avait très peu de latinos, de noirs. C'est un groupe de personnes très restreint, et, d'une manière ou d'une autre, ils ne m'ont pas semblé très sincères.

    RT : Donald Trump s'est fixé un grand objectif. Il a annoncé ce qu'il voulait accomplir pendant les 100 jours. Pensez-vous que les attentes seront trop grandes ?

    R. B. : Je ne pense pas. Je pense qu'il peut agir rapidement. Il a déjà changé le site présidentiel. Et il a changé les priorités pour les affaires étrangères. Il est intéressant d’étudier certains de ces mots : il a dit qu'il voulait qu’il y ait plus de paix dans le monde, moins de conflits. Il veut trouver «plus de terrain d'entente». Sa priorité absolue est de combattre Daesh et d'autres groupes terroristes. Il a parlé d'opérations militaires conjointes – je présume que cela signifierait des opération conjointes avec la Russie. Il veut couper le financement des groupes terroristes. Il a dit : «Nous n’allons pas à l'étranger en quête d'ennemis.» Il a dit aussi : «Nous sommes heureux quand des ennemis de longue date deviennent des amis et quand de vieux amis deviennent des alliés.»

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    Donald Trump et Vladimir Poutine ne devraient pas se rencontrer avant plusieurs mois, a annoncé le porte-parole du Kremlin Une rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine : plus «une affaire de mois» que de semaines

    C'est un moment où nous pouvons nous désengager de la guerre et des conflits inutiles

    Quand il parle des vieux amis qui deviennent des alliés, je pense qu'il se réfère spécifiquement à la Russie qui était notre allié pendant la Seconde Guerre mondiale. Si vous regardez tout ce qu'il a dit, il semble qu’il a l’intention de mettre fin aux actions provocatrices envers la Russie, de normaliser les relations. Je pense que c'est un moment formidable. C'est un moment où nous pouvons nous désengager de la guerre et de conflits inutiles, des changements de régime. Il a manifestement affiché son mépris pour cette ancienne politique de changement de régime. Je pense donc que c'est une période d'espoir.

    RT : Donald Trump peut-il souder des alliances avec l'Iran et la Chine ? Car sa rhétorique a été différente de celle concernant la Russie...

    R.B. : J'espère qu'il peut y avoir une certaine normalisation. Les relations avec la Chine ont une grande importance pour notre balance commerciale. A mon avis, la position à l’égard de la Chine sera très dure en ce qui concerne la balance commerciale. Il est déterminé à faire revenir aux Etats-Unis les emplois qui avaient été déplacés à l'étranger. Il y aura donc des tensions inévitables.

    Dans le cas de l'Iran, c'est plutôt un mystère car il y a des signes indiquant que nous pourrions coopérer à un certain niveau. Mais il reste à voir dans quelle direction nous avançons exactement avec l'Iran. Manifestement, il [Donald Trump] veut stabiliser la Syrie, il veut que le régime de Bachar el-Assad reste au pouvoir. Il veut expulser les terroristes.

    Lire aussi : Mais que reluquait donc Bill Clinton lors de l'investiture de Donald Trump ?

    https://francais.rt.com/opinions/32838-senateur-americain-manifestations-anti-trump-spectacle

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    1. Faut dire que payer des prostituées à 50$/h est un spectacle difficile à remettre ou à mainteniir ! Hahahaha !

      Madonna avait entr'autres promis de sucer tous ceux qui votaient pour Clin-ton-chiotte ! Hahahaha !

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  3. Jack Ma: «Washington a dépensé 14.000 mds USD pour faire la guerre»


    ECONOMIE
    13:23 23.01.2017


    Face aux accusations de Donald Trump portées contre la Chine, le créateur du site Alibaba, Jack Ma, pointe du doigt les bavures de la politique économique des États-Unis.

    Il est injuste d'accuser la Chine des problèmes économiques des États-Unis, Washington en étant responsable lui-même: au lieu d'investir dans l'infrastructure et dans le bien-être de leur peuple, ils ont dépensé des trillions de dollars pour faire la guerre. Du moins, c'est ce qu'affirme le créateur du site Alibaba, Jack Ma.

    « Ce ne sont pas d'autres pays qui volent vos emplois (aux États-Unis, ndlr). C'est votre propre stratégie. Répartissez votre argent et vos ressources de façon appropriée », a-t-il souligné, cité par la chaîne CNBC.

    À l'en croire, les États-Unis ont dépensé au cours des 30 dernières années plus de 14.000 milliards de dollars pour faire la guerre au lieu d'investir cet argent dans leur propre infrastructure.

    « C'est pour cela que la croissance économique des États-Unis a ralenti considérablement, mais pas car la Chine aurait volé les emplois de citoyens américains », a relevé M. Ma.

    Les multinationales américaines, poursuit-il, ont gagné des millions et des millions de dollars grâce à la mondialisation: « Au cours des 30 dernières années, IBM, Cisco, Microsoft ont empoché des dizaines de millions de dollars, soit des bénéfices qui dépassent largement ceux des quatre banques chinoises dans leur ensemble… Mais où est parti tout cet argent? »

    Selon M. Ma, les États-Unis ne répartissent pas les moyens dont ils disposent rationnellement: « Trop d'argent est investi dans les entreprises de Wall Street et de la Silicon Valley, alors que le gouvernement devrait épauler le Midwest et les Américains sans formation supérieure », a-t-il précisé.

    La Chine présente un drone furtif qui peut transporter plus de 2 t de bombes

    Tout en soulignant l'effet positif de la mondialisation, M. Ma a particulièrement insisté sur le fait qu'elle « devrait être inclusive », c'est-à-dire que les personnes aisées ne devraient pas être les seules à en profiter.

    Donald Trump, qui a pris ses fonctions vendredi, a plusieurs fois menacé de prendre des mesures de rétorsion contre la Chine, qu'il accuse de pratiques commerciales déloyales et de fermer son marché aux entreprises américaines.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201701231029732314-USA-14-trillions-dollars-guerre/

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  4. Chine: 19 immeubles pulvérisés en dix secondes (vidéo)


    INTERNATIONAL
    10:55 23.01.2017


    Pour reconstruire un quartier, les autorités de la ville chinoise de Wuhan n'y sont pas allées de main morte : ils ont fait place nette en moins de 10 secondes !

    Les autorités de la ville de Wuhan, au centre de la Chine, ont fait un vrai spectacle en détruisant des vieilles maisons d'habitation, rasant 19 immeubles en l'espace de dix secondes, annoncent les médias locaux.

    Une vidéo à ce sujet a été diffusée sur YouTube.

    Selon les médias, les spécialistes ont mis près de cinq tonnes de trinitrotoluène à l'intérieur de 120 orifices disséminés dans tout le quartier.

    Ce quartier a été détruit en vue de construire un gratte-ciel haut de 700 mètres.

    https://fr.sputniknews.com/international/201701231029728593-chine-destruction-quartier/

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    1. Çà c'est le '9-11 chinois' !! HAHAHAHA ! Zéro mort.

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  5. La Chine a 731 millions d'internautes, soit la population de l'Europe


    PAR AWP


    Le nombre d'internautes en Chine, déjà le plus élevé au monde, s'établissait fin décembre à 731 millions de personnes, soit l'équivalent de la population du continent européen, ont annoncé les autorités.

    Au total, 53,2% des 1,37 milliard de Chinois sont désormais considérés comme des internautes, a indiqué dimanche dans un communiqué le Centre d'information sur l'internet (CNNIC), un organisme gouvernemental.

    La Chine a ainsi gagné 43 millions d'utilisateurs d'internet en un an (+6,2%), a précisé le CNNIC -- soit presque autant que la population de l'Espagne.

    Pékin bloque l'accès depuis la Chine à de nombreux sites internet étrangers: Facebook, Instagram, Google, YouTube, Dailymotion, Twitter ou encore des sites d'information. Les contenus publiés par les médias chinois et sur les réseaux sociaux locaux sont par ailleurs très étroitement surveillés. La rapidité de diffusion, le volume des informations et l'utilisation de logiciels permettent cependant parfois de devancer ou contourner la censure.

    Pour autant, la Chine mise sur l'internet, les start-ups innovantes et l'explosion des ventes en ligne pour dynamiser le modèle de croissance économique du pays, dont les moteurs traditionnels (exportations, industries lourdes, production manufacturière) s'essoufflent. Pékin a lancé un ambitieux plan ("Internet plus") pour stimuler l'usage du web et l'essor des nouvelles technologies.

    Illustration avec les paiements en ligne via smartphone: leur nombre d'utilisateurs a explosé en 2016 (+31,2%). Ces systèmes novateurs (WeChat Pay, Alipay, etc.) quasi-inconnus en Occident, s'imposent désormais partout en Chine et permettent de régler en quelques secondes un achat: des courses au supermarché, un billet de cinéma, un repas au restaurant, une facture d'électricité ou encore un voyage en taxi.

    Au total, 67,5% des internautes chinois (469 millions) ont effectué un achat en ligne à l'aide de leur téléphone portable l'an passé, contre 57,7% en 2015, selon le CNNIC.

    http://www.bilan.ch/economie/chine-a-731-millions-dinternautes-soit-population-de-leurope

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  6. Obama, roi du marketing


    Myret Zaki
    19 Janvier 2017


    A l’heure du bilan de Barack Obama, une rafale d’éloges dithyrambiques nous est servie par une presse unanimement démocrate, à part de rares voix dissonantes.

    Le problème est que dans cette évidente faiblesse de l’analyse résident les racines du phénomène Donald Trump.

    Le principal génie d’Obama est celui de la communication et des relations publiques. Avoir pu mener des politiques porteuses de déséquilibres sociaux, économiques et géopolitiques, tout en étant admiré comme un président progressiste, élégant, un mari aimant, un père dévoué, un orateur éloquent et responsable, c’est là un talent à saluer. Têtes couronnées de la petite bourgeoisie, les Obama sont les Lady Di de la ménagère de la côte est.

    Mais dans les faits, le bilan d’Obama n’est pas reluisant. En huit ans, le nombre d’Américains à la soupe populaire est passé de 28 à 44 millions; le taux de chômage, prétendument tombé de 10 à 4,7%, est en réalité inchangé. Le hic est qu’on calcule le chômage sur toujours moins d’actifs. Depuis 2008, le taux de participation de la population au marché du travail a chuté de 66 à 62,7%. Une part croissante de chômeurs renoncent à chercher un emploi et sortent des chiffres du chômage pour aller gonfler le taux d’inactivité. Si on les réintégrait dans le calcul, le taux de chômage actuel serait d’environ 10%.

    En géopolitique, le Prix Nobel de la paix 2009 est intervenu massivement en Libye (2011), appuie les bombardements saoudiens au Yémen, où il frappe par drones tout comme en Somalie, et a encouragé dès 2012 la militarisation de la révolte en Syrie en appuyant les factions djihadistes. Si ces dernières prenaient le pouvoir, elles instaureraient en Syrie un régime qui serait pire pour la démocratie, les libertés, les droits des femmes et les minorités que celui de Bachar el-Assad. En?2015 et?2016, les Etats-Unis ont largué 47 400 bombes en Syrie et en Irak.

    La dette américaine publique et privée n’a cessé d’enfler: elle atteint 62 500?milliards de dollars, soit 334% du PIB. Historiquement, pareils niveaux de dette n’ont jamais été remboursés, mais réduits à travers un défaut ou une inflation, aux résultats parfois dévastateurs.

    «Le meilleur président de tous les temps» (selon GQ) a signé, en 2008, la loi qui devait réformer en profondeur le secteur financier (Dodd Frank Act) mais le texte a été dilué, et la politique monétaire de la Fed a relancé la spéculation (phénomène qui redistribue les richesses vers les plus hauts revenus). La spéculation s’est échappée dans le shadow banking system, dont la taille a doublé sous sa présidence.

    Son score quant aux libertés et aux droits humains fait pâlir le lustre de façade. Ayant promis de fermer Guantánamo, Obama n’a pas opposé de veto aux restrictions du Congrès, et les transferts de prisonniers traînent jusqu’à ce jour. Il a renoncé à ce que les suspects du 11?septembre soient jugés par les tribunaux fédéraux, les présentant devant des commissions militaires ad hoc de Guantánamo, aux procédures très lentes, destinées à éviter des révélations publiques des détails concernant leur torture.

    La surveillance de masse s’est accrue sous Obama, héritier sur ce plan des programmes de George W. Bush. Edward Snowden a alerté le public au sujet de ces programmes, et les violations de la sphère privée dévoilées par le lanceur d’alerte fugitif restent inchangées.

    Bref, si Donald Trump a été élu, ce n’est pas «la faute aux Russes». La paupérisation des travailleurs qui formaient le socle de l’électorat démocrate n’est pas la faute aux Russes. La Russie est un piètre alibi des démocrates qui, au lieu de prendre leurs responsabilités, veulent cacher leurs échecs sous une montagne de victimisation et de marketing. Le populisme peut les en remercier.

    http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/obama-roi-marketing

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  7. Crise climatique : L’incohérence des partis écolos allemands


    le 23 janvier 2017


    À la suite du grand tsunami qui dévasta le 11 mars 2011 un grande partie des zones côtières de l’île de Honshu au Japon faisant plus de 20000 morts et disparus et provoquant l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, l’Allemagne décida sous l’impulsion des partis écologistes de fermer dans un délai de dix ans toutes ses installations électronucléaires qui fournissaient le cinquième de l’électricité du pays fin 2010. En 2022 et selon les décisions du gouvernement de Madame Merkel prises en 2011 toutes les centrales nucléaires du pays seront définitivement à l’arrêt. Or l’Allemagne a aussi ratifié le protocole de Paris issu de la COP21 de 2015. Il est donc devenu urgent pour le pays de développer de manière aussi rapide et massive que possible des installations de production électrique dites propres. Parmi ces énergies « vertes » ou propres (comme vous l’entendez) renouvelables de surcroît et sans danger pour l’atmosphère et le climat, selon les directives de l’IPCC, il y a les moulins à vent. Or l’Allemagne se trouve face à un problème toujours pas résolu et qui ne le sera jamais : il y a du vent « exploitable » dans les länders proches de la Mer du Nord alors que l’industrie est essentiellement concentrée au sud du pays, là où le vent est beaucoup plus capricieux.

    De plus, en 5 ans le prix du kWh pour les particuliers a doublé en raison du coût exorbitant des sources d’énergie verte, particuliers qui se trouvent donc de facto pénalisés pour maintenir une industrie, nerf de l’économie allemande, à qui les compagnies d’électricité octroient des tarifs préférentiels sur ordre du gouvernement de Berlin. L’ensemble des consommateurs allemands financent donc l’industrie indirectement. Mais ce n’est pas tout ! Les grandes firmes industrielles impliquées dans les énergies vertes comme par exemple Siemens (qui a totalement abandonné ses activités nucléaires) maintiennent une pression constante pour installer le plus possible de moulins à vent, épaulés en ce sens par les partis verts ultra-puissants en Allemagne.

    De plus, en prenant en compte le fait qu’un moulin à vent off-shore coûte 5 fois plus cher que son équivalent terrestre et que les espaces disponibles pour installer de nouveaux moulins sur la terre ferme s’est considérablement réduit il va falloir trouver une solution rapidement et ce d’ici la fin de l’année 2022. Il reste en effet aujourd’hui 8 réacteurs de 1300 MW électriques en fonctionnement ayant tous été construits entre 1984 et 1988, deux BWR et 6 PWR. Selon les critères de sécurité américains ces installations pourraient sans danger fonctionner encore 40 ans. Il faut donc remplacer 10900 MW électriques par des sources d’énergie propre et fiable avant 2022.

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  8. La loi allemande de protection de la faune interdit l’utilisation des moulins à vent entre le 1er mars et le 30 août afin de préserver la vie des oiseaux migrateurs dans les zones, plutôt mal définies, de passage de ces oiseaux, mouvements migratoires vers la Scandinavie justement très intenses dans les régions septentrionales de l’Allemagne. En dépit du fait que les observateurs de la Deutsche Wildtier Stiftung, La Fondation Allemande pour la Nature, a répertorié la mort de 250000 chauve-souris et 12000 rapaces chaque année y compris dans les zones où les moulins à vent sont interdits de fonctionnement entre les dates précisées ci-dessus, qu’à cela ne tienne, les Verts font paradoxalement pression pour que cette interdiction de fonctionnement (loi fédérale de protection de la nature § 44, section 1 No.1) soit aménagée pour assurer une plus importante production d’électricité éolienne ! De plus, et en Allemagne on n’est plus à un paradoxe près, la destruction de forêts entières a été autorisée, comme par exemple dans le Schleswig-Holstein et le Mecklenburg, deux länders du nord du pays particulièrement boisés, pour y installer des moulins à vent

    Plus paradoxal encore, les partis verts s’opposent à la construction de lignes électriques à très haute tension pour acheminer l’énergie « verte » depuis les länders du nord vers ceux, industriels, du sud, Rhénanie, Bade-Würtenberg et Bavière. Tous ces exemples illustrent donc l’incohérence totale de la politique énergétique allemande et les dégâts irréversibles sur l’environnement qui en résultent.

    Les générations futures apprécieront d’autant plus que l’énergie nucléaire est considérée à juste titre comme la seule alternative à la consommation de combustibles fossiles et malgré le fait que de plus en plus de scientifiques de valeur incontestable s’accordent pour affirmer que le gaz carbonique n’a aucun effet notoire sur le climat et que l’optimum climatique moderne est maintenant terminé …

    Source partielle et illustration : blog de Pierre Gosselin (notrickszone.com) avec sa permission.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/01/23/crise-climatique-lincoherence-des-partis-ecolos-allemands/

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    1. (...) La Fondation Allemande pour la Nature, a répertorié la mort de 250000 chauve-souris et 12000 rapaces chaque année (...)

      et quelques milliards d'abeilles !

      (...) les partis verts s’opposent à la construction de lignes électriques à très haute tension pour acheminer l’énergie « verte » (...)

      Hahahaha !
      L'énergie électrique sera désormais apportée à dos de mulets !

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  9. Mort suspecte d’un grand journaliste allemand. L’affaire promptement enterrée …


    le 22 janvier 2017


    Je n’ai pas vu d’infos au sujet de la mort suspecte du Docteur Udo Ulfkotte à l’âge de 56 ans le 14 janvier 2017 ni dans les head-lines du Figaro ou du Point (je ne lis plus les articles de cette presse vendue à la CIA) ni dans les lignes du quotidien en ligne Les Echos et ni, qui plus est et c’est regrettable, dans les lignes de Contrepoints qui aurait pourtant été félicité de rappeler qui est ce journaliste et surtout pourquoi il est mort. D’ailleurs le Guardian et la Tribune de Genève comme les deux principaux quotidiens nationaux espagnols n’ont pas dit un mot de la disparition de ce grand journaliste.

    Et pour cause … Ulfkotte était éditeur du grand journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung quand il osa publier un livre intitulé « Bought Journalists », Gekaufte Journalisten et en français Journalistes Vendus, qui lui coûta son travail et très probablement sa vie. Il fut proprement mis à la porte du journal et reçut des menaces de mort pour avoir dénoncé l’emprise de la CIA sur l’ensemble du milieu journalistique européen. La presse européenne, selon Ulfkotte, est un service de propagande de la CIA elle-même au service des grandes firmes américaines. Il leur faut une guerre contre la Russie et pendant des années les journalistes ont été contraints de mentir et de cacher la vérité à leurs lecteurs.

    Voici ce qu’il déclarait lors d’une récente interview à Russia Today : « J’ai été journaliste pendant 25 ans et on m’a contraint à mentir, à trahir et ne pas dire la vérité au public. Je bénéficiais du soutien de la CIA, et pourquoi ? Parce que je suis pro-américain. Les médias américains et allemands essaient de pousser l’Europe à la guerre contre la Russie. Ce fut pour moi un point de non-retour, et je me suis levé pour dire haut et fort que j’ai eu tort pendant toutes ces années de manipuler les peuples et d’alimenter cette propagande anti-russe« .

    Il ajoute plus loin que « la plupart des journalistes occidentaux travaillent avec le soutien des services secrets. C’est spécialement le cas des médias anglais mais aussi des médias israéliens, français, australiens, néo-zélandais ou taïwanais, bref, de beaucoup de pays« . Ulfkotte a admis dans son livre avoir disséminé sous la contrainte la fausse nouvelle que le Président de la Libye Muammar Khadaffi construisait une usine de production de gaz de combat en 2011, sur ordre de la CIA, ajoutant enfin « j’ai très peur d’une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas d’une telle situation parce qu’une guerre n’apparait pas spontanément, elle est décidée par des gens qui y trouvent un intérêt, supportés par les politiciens et malheureusement les journalistes. Nous avons trahi nos lecteurs ! Nous vivons dans une république bananière (l’Allemagne) et non dans un pays démocratique avec une presse libre« .

    Udo Ulfkotte est mort en silence … pour avoir trahi la cause du Deep State américain en dénonçant les risques de guerre imminente entre l’Europe et la Russie. Il faut admettre que les bruits de bottes depuis la Norvège et l’Estonie jusqu’à la Bulgarie sont pour le moins inquiétants.

    Source et illustration : yournewswire.com

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/01/22/mort-suspecte-dun-grand-journaliste-allemand-laffaire-promptement-enterree/

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  10. Des républicains soumettent un projet de loi au Congrès pour que les Etats-Unis quittent l'ONU


    23 janv. 2017, 18:33


    Les élus qui ont proposé cette loi estiment que les contribuables américains n'ont pas à payer pour une organisation qui ne défend pas les intérêts des Etats-Unis. Pour entrer en vigueur, le projet devra être voté par les deux chambres.

    «Mettre un terme à l'adhésion des Etats-Unis aux Nations Unies», voilà le titre du projet de loi soumis par un élu républicain, Mike Rogers, et ses soutiens au Congrès. La proposition, nommée HR 193, vise purement et simplement à abroger la loi de 1945 sur la participation des Etats-Unis à l'ONU, et d'autres lois connexes.

    Si jamais la loi venait à passer, les Etats-Unis se retireraient d'ici deux ans des Nations Unies, et ne lui verseraient plus de fonds, que ce soit pour des dépenses militaires ou des missions de maintien de la paix. Le projet précise également vouloir mettre fin à l'immunité diplomatique des responsables de l'ONU sur le territoire américain, souhaite que l'organisation retire son siège social de New York, et veut enfin prendre ses distances de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Pour Mike Rogers et les républicains qui soutiennent son projet de loi, il n'est pas normal que l'argent du contribuable soit versé à des organisations qui «ne soutiennent pas les intérêts américains, ou ceux de leur allié, Israël».

    L'élu républicain n'en est pas à son coup d'essai, il avait tenté de faire passer une loi similaire en 2015, mais sans succès. Si sa nouvelle proposition a été soumise dans une relative indifférence début janvier, l'élection de Donald Trump – bien qu'il n'ait pas de pouvoir décisionnaire sur la question – pourrait fournir un contexte favorable à une telle loi. Le nouveau président américain avait en effet déclaré fin décembre que «[l'ONU] pose plus de problèmes qu'elle n'en résout», ajoutant qu'en l'état actuel des choses, elle représentait «une perte de temps et d'argent».

    Pour qu'une loi entre en vigueur, elle doit être votée par les deux chambres aux Etats-Unis, le Sénat et la Chambre des représentants, à une majorité relative, puis être ratifiée par le Président.

    Lire aussi : Pour Trump, l'ONU est un «club qui ne sert qu'à réunir les gens, parler et passer du bon temps»

    https://francais.rt.com/international/32867-etats-unis-vont-ils-quitter-l-onu-republicains-projet-loi-en-ce-sens

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  11. Des agriculteurs déclenchent une tempête de lait en poudre devant le Conseil européen à Bruxelles

    23 janv. 2017, 17:58



    Un producteur de lait brandit le drapeau hollandais à Bruxelles lors de la manifestation devant le Conseil européen
    Des producteurs de lait ont exprimé leur colère contre les ministres de l'Agriculture de l'UE en pulvérisant plusieurs kilos de lait en poudre devant le bâtiment du Conseil européen, à Bruxelles.

    En marge d'une rencontre des ministres de l'Agriculture de l'UE, des manifestants venus de Belgique, de France, d’Allemagne, des Pays-Bas et de Lituanie ont protesté contre la décision de remettre sur le marché les stocks de lait en poudre, ce qui est susceptible d’entrainer une chute des prix.

    https://francais.rt.com/international/32865-agriculteurs-declenchent-tempete-lait-poudre-bruxelles

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  12. Trump Signe 3 Ordres exécutifs: Retrait du TPP, Gel de l'embauche fédérale, Limite le financement de l'avortement à l'étranger


    Par Tyler Durden
    Jan 23, 2017 11:57 AM


    Le président Trump vient de signer 3 ordonnances exécutives: l'une ayant officiellement retiré les États-Unis du Partenariat Trans-Pacifique, l'autre instituant un gel du recrutement fédéral, sauf pour les militaires, et une troisième ordonnance visant à limiter le financement de l'avortement à l'étranger.

    "C'est une grande chose pour le travailleur américain, ce que nous venons de faire", a déclaré Trump lundi après avoir signé une ordonnance de retrait des États-Unis de l'accord de partenariat Trans-Pacifique avec 11 autres nations. Il n'a pas signé aucune action pour diriger une renégociation de l'accord Nafta avec le Mexique et le Canada, mais il a dit dimanche qu'il entamerait des pourparlers avec les deux dirigeants sur la modification de l'accord, a rapporté BBG. «Nous parlons de cela depuis longtemps», a déclaré Trump.

    Comme le note l'AP, le déménagement est fondamentalement une formalité, puisque l'accord n'avait pas encore reçu la ratification du Sénat nécessaire. Les experts du commerce disent que l'approbation était peu probable en raison de l'inquiétude des électeurs sur les accords commerciaux et le potentiel de perte d'emplois. Il n'est pas clair si Trump chercherait des accords individuels avec les onze autres nations dans TPP - un groupe qui représente approximativement 13.5 pour cent de l'économie globale, selon des chiffres de la Banque mondiale. Trump a blâmé les accords commerciaux antérieurs comme l'Accord de libre-échange nord-américain et l'entrée de la Chine dans l'Organisation mondiale du commerce pour un déclin des emplois dans les usines des États-Unis.

    L'intérêt commercial de Trump remplit une promesse de campagne pour réécrire la politique commerciale de l'Amérique pendant ses premiers jours comme président. En déclarant sa détermination à renégocier le Nafta, Trump remanierait un accord qui a régi le commerce dans la majeure partie de l'hémisphère occidental pendant 22 ans. En mettant fin à l'accord du Partenariat transpacifique négocié par l'ancien président Barack Obama, Trump ravira ses partisans les plus fervents ainsi qu'un bon nombre de démocrates tout en ouvrant un vide économique en Asie que la Chine est désireuse de combler.

    Trump a fait campagne contre le PPT et d'autres accords commerciaux, y compris le Nafta, lors de sa campagne pour la Maison Blanche. Dans une vidéo publiée en novembre, Trump a promis de quitter le PPT «au premier jour», en l'appelant «un désastre potentiel pour notre pays».

    Le TPP, un accord de 12 pays visant à libéraliser le commerce entre les États-Unis et les pays du Pacifique, y compris le Japon, le Mexique et Singapour, était une pièce maîtresse de l'ancienne tentative d'Obama de faire pivoter la stratégie mondiale des États- .

    Avec TPP maintenant l'histoire, Trump se concentrera prochainement sur l'ALENA.

    Le président a déclaré dimanche qu'il rencontrerait le premier ministre canadien Justin Trudeau et le président mexicain Enrique Pena Nieto pour commencer à discuter de l'ALENA, qu'il a systématiquement blâmé pour la perte d'emplois aux États-Unis. Le président nouvellement assermenté a félicité le Mexique pour être "terrible" et a signalé qu'il est prêt à travailler avec les voisins les plus proches des États-Unis.

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  13. «Nous allons commencer à renégocier le Nafta, l'immigration et la sécurité à la frontière», a déclaré M. Trump au début d'une cérémonie d'assermentation du personnel de la Maison Blanche. "Je pense que nous allons avoir un très bon résultat pour le Mexique, pour les États-Unis, pour tous les intervenants. C'est vraiment très important.
     
    Les responsables du Canada, qui est le plus gros acheteur d'exportations des États-Unis, ont indiqué qu'ils voulaient éviter de s'emmêler de l'administration Trump visant les importations en provenance du Mexique et de la Chine. Les trois pays sont les principaux partenaires commerciaux des États-Unis. David MacNaughton, l'ambassadeur du Canada aux États-Unis, a déclaré aux journalistes qu'il voulait éviter que le Canada soit un «dommage collatéral» dans les actions commerciales. Nous souhaitons à David la meilleure des chances, d'autant plus que la balle est maintenant entièrement dans la cour de Trump.

    * * *

    Une deuxième ordonnance exécutive confirme un gel du recrutement fédéral, «sauf pour les militaires», le président Trump dit aux journalistes lors de la signature de l'ordre.

    Le président Donald Trump signe un mémorandum qui gèle l'embauche pour certains travailleurs du gouvernement fédéral comme un moyen de réduire les salaires et de freiner la taille de la main-d'œuvre fédérale.
     
    La directive de Trump remplit une de ses promesses de campagne. Il dit aux journalistes que les membres de l'armée seront exemptés du gel des embauches.
     
    Le nouveau président a promis de prendre la bureaucratie fédérale et l'action pourrait être la première étape dans une tentative de réduire l'emploi du gouvernement.

    Le mémorandum signé par Trump's est semblable à celui que le président George W. Bush a signé au début de son administration en 2001.

    Et une troisième ordonnance a vu le président Donald Trump rétablir l'interdiction de fournir des fonds fédéraux aux groupes internationaux qui effectuent des avortements ou fournir des informations sur l'option.

    Le règlement a été un peu un football politique, institué par les administrations républicaines et annulé par les démocratiques depuis 1984. Plus récemment, le président Barack Obama a mis fin à l'interdiction en 2009.
     
    Trump l'a signé un jour après l'anniversaire du 22 janvier de la décision 1973 de Roe vs. Wade de la Cour suprême qui a légalisé l'avortement aux États-Unis, la date qui est traditionnellement quand les présidents agissent sur la politique.
     
    La politique interdit également le financement par les contribuables pour les groupes qui font pression pour légaliser l'avortement ou de le promouvoir comme une méthode de planification familiale.

    Comme nous l'avons indiqué précédemment, voici un bref résumé de ce que Trump peut (et ne peut pas faire) le premier jour. La pièce 3 énumère le «contrat avec les électeurs» du président, qui comprend plusieurs éléments qui peuvent être accomplis par l'intermédiaire de l'action de la direction, mais implique également une activité législative importante.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-23/trump-signs-3-executive-orders-withdraws-tpp-freezes-federal-hiring-limits-overseas-

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    1. Tandis qu'outre-Atlantique des candidats nazionalsocialiste s'embrouillent les pédales, sur le continent americain le drapeau n'a plus honte de flotter au sommet de l'édifice.

      Le programme antilope est lancé !

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  14. Carl Icahn éloge le discours de Trump: "Notre diapositive dangereuse vers le socialisme est finie"


    Par Tyler Durden
    Jan 23, 2017 10h30


    Ayant utilisé des mots jamais entendus dans une allocution présidentielle:

    Sang, carnage, épuisement, délabrement, islamique, déchiré, triste, rouillé, étalement, vol, volé, subventionné, pierres tombales, piégé, trillions, imparable ...
    Le président Trump a fait l'objet de critiques pour son discours sans barrières - confirmant sa position de président anti-establishment "America First". Trump conseiller Carl Icahn a déclaré à CNBC l'après-midi de l'inauguration ...

    - Donald m'a surpris d'être venu si fort sur l'établissement, je l'admire de le faire.
     
    «Je l'admire, non seulement pour essayer de dire:« Wow. Allons tranquille, soyons copains. Je veux dire, il est venu sur extrêmement fortement et il vous donne un regard sur ce que l'avenir, je pense, va être.
     
    Icahn, le conseiller spécial de Trump sur la réforme de la réglementation, a dit qu'il s'attend à ce que le 45ème président des États-Unis adopte une approche de confrontation, dans une certaine mesure. Pourtant, il a soutenu que cela peut être une bonne chose parce qu'il favorisera le changement.
     
    «Je pense que vous devez briser cet établissement. Vous devez arrêter la perception que nous avons dans ce pays que le gouvernement est en guerre avec les entreprises, que le gouvernement n'aime pas les affaires et c'est ce que vous avez eu pendant huit ans Avec Obama ", a déclaré M. Icahn.
    Mais son tweet ce matin est peut-être la confirmation la plus succincte de ce qui vient de se passer ...

    Le discours inaugural de @ realDonaldTrump, défiant les plus critiques, ne laisse aucun doute que notre dangereuse glissade vers le socialisme est terminée.
    - Carl Icahn (@Carl_C_Icahn) 23 janvier 2017

    Effectivement !

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-23/carl-icahn-praises-trump-speech-our-dangerous-slide-towards-socialism-over

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  15. Pour la première fois jamais la Russie bat l'Arabie saoudite en tant que premier fournisseur d'huile de la Chine


    Par Tyler Durden
    Jan 23, 2017 9:55 AM


    Alors que les membres de l'OPEP luttaient contre la production de pétrole brut et les quotas d'exportation, les réductions de production temporaires (juste pour que les Saoudiens obtiennent un sursis de six mois au cours desquels il efface une surabondance massive brutale) La Russie a dépassé l'Arabie saoudite en tant que premier fournisseur chinois de pétrole l'an dernier, pour la première fois jamais stimulée par la forte demande des raffineries de théières chinoises indépendantes.

    La Russie a poussé les exportations de pétrole vers la Chine de 24% de 2015 à 52,5 millions de tonnes métriques, soit 1,05 million de barils par jour, selon les données publiées lundi par l'Administration générale des douanes, citée par Bloomberg. Dans un coup aux ambitions de Ridyah, le royaume du Moyen-Orient a glissé à la deuxième place, en expédiant 51 millions de tonnes, soit 1,02 millions de barils par jour, peu changé par rapport à l'année précédente.

    Pour le mois de décembre, la Russie occupait également la première place avec des approvisionnements de 4,8 pour cent par rapport au même mois un an plus tôt à 1,19 millions de bpj. Pendant ce temps, les ventes saoudiennes ont chuté de près de 20 pour cent par rapport à l'année précédente à 841 820 b / j, selon les données de l'Administration générale chinoise des douanes.

    En décembre, les importations totales de pétrole brut ont atteint un niveau record, les raffineurs ayant intensifié leurs achats avant les accords conclus par les pays producteurs de pétrole pour réduire l'offre et renforcer les prix, selon Reuters. Pour l'ensemble de l'année 2016, les importations ont progressé de près de 910 000 b / j en 2015, soit la plus forte croissance annuelle enregistrée, et principalement tirée par les achats de théières. Alors que l'Arabie saoudite considère les entreprises pétrolières d'Etat de Chine comme des clients essentiels par le biais de contrats d'approvisionnement à long terme, les raffineries indépendantes chinoises, appelées «théières» en raison de leur faible capacité de transformation, ont vu la Russie comme un fournisseur plus souple et peut-être moins cher.

    Au cours de l'année écoulée, la demande croissante de la Chine s'est révélée être le Saint Graal pour les exportateurs de pétrole, "la Russie a été en contact avec l'Arabie saoudite pour la domination dans la nation asiatique au milieu des efforts des producteurs de pétrole pour défendre la part de marché pendant une surabondance mondiale.

    La demande chinoise, dont une grande partie a été de combler sa réserve stratégique de pétrole, a été considérée comme la clé d'une reprise durable des prix, alors que les taux de référence sont en train de grimper de la pire chute d'une génération. La Chine l'année dernière a acheté la marchandise au rythme le plus rapide depuis 2010 au milieu de l'appétit croissant des raffineurs privés, connus sous le nom de théières, selon Bloomberg.

    La proximité du port de Kozmino, d'où la Russie transporte du brut sibérien, à Qingdao, où les théières reçoivent généralement leurs approvisionnements, a aidé à stimuler les cargaisons après que les transformateurs aient été autorisés à utiliser le pétrole à l'étranger en 2015. " Et l'expansion attendue du pipeline sino-russe d'ici la fin de l'année, la Russie est susceptible de viser à la première place encore cette année », a déclaré Sun.

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  16. "Les Saoudiens ont toujours dominé la place des fournisseurs de premier plan en Chine", a déclaré Amy Sun, analyste du chercheur sur les produits de base basé à Shanghai ICIS-Chine. «Les importations élevées en provenance de Russie peuvent être attribuées principalement à la demande croissante des théières et à l'achat de réserves stratégiques». Pour les usines de théières autorisées à importer du pétrole brut pour la première fois à la fin de 2015, les expéditions des ports orientaux de l'Est sont plus faciles à traiter. De plus petites tailles de cargaison à une plus grande proximité.

    En regardant 2017, la Russie peut être en mesure de maintenir la première place, car il élargit les exportations de son East Siberian-Pacific Ocean (ESPO) mélange de pétrole brut. L'Arabie saoudite, quant à elle, devrait supporter la part du lion des réductions d'approvisionnement décidées l'année dernière par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et des producteurs non membres de l'OPEP. Si les Saoudiens perdent encore plus de parts de marché pour la Russie, il est pratiquement certain que le royaume annulera sans tarder l'accord de Vienne, car il s'efforce de regagner le statut de fournisseur chinois de premier plan dans ce qui sera bientôt une question de fierté nationale.

    "Les réductions de l'OPEP font en sorte que les producteurs du Golfe subissent un succès en termes de part de marché, même si la plupart de leurs réductions sont destinées à l'Europe et aux États-Unis", a déclaré Michal Meidan De conseil Aspects énergétiques.

    L'Angola était le troisième fournisseur en 2016, exportant 43,7 millions de tonnes, soit environ 875 000 barils par jour, soit 13% de plus que l'an dernier, selon les données douanières d'aujourd'hui. Les importations totales de pétrole de la Chine ont grimpé de 13,6 % l'année dernière à 381 millions de tonnes, selon les données douanières publiées le 13 janvier. La Chine a également stimulé les importations des producteurs sud-américains l'an dernier, avec une croissance de 37,6 % du Brésil et 26 % du Venezuela, montré.

    Enfin, les importations en provenance d'Iran ont augmenté de près de 18 pour cent l'année dernière à un record de 624 260 bpj, les entreprises pétrolières chinoises ayant commencé à lever des barils de leurs investissements dans les gisements iraniens en plus des accords de fourniture à terme.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-23/first-time-ever-russia-beats-saudi-arabia-chinas-top-oil-supplier

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  17. Le milliardaire George Soros a financé des associations et un responsable de la Women's March


    23 janv. 2017, 19:45


    Des associations partenaires de la marche anti-Trump, ainsi que l'ONG d'un des co-présidents d'honneur du mouvement, ont perçu ces dernières années des dons du milliardaire George Soros – un adversaire résolu du nouveau président américain.

    Au lendemain de l’investiture du nouveau président américain, le 21 janvier, un mouvement baptisé «Women’s March» est parvenu à mobiliser plusieurs millions de manifestant anti-Trump aux Etats-Unis, ainsi que dans plusieurs autres pays. Son objectif affiché : s’insurger contre la menace que représenterait le nouveau locataire de la Maison Blanche pour les droits des femmes, les immigrés, les musulmans, les personnes qui s’identifient aux «LGBTQIA», les Noirs, les personnes souffrant de handicaps ou encore les victimes d’agressions sexuelles...

    Décrit comme un mouvement «spontané» par certains grands médias tels que le Guardian britannique, la Women’s March dispose pour autant d’un comité national incluant quatre co-présidentes nationales, et d’un impressionnant panel d’associations dites «partenaires» (qui relaient et valorisent sur les réseaux sociaux les mobilisations anti-Trump).

    Or, il est à noter qu'un certain nombre de ces associations, ainsi que l’un des hauts responsables de la Women’s March, ont ou ont eu des liens financiers avec le milliardaire George Soros – adversaire politique affiché de Donald Trump.

    Lire aussi : Trois «f*ck» en trois minutes : le discours (trop) fleuri de Madonna à la Women's March (VIDEO)

    Parmi les «co-présidents d’honneur» que le mouvement liste sur son site figure Harry Belafonte, un «activiste, chanteur, auteur-compositeur et acteur». Cet Américain de 89 ans, indique également la page internet de la Women’s March, est le fondateur de l’ONG The Gathering for Justice. Celle-ci a reçu en 2009 un don de 75 000 dollars de l’Open Society Foundations (OSF), un réseau de fondations créé en 1979 par George Soros.

    Quelques années plus tôt, l’OSF avait également contribué au financement d’une pièce de théâtre anti-peine de mort à New York, dans laquelle jouait le même Harry Belafonte.

    Des ONG financées par Soros solidaires du mouvement

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  18. Il n’est en outre pas difficile de trouver, parmi les «partenaires» officiels de la Women’s March, des organisations ayant perçu des dons de George Soros et de sa fondation : par exemple, MoveOn.org, une association politique se définissant comme progressiste, a bénéficié d’un don d’1,46 millions de dollars en 2004, selon le Washington Post.

    De même, selon le site de l’OSF, l’association NAACP (L’Association Nationale pour la Promotion des Gens de Couleur) a reçu de cette dernière 250 000 dollars en 2011, et le Center for Constitutionnal Rights (dont la vocation est de lutter contre les discriminations) près de 91 000 dollars en 2009.

    #WikiLeaks : une organisation financée par George Soros appelle à manifester contre @realDonaldTrumphttps://t.co/RIkMJjDmX7pic.twitter.com/tH05UXhTnE— RT France (@RTenfrancais) 14 novembre 2016

    Le lobby progressiste People for the American Way a eu droit à plusieurs coups de pouce financiers de la fondation de George Soros : 400 000 dollars en 2008, 500 000 dollars en 2009 et 700 000 dollars en 2012.

    Le géant Human Rights Watch (HRW), lui aussi, fait partie des partenaires de la marche contre Trump, et a perçu des dons de l’OSF. En 2010, Goerge Soros avait annoncé le versement de pas moins de 100 millions de dollars à l’ONG humanitaire, pour une période de dix ans.

    Soros, défenseur de l'ouverture des frontières... et des sanctions anti-russes

    George Soros n'a jamais caché son aversion pour Donald Trump : après de nombreuses critiques contre le candidat républicain lors de la campagne présidentielle, le milliardaire américain d'origine hongroise a récemment traité le nouveau chef d'Etat d'«apprenti-dictateur», depuis le forum économique international de Davos.

    George #Soros a perdu près d'un milliard de dollars depuis la victoire de #Trumphttps://t.co/2PWkMnZoONpic.twitter.com/2GJzca8jcZ— RT France (@RTenfrancais) 13 janvier 2017

    Un antagonisme qui n'est guère difficile à comprendre, lorsque l'on se penche sur les causes portées par George Soros, via son réseau de fondations : les ONG financées par celui-ci militent, entre autres, pour l'accueil des réfugiés dans les pays occidentaux et la défense des sanctions occidentales contre la Russie.

    Lire aussi : La Hongrie veut se débarrasser des ONG de George Soros

    https://francais.rt.com/economie/32869-womens-march-milliardaire-george-soros-liens-financement

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    1. Oui, les milliardaires ont le droit d'aller aux putes !

      Un de plus qui veut se faire sucer par madonna !

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  19. Trump rompt l'accord TPP et se met «du côté des identités nationales et contre le mondialisme»



    23 janv. 2017


    Fidèle à sa promesse, Donald Trump a rompu le TPP – et ce n’est apparemment que le début des changements radicaux dans la politique internationale. Bruno Gollnisch, député européen, s’en réjouit, persuadé que la France devrait suivre cet exemple.

    Bruno Gollnisch est membre du bureau politique du Front national et député FN français au Parlement européen.

    RT France : Donald Trump a ordonné le retrait des Etats-Unis de l’accord de partenariat transpacifique (TPP) signé par Barack Obama. Selon vous, quelles seront les conséquences politiques et économiques de cette décision ?

    Bruno Gollnisch (B. G.) : Cela montre que Donald Trump ne croit pas aux vertus du libre-échange à l’échelle mondiale. Les relations commerciales entre les nations sont une bonne chose, mais il doit y avoir, selon des intérêts nationaux, des mécanismes correcteurs qui s’appelaient autrefois les droits de douane. Ils permettent de compenser, par exemple, le dumping social que pratiquent un certain nombre de pays avec de très bas salaires et en privant des salariés de toute protection sociale, d’assurance maladie ou pension de retraite.

    Je crois que Donald Trump envoie un signal très fort, comme celui qu’il avait envoyé en prévenant Ford que si cette entreprise restait localisée au Mexique, les voitures fabriquées au Mexique et réimportées aux Etats-Unis payeraient des droits de douane élevés. Monsieur Fields a immédiatement annoncé sa délocalisation. Je souhaiterais que ce soit la même politique que la France adopte, ce n’est pas une politique déraisonnable. Ce qui est à mon avis déraisonnable, c’est défendre au monde entier le libre-échange, des marchandises, des personnes et des capitaux, parce que cela a des effets destructeurs sur les prospérités, sur les niveaux de vie, sur les identités des peuples. Je crois qu’on assiste à une lutte contre le mondialisme et les identités nationales. Donald Trump se situe indiscutablement du côté des identités nationales.

    Le TTIP est en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne

    RT France : Est-ce qu’on doit s’attendre à la fin d’autres traités de libre-échange comme le TTIP ?

    B. G. : Je l’espère vivement. Ce traité était en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne, il ne présentait pas de garanties sur le plan sanitaire de la qualité des produits. J’aurais été de toute façon avec beaucoup de mes collègues l’adversaire de ce traité, mais nous sommes minoritaires. Je pense que Donald Trump va interrompre ce processus, ce sera une excellente chose.

    Lire aussi
    Le président chinois Xi Jinping à côté d'un panda de glace au forum économique de Davos. Les positions économiques de Donald Trump contre Pékin donnent-elles «le beau rôle» à la Chine ?

    RT France : A quelle réaction doit-on s’attendre de la part de la communauté internationale, notamment des pays censés faire partie du TPP ?

    B. G. : Sans doute des réactions très défavorables, des hurlements, des protestations. Mais le TTIP, par exemple, était à l’étape des négociations. Par conséquent, en droit international, il n’a aucune valeur obligatoire, car il n’a même pas été ratifié, pas signé. Il n’est obligatoire qu’à compter du moment où il est ratifié, et même à compter du moment où les ratifications ont été échangées entre les signataires.

    Des intérêts des mondialistes sont extrêmement puissants

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  20. RT France : Pourquoi y aurait-il une réaction défavorable à la dénonciation d’un traité qui n’est même pas entré en vigueur ?

    B. G. : Ce sont des intérêts des mondialistes qui sont extrêmement puissants sur le plan d’un certain nombre de financiers qui contrôlent une grande partie des médias, et qui, par conséquent, s’en servent pour influencer l’opinion publique.

    Lire aussi : La stratégie de Trump, «un choc pour les dirigeants des pays alliés»

    https://francais.rt.com/opinions/32870-trump-rompt-accord-tpp-identites-nationales-contre-mondialisme

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  21. Nigéria : les femmes kamikazes de Boko Haram utilisent des enfants pour ne pas être repérées


    24 janv. 2017, 07:59


    Dans les deux derniers attentats de Boko Haram au Nigéria, des femmes kamikazes ont utilisé des enfants afin de se faire passer pour de banales civiles. Les autorités du pays sonnent l’alarme face à cette inquiétante pratique.

    Les terroristes du groupe Boko Haram, connu pour son utilisation de femmes et de jeunes filles comme kamikazes, ne rechignent pas à impliquer de jeunes enfants dans leurs attentats, ont confié les autorités nigérianes à la BBC. Des femmes avec des enfants dans les bras n’éveillent pas les soupçons et elles peuvent passer les points de sécurité.

    Il y a peu, le pays a en effet dû faire face à une série d’attentats impliquant des enfants. Ainsi, le 16 janvier, au moins quatre personnes ont été tuées dans une attaque durant laquelle une jeune fille accompagnée d'un jeune enfant a fait exploser une veste explosive sur un campus universitaire dans la province de Borno.

    Le 13 janvier, un attentat similaire a eu lieu à Madagali, ville de l’Etat d’Adamawa, dans l'est du pays. Des quatre femmes kamikazes qui pénétraient dans la ville, deux d’entre elles ont été détectées et arrêtées à un poste de contrôle, mais les deux autres ont été prises pour des civiles parce qu’elles portaient des enfants sur leurs dos. Elles ont pu entrer dans la ville et elles s'y faire exploser, faisant quatre morts.

    Les autorités nigérianes qualifient l’utilisation d’enfants dans des attentats de «tendance dangereuse». Ces derniers mois, les terroristes de Boko Haram effectuent de plus en plus d’attentats dans le nord-est du Nigéria. Le pays lutte depuis huit ans contre l’organisation terroriste, qui a prêté allégeance à Daesh en 2015. Environ 15 000 personnes ont été tuées et deux millions d’autres ont été déplacés dans ce conflit.

    Lire aussi : Nigéria : 75 000 enfants menacés de famine imminente selon l'ONU

    https://francais.rt.com/international/32885-nigeria-femmes-kamikazes-boko-haram-enfants

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    1. La folie de la religion des excisés ! Se servir d'enfants comme boucliers !!

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  22. Bouches-du-Rhône : un porte-char et un tractopelle de l'armée disparaissent


    24 janv. 2017, 07:58 - Avec AFP


    Un régiment du génie de l'air a perdu mi-janvier la trace d'un porte-char et d'un tractopelle, près de la base militaire d'Istres, en région PACA. La piste terroriste ne serait pour l'instant pas privilégiée.

    Deux véhicules (un porte-char et une tractopelle) appartenant au 25ème régiment du génie de l'air (RGA) ont disparu entre le 13 et le 17 janvier de la base d'Istres, a indiqué une source militaire le 23 janvier, confirmant une information d'Europe 1. Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les circonstances de cette disparition, a-t-il été précisé.

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a ordonné pour sa part une enquête de commandement auprès de l'Inspection générale des armées, a-t-on précisé dans son entourage. Les enquêtes de commandement ont pour but d'identifier d'éventuels dysfonctionnements ou risques pouvant peser sur le fonctionnement des armées. L'Inspection est composée de généraux des trois armées (Terre, Air, Marine), de la Gendarmerie nationale et de la Direction générale de l'armement.

    Selon Europe 1, le camion Renault Premium, tractant une remorque portant un tractopelle Terex, basé à Istres (Bouches-du-Rhône), a été dérobé alors qu'il était en stationnement en-dehors du complexe militaire.

    L'information a provoqué, sur Twitter, les sarcasmes du député du Rassemblement Bleu Marine (RBM, proche du Front national) Gilbert Collard.

    De telles disparitions de matériel suscitent toujours des interrogations dans le contexte des attentats au camion-bélier perpétrés à Nice le 14 juillet et à Berlin le 19 décembre 2016. Cependant, à ce stade de l'enquête, la piste terroriste ne semble pas privilégiée, selon Europe 1.

    Le 25ème RGA relève de l'armée de Terre mais est employé par l'armée de l'Air, notamment pour la rénovation et l'aménagement de pistes sur les théâtres d'opérations extérieurs.

    Lire aussi : Antiterrorisme : trois individus interpellés par le RAID à Toulouse

    https://francais.rt.com/france/32884-bouches-rhone-porte-char-tractopelle-disparition

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    1. Ainsi, en cas où les États-Unis auraient bombardé la Russie, la victime aurait donc répliqué en bombardant les Bouches-du-Rhône et rasé Marseille comme Istres !

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  23. Une supportrice de Trump voit ses cheveux incendiés par une manifestante anti-Trump (VIDEO)


    23 janv. 2017, 23:15


    Sur ces images, on peut voir clairement la chevelure de la victime commencer à s'enflammer

    Le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump en tant que président des Etats-Unis, une de ses supportrices a eu la désagréable surprise de voire sa chevelure incendiée par une anti-Trump. Heureusement, un de ses amis a pu très vite réagir.

    Une vidéo publiée le 20 janvier sur les réseaux sociaux a déclenché le buzz aux Etats-Unis. On y voit une foule d’opposants à Donald Trump dialoguer avec des supporteurs du désormais 45ème président des Etats-Unis. L’échange, qui s’est déroulé à Washington en marge de l’investiture du Républicain, se déroulait dans le calme jusqu’à ce qu’une anti-Trump décide de passer à l’action.

    Auteur: Daniel and Geneva Ledon

    Alors qu’une jeune fille prend un selfie avec les détracteurs de Donald Trump en arrière-plan, une manifestante met discrètement et rapidement le feu à ses cheveux.

    Fort heureusement pour la jeune fille, un de ses amis s’est montré très rapide et a vite éteint les flammes avant que la situation ne devienne dramatique.

    L’une de ses amies s’est alors adressée scandalisée à la foule : «Quelqu’un a vraiment voulu mettre le feu à mon amie ?»

    https://francais.rt.com/international/32879-supportrice-donald-trump-voit-ses-cheveux-incendies-par-anti-trump

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    1. Rappelons que de nos jours de plus en plus de personnes portent des synthétiques. Donc, l'anorak aurait pu être enflammé et la femme immolée par un ou une anti-americaine !

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  24. Orban se félicite que les pays européens aient la «permission» des USA de se diriger eux-mêmes


    23 janv. 2017, 22:50


    Connu pour son souverainisme, Viktor Orban s'est félicité de la nouvelle orientation que semble prendre la politique étrangère des Etats-Unis depuis l'élection de Donald Trump

    Les récentes déclarations de Donald Trump en faveur d'une nouvelle base pour les relations internationales ont reçu un accueil très favorable en Hongrie, même si Viktor Orban n'a pas manqué d'adresser une légère pique à la diplomatie américaine.

    «Nous avons reçu la permission de la plus haute autorité de ce monde de pouvoir désormais faire passer nos intérêts en priorité», a déclaré le Premier ministre hongrois, Vicktor Orban, lors d'une conférence de presse ce 23 janvier. Il a ainsi commenté, non sans une certaine ironie, les déclarations du nouveau président des Etats-Unis, Donald Trump, qui a affirmé vouloir laisser «les pays se diriger eux-mêmes» et rechercher «l'amitié et la bonne volonté des peuples du monde».

    Viktor Orban a ajouté qu'il s'agissait «d'une grande nouvelle, une grande liberté, un grand cadeau» qui était fait aux peuples du monde. Quelques jours auparavant, Peter Szijjarto, le ministre des Affaires étrangères hongrois avait, dans un communiqué, salué la volonté de Donald Trump de se distancier de la longue tradition d'«exportation de la démocratie aux autres nations». «Que cela cesse, ce serait une évolution très positive pour nous ainsi que pour le monde entier», s'était-il félicité.

    «Les Français et les Allemands sont à la même page que nous et sont d'accord que ces règles, conçues pour les Etats-Unis, pour le système bancaire américain, sont totalement préjudiciables à l'Europe et ne sauraient nous être imposées», a conclu Viktor Orban, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse.

    Viktor Orban, réputé pour l'orientation souverainiste et eurosceptique des politiques qu'il mène depuis son élection en 2010, avait été l'un des chefs d'Etat les plus enthousiastes après la victoire de Donald Trump en novembre 2016.

    Lire aussi : «C'est la fin de la non-démocratie libérale» : Viktor Orban salue la victoire de Donald Trump

    https://francais.rt.com/france/32876-orban-se-felicite-que-pays-europeens-permission-diriger-usa-etats-unis-independance

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  25. Qu'est-ce que le TPP, l'accord de partenariat transpacifique, dont Trump ne veut pas ?


    23 janv. 2017, 21:36


    Ce devait être la plus grande zone de libre-échange et le pendant pour la région du Pacifique du TTIP. Ce 23 janvier le président Trump a signé une ordonnance retirant son pays de l'accord signé le 5 février 2016 mais qu'il restait encore à ratifier.

    L'accord de libre-échange transpacifique (TPP) semble mort-né, avec le retrait ordonné par Donald trump. Pour entrer en vigueur, il devait en effet être ratifié par chacun des pays signataires.

    Une seule zone de libre-échange, 40% de l'économie mondiale
    L'accord de partenariat pacifique (TPP en anglais) a pour but de supprimer les barrières commerciales entre 12 pays : l'Australie, le Brunei, le Canada, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour, les Etats-Unis et le Vietnam. Les promoteurs de l'accord ont fait miroiter une croissance des échanges, mais aussi une unification des standards en matière de protection de l'environnement et de protection sociale, faisant craindre un nivellement par le bas.

    Un accord qui visait à isoler la Chine

    Les négociations visant à établir la zone de libre-échange cachent en fait une rivalité entre la Chine et les Etats-Unis, alors que Washington tente de garder le contrôle de la région Asie-Pacifique.

    Jusqu'à l'émergence de la Chine comme super-puissance économique, les Etats-Unis s'appuyaient sur le Japon, véritable porte-avion américain, dont la politique monétaire et économique est favorable à leurs intérêts économiques.

    Pourquoi Donald Trump n'en veut pas

    Donald Trump est partisan de mesures dites «protectionnistes». Pendant la campagne présidentielle américaine, il a dénoncé le TPP, le qualifiant de «terrible» pour les travailleurs américains. Le nouveau président américain a ainsi prévu de remplacer le TPP par des accords bilatéraux, sur mesure, avec chacun des 12 pays signataires du traité, désormais caduque.

    Négociations secrètes, long silence des médias

    Les opposants au TPP dénoncent un processus de négociations secrètes, afin que les grandes multinationales puissent dicter des dispositions leur étant favorables.

    Barack Obama avait dénoncé ces critiques en 2014, les qualifiant de «théories du complot». En 2013, Wikileaks publiait pour la première fois une partie du texte, un chapitre concernant la propriété intellectuelle, déclenchant de nombreuses manifestations et pétitions en ligne, et obligeant les médias mainstream à lever l'embargo sur le sujet. Pendant ce temps, l'opinion publique, malgré le silence des médias, se mobilisait également contre le TTIP, le pendant transatlantique du TPP, et le CETA, l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada.

    Lire aussi : Accords de libre-échange : les «multinationales à la manœuvre»

    Déni de démocratie, passage en force

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  26. Comme pour son équivalent atlantique le TTIP, les opposants s'inquiètent de la mise en place de juridictions d'arbitrage supranationales, permettant aux sociétés privées d'attaquer les Etats en cas de changements dans leurs législations nationales portant préjudice à leurs intérêts. Une façon de court-circuiter les parlements, et donc la volonté populaire, et d'imposer des réformes sociales et sanitaires.

    L'Aléna, le CETA et le TTIP prochains sur la liste ?

    L'échec de la mise en place du TPP est une mauvaise nouvelle pour les partisans de l'ultra-libéralisme, parfois même issus de partis de gauche, comme le ministre de l'Economie Michel Sapin, lequel défend le CETA. Donald Trump a exprimé son intention de renégocier l'Accord de libre-échange nord-américain (Aléna), dont le Canada et le Mexique font partie. Le TTIP, négocié secrètement en lieu et place des Etats membres par l'aréopage de la Commission européenne, ainsi que le CETA, pourraient également se voir compromis. Ce dernier traité doit encore être ratifié par le parlement européen le 15 février 2017.

    L'édifice complexe et enchevêtré de ces différentes zones de libre-échange visait à verrouiller le commerce mondial et court-circuiter les Etats et leurs représentants politiques. Il semble aujourd'hui sur le point de s'écrouler comme un château de cartes. Il a suffi d'une seule ordonnance de Donald Trump.

    Lire aussi : Trump rompt l'accord TPP et se met «du côté des identités nationales et contre le mondialisme»

    https://francais.rt.com/economie/32872-qu-est-ce-que-tpp-accord-partenariat

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    1. L'accord entre ces 12 pays est de laissé passer tous les produits alimentaires (fruits, légumes et viande) sans inspections sanitaires ! Hahahaha ! (comme il se fait déjà d'ailleurs sur les étals de supermarchés où figurent 80 % d'importations de pays utilisant des produits nocifs interdits en Europe).

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  27. De Obama à Trump : analyse et critique


    John Pilger
    Mondialisation Canada
    dim., 22 jan. 2017 21:27 UTC


    John Pilger s'amuse de ceux à qui l'élection de Trump arrachent des cris d'orfraie, alors qu'ils étaient silencieux durant ces années où Obama balançait 72 bombes par jour sur les pays les plus pauvres de la planète. Il y a pourtant une ligne droite qui a mené d'Obama à Trump.

    Le jour où le président Trump sera inauguré, des milliers d'écrivains aux États-Unis exprimeront leur indignation. « Pour nous guérir et aller de l'avant..., disent les membres de Writers Resist, nous voulons contourner le discours politique direct, à la faveur d'un regard inspiré sur l'avenir et sur la manière dont nous, en tant qu'écrivains, pouvons être une force unificatrice pour la protection de la démocratie ».

    Et d'ajouter :

    « Nous exhortons les organisateurs et les orateurs locaux à éviter d'utiliser les noms de politiciens ou d'adopter la langue "anti" comme point central de leur événement Writers Resist. Il est important de veiller à ce que les organisations à but non lucratif, qui sont interdites de campagne politique, soient mises en confiance pour participer et parrainer ces événements. »

    Ainsi, toute véritable protestation doit être évitée, car elle n'est pas exonérée d'impôt.

    Comparez ces railleries avec les déclarations du Congrès des écrivains américains, tenu au Carnegie Hall, à New York, en 1935. Et encore deux ans plus tard. C'était des événements électriques, avec des écrivains discutant de comment ils pourraient faire face aux événements menaçants d'Abyssinie, de Chine et d'Espagne. On lisait les télégrammes de Thomas Mann, de C. Day Lewis, d'Upton Sinclair et d'Albert Einstein, reflétant la crainte que le pouvoir grandissait maintenant et qu'il était devenu impossible de discuter de l'art et de la littérature sans politique ni même action politique directe.

    « Un écrivain, disait la journaliste Martha Gellhorn lors du second congrès, doit être un homme d'action présente. . . Un homme qui a donné une année de sa vie aux grèves de l'acier, aux chômeurs ou aux problèmes des préjugés raciaux, cet homme-là n'a pas perdu ni gaspillé son temps. C'est un homme qui a su ce à quoi il appartenait. Si vous deviez survivre à une telle action, vous auriez ensuite à en dire la vérité, nécessaire et réelle. Et elle durera. »

    Ses mots résonnent à travers l'onction et la violence de l'ère Obama, ainsi qu'à travers le silence de ceux qui se sont rendus complices de ses tromperies.

    La menace d'un pouvoir rapace était en pleine ascension bien avant la montée de Trump.

    Cette menace a été acceptée par les écrivains, dont beaucoup sont des privilégiés et des célébrités. Elle a aussi été acceptée par les gardiens des portes de la critique littéraire et de la culture, y compris la culture populaire. C'est indéniable. L'impossibilité d'écrire et de promouvoir une littérature dépourvue de politique, ce n'est pas pour eux. La responsabilité de s'exprimer, peu importe qui occupe la Maison-Blanche, ce n'est pas pour eux.

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  28. Aujourd'hui, le symbolisme factice est tout. L'« identité » est tout. En 2016, Hillary Clinton a stigmatisé des millions d'électeurs comme « un panier de déplorables racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes — et ainsi de suite ». Ses insultes ont été distribuées lors d'un rassemblement LGBT, dans le cadre de sa cynique campagne pour gagner les minorités en abusant d'une majorité blanche essentiellement ouvrière. C'est ce qu'on appelle diviser pour régner ; ou politique de l'identité, dans laquelle la race et le genre cachent la classe, et permettent de mener la lutte des classes. Trump l'a très bien compris.

    « Quand la vérité est remplacée par le silence », a déclaré le poète dissident soviétique Yevtushenko, « le silence est un mensonge »
    .

    Ce n'est pas un phénomène américain. Il y a quelques années, Terry Eagleton, alors professeur de littérature anglaise à l'université de Manchester, comptait que

    « pour la première fois en deux siècles, aucun éminent poète, dramaturge ou romancier anglais, n'était prêt à remettre en question les fondements du mode de vie occidental ».

    Pas de Shelley pour parler des pauvres, pas de Blake pour les rêves utopiques, pas de Byron pour maudire la corruption de la classe dirigeante, pas de Thomas Carlyle ni de John Ruskin pour révéler la catastrophe morale du capitalisme. William Morris, Oscar Wilde, HG Wells, George Bernard Shaw n'ont aucun équivalent aujourd'hui. Harold Pinter était le dernier à se faire entendre. Aujourd'hui, parmi les voix insistantes du féminisme consumériste, nul ne fait écho à Virginia Woolf, qui a décrit « l'art de dominer les autres... de gouverner, de tuer, d'acquérir la terre et le capital ».

    Il y a quelque chose à la fois de vénal et de profondément stupide à voir comment les écrivains célèbres s'aventurent hors de leur petit monde confortable pour embrasser un « problème ». Dans l'édition du 10 décembre du Guardian, il y avait cette image rêveuse de Barack Obama regardant vers le ciel, avec les mots « Incroyable élégance » et « Adieu le Chef ».

    Le sycophante a couru comme un ruisseau pollué babillant à travers le journal page après page.

    « Il était une personne vulnérable à bien des égards.... Mais la grâce. La grâce omniprésente : dans la manière et la forme, dans l'argumentation et l'intellect, avec l'humour et la fraîcheur.... Il est un hommage flamboyant à ce qui a été, et ce qui peut être encore... Il semble prêt à continuer à se battre et reste un formidable champion à avoir de notre côté... ... La grâce... les niveaux presque surréalistes de la grâce... »

    J'ai compilé ces citations. Il y en a d'autres, encore plus hagiographiques et dépourvues d'atténuation. Gary Younge, le principal apologiste du Guardian pour Obama, a pour sa part toujours veillé à prudemment modérer ses propos, disant que son héros « aurait pu faire plus » : oh, mais il y avait des « solutions calmes, mesurées et consensuelles... »

    Aucun d'entre eux, cependant, ne pourrait surpasser l'écrivain américain Ta-Nehisi Coates, récipiendaire d'une subvention de « génie » de 625 000 $ reçus d'une fondation libérale. Dans un essai interminable pour l'Atlantique intitulé « Mon président était noir », Coates a apporté un nouveau sens à la prosternation. Le dernier « chapitre », intitulé « Quand vous êtes parti, vous m'avez pris avec vous », une ligne tirée d'une chanson de Marvin Gaye, décrit le fait de voir les Obama

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  29. « sortir de la limousine, s'élever de la peur, sourire, agiter, défier le désespoir, défier l'histoire, défier la gravité ».
    L'Ascension, pas moins.

    Un des courants persistants de la vie politique américaine, c'est cet extrémisme du culte qui frise avec le fascisme.

    Cela a été exprimé et renforcé au cours des deux mandats de Barack Obama. « Je crois en l'exceptionnalisme américain avec chaque fibre de mon être », a déclaré Obama, qui a développé le passe-temps militaire favori de l'Amérique, les bombardements et les escadrons de la mort (« opérations spéciales »), comme aucune autre président ne l'a fait depuis la guerre froide.

    Selon une enquête du Council on Foreign Relations, rien qu'en 2016, Obama a largué 26 171 bombes. Soit 72 bombes par jour. Il a bombardé les plus pauvres du monde, en Afghanistan, en Libye, au Yémen, en Somalie, en Syrie, en Irak et au Pakistan.

    Chaque mardi — comme l'a rapporté le New York Times — Obama a personnellement choisi ceux qui seraient assassinés, principalement par des missiles Hellfire tirés depuis des drones. Des mariages, des funérailles et des bergers ont été attaqués, ainsi que ceux qui tentaient de recueillir les parties du corps composant la « cible terroriste ». Un sénateur républicain de premier plan, Lindsey Graham, a estimé, d'un air approbateur, que les drones d'Obama ont tué 4 700 personnes. « Parfois, vous frappez des innocents et je déteste ça, a-t-il dit, mais nous avons arraché quelques doyens à Al-Qaïda. »

    Tout comme le fascisme des années 1930, de grands mensonges sont livrés avec la précision d'un métronome : grâce à un média omniprésent dont la description correspond désormais à celle du procureur de Nuremberg :

    « Avant chaque grande agression, à quelques exceptions près, ils lançaient une grande campagne de presse visant à affaiblir leurs victimes et à préparer psychologiquement le peuple allemand... Dans le système de propagande... c'était la presse quotidienne et la radio qui étaient les armes les plus importantes. »

    Prenez la catastrophe en Libye. En 2011, Obama a déclaré que le président libyen Mouammar Kadhafi planifiait un « génocide » contre son propre peuple. « Nous savions... que si nous attendions un jour de plus, Benghazi, une ville de la taille de Charlotte, pourrait subir un massacre qui aurait retenti dans toute la région et entaché la conscience du monde ».

    C'est le mensonge reconnu des milices islamistes confrontées à la défaite par les forces gouvernementales libyennes. Ce mensonge est devenu l'histoire des médias ; et l'OTAN — emmené par Obama et Hillary Clinton — a lancé 9 700 « sorties de frappes » contre la Libye, dont plus d'un tiers visaient des cibles civiles. On a utilisé des ogives d'uranium ; les villes de Misurata et de Syrte ont essuyé des tapis de bombes. La Croix-Rouge a identifié des fosses communes, et l'Unicef a rapporté que « la plupart [des enfants tués] avaient moins de dix ans ».

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  30. Sous Obama, les Etats-Unis ont étendu les opérations secrètes de « forces spéciales » à 138 pays, soit 70 % de la population mondiale. Le premier président afro-américain a lancé ce qui représentait une invasion à grande échelle de l'Afrique. Rappelant le partage de l'Afrique à la fin du XIXe siècle, le US African Command (Africom) a construit un réseau de quémandeurs parmi les régimes africains collaboratifs avides de pots-de-vin et d'armements américains. La doctrine du « soldat à soldat » d'Africom embarque les officiers américains à tous les niveaux de commandement, du général à l'adjudant. Il ne manque plus que les casques coloniaux.

    C'est comme si la fière histoire de la libération de l'Afrique, de Patrice Lumumba à Nelson Mandela, était confinée à l'oubli par l'élite coloniale noire du nouveau maître. Nouveau maître dont la « mission historique », a averti Frantz Fanon il ya un demi-siècle, est la promotion du « capitalisme effréné, bien que camouflé ».

    C'est Obama qui, en 2011, a annoncé ce qui est devenu connu comme le « pivot à l'Asie », à travers lequel près des deux tiers des forces navales américaines seraient transférés vers l'Asie-Pacifique pour « affronter la Chine », selon les mots de son Secrétaire à la Défense. Il n'y avait pas de menace de la part de la Chine ; toute l'entreprise était inutile. C'était une provocation extrême pour garder le Pentagone et ses gradés déments heureux.

    En 2014, l'administration Obama a supervisé et financé un coup d'État fasciste en Ukraine contre le gouvernement démocratiquement élu, menaçant la Russie dans cette frontière occidentale par laquelle Hitler avait envahi l'Union soviétique, causant la perte de 27 millions de vies. C'est Obama qui a pointé des missiles en Europe de l'Est en direction de la Russie. Et c'est le lauréat du Prix Nobel de la Paix qui a augmenté les dépenses en ogives nucléaires à un niveau supérieur à celui de tous les gouvernements depuis la guerre froide — alors qu'il avait promis, dans un émouvant discours prononcé à Prague, d'« aider à débarrasser le monde des armes nucléaires ».

    Obama, l'avocat constitutionnel, a poursuivi plus de lanceurs d'alerte que n'importe quel autre président dans l'histoire, même si la Constitution américaine les protège. Il a déclaré Chelsea Manning coupable avant la fin d'un procès qui était une parodie. Il a refusé de grâcier Manning qui a subi des années de traitements inhumains considérés par les Nations Unies comme des actes de torture [Le 17 janvier, après la publication originale de cet article, Obama a annoncé la grâce de Manning, NDT]. Il a pourchassé Julian Assange à travers un procès entièrement bidon. Il a promis de fermer le camp de concentration de Guantanamo et ne l'a pas fait.

    Après la catastrophe des relations publiques de George W. Bush, Obama, le smooth operator de Chicago passé par Harvard, a été enrôlé pour restaurer ce qu'il appelle le « leadership » des Etats-Unis à travers le monde entier. La décision du comité du prix Nobel en faisait partie : une sorte de racisme inversé qui béatifiait l'homme sans autre raison que d'attirer les sensibilités libérales et, bien sûr, le pouvoir américain, à défaut d'attirer les enfants qu'il tue dans des pays démunis, principalement musulmans.

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  31. C'est l'Appel d'Obama. Il n'est pas sans rappeler le sifflement d'un chien : inaudible pour la plupart, irrésistible pour les méchants et les sots, surtout les « cerveaux libéraux décapés dans le formaldéhyde de la politique identitaire », comme le disait Luciana Bohne. « Quand Obama entre dans une pièce, s'est épanché George Clooney, vous voulez le suivre quelque part, n'importe où. »

    William I. Robinson est professeur à l'Université de Californie et membre d'un groupe non contaminé de penseurs stratégiques américains qui ont conservé leur indépendance pendant les années de sifflement intellectuel depuis le 11 septembre. Il a écrit cette semaine :

    « Le président Barack Obama... a peut-être fait plus que quiconque pour assurer la victoire de [Donald] Trump. Tandis que l'élection de Trump a déclenché une expansion rapide des courants fascistes dans la société civile américaine, une issue fasciste pour le système politique est loin d'être inévitable.... Mais cette lutte exige un peu de clarté sur la façon dont nous sommes arrivés au bord d'un précipice aussi dangereux. Les semences du fascisme du 21e siècle ont été plantées, fertilisées et arrosées par le gouvernement Obama et l'élite libérale en faillite politique. »

    Robinson souligne que

    « le fascisme est avant tout une réponse aux profondes crises structurelles du capitalisme, comme celle des années 1930 et celle qui a débuté avec la crise financière de 2008 (...). Il y a une ligne presque droite d'Obama à Trump... Le refus de l'élite libérale de contester la rapacité du capital transnational ainsi que sa marque de politique identitaire ont éclipsé le langage des classes ouvrières et populaires... Ce refus a ainsi poussé les travailleurs blancs dans une "identité" de nationalisme blanc et a aidé les néo-fascistes à les organiser ».
    Ce semis est la République de Weimar d'Obama, un paysage de pauvreté endémique, de police militarisée et de prisons barbares : la conséquence d'un extrémisme « de marché » qui, sous sa présidence, a entraîné le transfert de 14 mille milliards de dollars de deniers publics vers Wall Street.

    Peut-être que son plus grand « héritage » est la cooption et la désorientation de toute opposition réelle. La « révolution » spécieuse de Bernie Sanders ne trouve pas d'application concrète. La propagande est son triomphe.

    Les mensonges au sujet de la Russie — où les Etats-Unis sont déjà intervenus ouvertement dans les élections — ont fait des journalistes les plus importants du monde la risée de tous. Dans le pays dont la presse est la plus libre au monde, le journalisme libre n'existe plus que dans ses honorables exceptions.

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  32. L'obsession de Trump est une couverture pour beaucoup de ceux qui se disent de « gauches/libéraux ». Comme s'ils voulaient revendiquer une forme de décence politique. Ils ne sont pas « de gauche », et encore moins « libéraux ». Une grande partie de l'agression américaine contre le reste de l'humanité est venue de prétendus gouvernements démocrates libéraux — comme celui d'Obama. Le spectre politique de l'Amérique s'étend du centre mythique à la droite lunaire. Les « gauchistes » sont des renégats sans abri que Martha Gellhorn a décrits comme une « fraternité rare et tout à fait admirable ». Elle exclut ceux qui confondent la politique avec l'obsession de leur nombril.

    Tandis qu'ils « guérissent » et « vont de l'avant », les militants de Writers Resist et d'autres anti-Trumpistes réfléchiront-ils à cela ? Plus précisément : quand un véritable mouvement d'opposition surgira-t-il ? En colère, éloquent, dans le style un pour tous, tous pour un ? Jusqu'à ce que la vraie politique revienne dans la vie des gens, l'ennemi n'est pas Trump, c'est nous-mêmes.

    -- Commentaire : Lire aussi :
    - En 2016 les Etats-Unis ont lâché en moyenne trois bombes par heure dans le monde
    - Barack Obama, le marketing, & l'Empire ( Extrait du documentaire "La guerre invisible" (2010) )
    - Le meilleur des mondes : Obama le canard boiteux
    - La déclaration de guerre des néocons contre Trump
    - Soros veut créer l'« Armageddon financier et déchaîner l'enfer » pour faire tomber Trump
    - La déclaration de guerre de Trump --

    https://fr.sott.net/article/29901-De-Obama-a-Trump-analyse-et-critique

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    1. Rappelez-vous qu'au temps d'ObamasquéÔhéÔhé, ce dernier était rabaissé au rang d'hitler qui était un enfant de chœurs à côté de lui !

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  33. Une intelligence artificielle globale et agnostique pour bientôt ?

    Guillaume Renouard
    Numerama
    jeu., 19 jan. 2017 13:30 UTC


    -- Commentaire : L'apparition d'une conscience informatique est-elle proche ? N'est-ce pas le désir avoué ou inavoué de tous ces ingénieurs qui créent des ordinateurs à ADN ou des programmes qui permettent à ces derniers d'apprendre à résoudre seuls des problèmes auxquels ils n'ont jamais été confronté ? Bien sûr, les scientifiques en charges de ces travaux sont sûrs d'eux-mêmes et, comme d'habitude, ils nous affirment que tout est sous contrôle : comment quelque chose d'inanimé pourrait-il être doué d'une volonté propre ? L'expérience nous montre pourtant que l'imprévu surgit souvent là où l'on ne l'attend pas ; qu'il semble exister une espèce d'impondérabilité, en toute chose. Affirmer qu'il est impossible que ce qui semble ne pas être vivant et conscient ne peut le devenir, c'est sous-entendre connaitre parfaitement les causes et les raisons mêmes de l'apparition de la vie dans l'Univers, ainsi que toutes les lois qui la régissent. Et sous-entendre connaitre parfaitement la nature de cette vie, de la conscience qui l'anime, dans toutes ses variations et ses possibilités. Une telle chose est-elle seulement possible ?

    Si certains scientifiques, comme Stephen Hawking, voient en l'intelligence artificielle un danger tout à fait réel, c'est bien qu'ils en ont déduit qu'à partir des outils informatiques que nous utilisons actuellement , qui nous semblent pourtant inertes et sans vie, il existe bien quelque chose permettant la manifestation d'évènements que les calculs rationnels mathématiques ne prévoient pas. Et si ceux-ci sont malgré tout prévisibles, est-il possible que nous ne sachions pas voir que nous manipulons un instrument qui permette de "réveiller le démon", pour citer Elon Musk ? --

    Aussi spectaculaires soient-ils, les récents progrès de l'intelligence artificielle ont été principalement le fait de logiciels ultra spécialisés, élaborés grâce à un travail de longue haleine. Mais l'intelligence artificielle de demain pourrait être, au contraire, polyvalente et autodidacte.

    « Nous vivons une époque à la fois fantastique et dangereuse. En effet, nous sommes témoins de bouleversements majeurs, auxquels nous allons nécessairement devoir nous adapter. Notre manière d'apprendre, en particulier, va devoir changer. » En novembre dernier, au Web Summit de Lisbonne, Antoine Blondeau donnait le ton dès le début de son intervention. Dans le privé, si le phrasé est plus relâché, le discours reste le même : l'évolution, l'adaptation sont pour lui les clefs ouvrant les portes du futur. Un futur où l'intelligence humaine pourra compter sur l'aide des machines.

    Car, sans tambour ni trompette, cet entrepreneur français, naviguant entre Hong Kong et la Silicon Valley, est aujourd'hui en train de créer l'une des intelligences artificielles les plus perfectionnées au monde. L'aventure démarre en 2008, date de création de sa société, Sentient Technologies. Moins connue du public que les ténors de l'intelligence artificielle que sont IBM, Google et Facebook, car plus spécialisée, l'entreprise d'Antoine Blondeau a pour but de construire une intelligence artificielle hors norme, à la fois globale, agnostique et évolutive.

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  34. De Deep Blue à AlphaGo

    De la victoire de Deep Blue contre Gary Kasparov en 1996 à celle, peut-être plus spectaculaire encore, d'AlphaGo contre Lee Sedol en mars 2016, en passant par celle d'IBM Watson à Jeopardy !, l'intelligence artificielle a récemment accompli des progrès stupéfiants, surpassant l'intelligence humaine dans des domaines que celle-ci prenait jusqu'alors pour sa chasse gardée.

    Ainsi, le jeu de Go a longtemps semblé trop complexe pour la machine. Le nombre gigantesque de combinaisons possibles dans une partie rendant impuissant le seul calcul de probabilité, ce jeu chinois millénaire exige de s'adapter à chaque situation et de faire preuve d'une certaine créativité, caractéristiques que beaucoup pensaient être l'apanage de l'homme.

    Cela n'a pas empêché le logiciel mis au point par Google DeepMind de battre à plate couture le meilleur joueur du monde, et de poursuivre récemment ses exploits en administrant des raclées à de nombreux joueurs professionnels sur l'internet. À l'heure où j'écris ces lignes, le logiciel demeure invaincu, avec soixante victoires d'affilée.

    Néanmoins, aussi spectaculaires soient-elles, ces réalisations demeurent l'apanage de logiciels qui doivent tout au labeur humain. Chacun a nécessité l'attention de dizaines de chercheurs hautement qualifiés au cours de plusieurs années de travail. En outre, ces logiciels sont ultra spécialisés : AlphaGo est peut-être le meilleur joueur de Go de tous les temps, il demeure incapable d'aligner trois mots ou de discerner une chèvre d'un hibou, ce dont serait bien sûr capable n'importe quel joueur de Go humain débutant. C'est pourquoi de nombreux experts relativisent les récents progrès de l'intelligence artificielle et récusent toute comparaison possible avec l'intelligence humaine.

    C'est le cas de l'écrivain, entrepreneur et futuriste Jerry Kaplan :

    « Le terme même d'intelligence artificielle est trompeur. Le fait que l'on puisse programmer une machine pour jouer aux échecs, au Go, à Jeopardy ! ou pour conduire une voiture ne signifie pas pour autant qu'elle soit intelligente ! Autrefois, les calculs étaient effectués à la main, par des humains très intelligents et portant une grande attention au détail. Aujourd'hui, n'importe quelle calculette achetée en supermarché peut faire bien mieux que ces brillants cerveaux de jadis. Ces calculatrices sont-elles pour autant intelligentes ? Je ne le crois pas. Au fil du temps, nous découvrons de nouvelles techniques permettant de résoudre des problèmes bien précis, à l'aide de l'automatisation. Cela ne signifie pas pour autant que nous soyons en train de construire une super-intelligence en passe de prendre le pouvoir à notre place. »

    -- Commentaire : Un brillante logique applicable... aux calculettes, et non pas aux ordinateurs qu'on essaie de rendre toujours plus intelligents, sophistiqués, autonomes. --

    Contrairement à l'intelligence humaine, très polyvalente, l'intelligence artificielle serait donc vouée à l'ultraspécialisation.

    Le darwinisme au secours de l'intelligence artificielle

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  35. Pourtant, les travaux de Sentient Technologies pourraient bien changer la donne. Car l'entreprise d'Antoine Blondeau ambitionne de construire un programme capable de s'attaquer à n'importe quel type de problème, et surtout, d'apprendre à le résoudre tout seul. Pour cela, elle utilise deux techniques d'intelligence artificielle différentes, le deep learning, d'une part, et les algorithmes évolutifs, d'autre part.

    Explications :
    « Le deep learning, qui simule la façon dont un système nerveux fonctionne, est excellent pour deux choses : l'observation et l'abstraction. Il permet, à partir d'une large quantité de données non structurées, d'opérer une classification à l'intérieur de celle-ci, de tisser des relations entre ces différentes catégories, et, dans un deuxième temps, de créer des abstractions à partir de cette observation. Il est ainsi excellent pour créer une modélisation du monde, mais n'est en revanche pas optimal pour l'adaptation, la définition d'une stratégie, et la prise de décision. »

    Pour cette seconde phase, Sentient Technologies a puisé son inspiration dans... les théories de Charles Darwin.

    « Nous utilisons des algorithmes évolutifs, qui imitent la façon dont la vie biologique a évolué sur terre. On peut voir le monde d'aujourd'hui comme une succession de stratégies gagnantes : toutes les espèces sur Terre fournissent des exemples de réussite, car elles sont parvenues à survivre. La nature a, au fil du temps, créé un grand nombre de combinaisons de codes génétiques possibles. En tâtonnant de la sorte, elle est arrivée petit à petit à générer des codes génétiques qui fonctionnent, survivent et parviennent à dominer leur environnement. »

    Commentaire : Une vision tout à fait biaisée de la vie, réduite à une succession de "stratégies gagnantes", de "réussites" , d'environnement dominé. Qu'il suffisent d'ouvrir les yeux sur la nature qui nous entoure pour comprendre qu'à défaut de domination et de loi du plus fort, il est bien plus question d'équilibre, grâce auquel la nature peut perpétuer sa diversité. On voit d'ailleurs comment ce genre de logique pernicieuse permet de justifier les actes et les comportements immoraux, et peut favoriser, ultimement, l'émergence d'une classe dominante psychopathique. Celle que nous connaissons bien, celle qui nous opprime.

    On se demandera quel type d'intelligence artificielle peut produire ce genre d'idéologie douteuse...

    L'évolution résumée en quelques minutes

    Une stratégie qu'Antoine Blondeau s'efforce de reproduire sur le plan informatique. « Cette évolution est parfaitement applicable à un logiciel, sauf qu'au lieu de prendre des milliards d'années, elle prend alors quelques minutes, semaines ou mois en fonction de la taille du problème à résoudre. On peut ainsi créer de manière rapide et approfondie une population de stratégies gagnantes. » Hormis le fait que les êtres ainsi générés sont des intelligences artificielles, et non des êtres vivants, le processus est le même.

    Parmi une première génération d'intelligence artificielle, Sentient Technologies sélectionne les plus performantes. Elle utilise ensuite leur ADN pour concevoir une seconde génération mieux adaptée. Au sein de cette génération, les meilleures sont de nouveau sélectionnées pour obtenir une troisième génération encore meilleure, etc. Répétée sur de nombreuses générations, cette technique permet l'émergence d'une intelligence artificielle darwinienne, toujours plus performante et capable de s'adapter à son environnement.

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  36. Avec ce système, il est possible de construire des logiciels capables de s'attaquer à n'importe quel type de problème, sans déployer des ressources humaines considérables. « Pour construire AlphaGo, Google a employé entre dix et vingt docteurs (PhD) pendant trois ans. Notre idée consiste à remplacer la conception humaine par un système intelligent et évolutif qui travaille tout seul sur des milliers de cartes graphiques et de processeurs. » explique Antoine Blondeau.

    Cette dimension agnostique et évolutive est vue par beaucoup comme la nouvelle étape de l'intelligence artificielle. « Les programmes de demain seront capables d'interagir en permanence avec leur environnement et de s'améliorer sans cesse grâce à l'expérience. » écrit ainsi Sergey Levine, chercheur en informatique à l'Université de Berkeley. Sentient Technologies n'est d'ailleurs pas la seule entreprise à suivre ce chemin.

    Ainsi, Google DeepMind, à qui l'on doit le logiciel AlphaGo, multiplie depuis peu les domaines d'application de son logiciel. L'entreprise a noué un partenariat avec Blizzard afin d'entraîner son intelligence artificielle sur le jeu Starcraft II. Elle a également rendu public le code de son programme sur GitHub, afin d'inciter les chercheurs de tous horizons à l'utiliser et le personnaliser pour résoudre différents types de problèmes.

    OpenAi, autre projet financé par Elon Musk et Peter Thiel, a de son côté rendu publique une interface baptisée Universe, qui consiste en une intelligence artificielle capable d'analyser le contenu d'un écran et de manipuler un clavier et une souris. L'objectif : obtenir un système capable d'apprendre à jouer à n'importe quel jeu vidéo. Au-delà des différentes applications, on retrouve cette même volonté de construire un logiciel autodidacte, pouvant s'adapter à n'importe quelle situation. Ainsi, Google applique d'ores et déjà ses compétences acquises en matière d'intelligence artificielle via Google DeepMind à la recherche sur les maladies oculaires liées au diabète, via sa filiale Verily.

    Sentient Technologies a de son côté commencé par employer son logiciel dans les domaines de la finance et du commerce en ligne. Aujourd'hui, les seules limites semblent celles de l'imagination. Dans la santé, l'entreprise a mis au point une technique capable de prédire l'apparition d'une septicémie une demi-heure avant qu'elle ne se manifeste aux yeux des médecins.

    Une fois approuvée par les autorités médicales, cette méthode permettrait d'accroître considérablement les chances de survie du patient. Elle propose également des services de maintenance prédictive dans l'industrie et l'électroménager, détectant les défaillances en amont. Elle travaille même avec le MIT sur un système permettant de prévoir les chocs sismiques trente minutes avant qu'ils ne se produisent.

    En matière de cybersécurité, ce sont les fraudes et cyberattaques qui peuvent être prévues. Citons encore l'agriculture, où les possibilités sont également nombreuses : « Nous avons développé un système de conteneurs intelligents, en partenariat avec le MIT Media Lab. » explique-t-il. « À l'intérieur, l'intelligence artificielle contrôle la lumière, l'humidité, la température, mais aussi les nutriments apportés aux plantes, supervisant leur croissance en temps réel. Cela permet d'améliorer l'efficacité sans avoir recours aux OGM. »

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  37. De la place de l'homme

    Si l'intelligence artificielle devient à la fois meilleure que l'intelligence humaine pour résoudre des problèmes précis et capable de s'adapter à n'importe quel type de situation, quelle place restera-t-il pour l'humain ? Pas de panique : pour Antoine Blondeau, l'humain n'est pas près de s'effacer au profit de la machine.

    « Notre cerveau consomme environ 20 watts. Comparé à la puissance énergétique dont un ordinateur de puissance équivalente aurait besoin, c'est très faible. Le cerveau humain a encore de beaux jours devant lui, car il est très efficace, et va le rester. En revanche, l'intelligence artificielle sera de plus en plus utilisée pour les problèmes où la dimensionnalité des données est très importante (plus l'on en a, mieux c'est), d'une part, et où la rapidité d'apprentissage est capitale, d'autre part. Car l'humain est limité à la fois dans sa mémoire et dans sa capacité d'apprentissage, contrairement à la machine.

    À terme, peut-être que les machines deviendront plus intelligentes que l'homme, mais cela va prendre beaucoup de temps, et cela sera surtout un processus progressif : on ne va pas se réveiller un matin en réalisant que les machines sont devenues conscientes.

    Il ne faut pas non plus perdre de vue l'objectif que nous cherchons à atteindre avec l'intelligence artificielle : elle doit servir à résoudre nos grands problèmes sociétaux, à construire un monde plus juste, plus humaniste, où les gens seront plus heureux. Pour y parvenir, il faut que cette technologie soit disponible pour tout le monde, ne demeure pas l'apanage de quelques personnes. »

    Elon Musk ne pourra qu'approuver.

    https://fr.sott.net/article/29900-Une-intelligence-artificielle-globale-et-agnostique-pour-bientot

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    1. Il s'agit là d'une banale 'rivalité' entre le professeur et l'élève surdoué qui débarque dans sa classe !

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  38. Le nucléaire, « un choix d’avenir » au présent incertain


    Par Arnaud Daguin.
    le 24 janvier 2017


    Le redémarrage des réacteurs nucléaire peut être une bonne nouvelle pour l’économie tricolore. Grâce à sa production d’électricité nucléaire, la France exporte en effet quantité d’énergie vers ses voisins européens.

    Alors que certains réacteurs sont encore à l’arrêt et que l’atome doit faire face à une vague d’impopularité en France, le nucléaire reste néanmoins perçu comme une filière industrielle d’avenir qui servirait l’économie du pays.

    François Hollande l’avait promis en 2012, la centrale de Fessenheim serait fermée le 31 janvier 2016 au plus tard. Il y a quelques mois, Ségolène Royal, ministre de l’Energie, affirmait à son tour que « le décret d’arrêt de fonctionnement de Fessenheim [devait] être pris avant la fin de l’année 2016 ». Hasard du calendrier : le 30 décembre dernier, alors qu’il était à l’arrêt pour cause de maintenance depuis le 10 du même mois, le réacteur 1 de la plus vieille centrale française a redémarré. Soit quelques heures avant la date fixée par le gouvernement pour programmer son arrêt.

    Tollé chez les anti-nucléaires, pour qui cet imbroglio témoigne d’un abandon pur et simple d’une des promesses fortes du candidat Hollande. Le président de la République avait d’ailleurs rendez-vous avec le patron d’EDF, Jean-Bernard Lévy, le 3 janvier à l’Elysée, afin d’évoquer la fermeture effective de Fessenheim. Fermeture qui devrait, en fin de compte, se monnayer contre une indemnisation de l’électricien – 446 millions d’euros – et intervenir en même temps que le démarrage de l’EPR de Flamanville (Manche), en 2018.

    « Compétitivité de la filière nucléaire »

    Le passage de témoin, en quelque sorte, entre Fessenheim et Flamanville, pourrait résumer à lui tout seul l’état de la filière nucléaire en France : une industrie qui, pour tenir la cadence mondiale, alors que de plus en plus de pays adoptent leur propre ingénierie – Russie et Chine en tête –, est contrainte de se moderniser. L’objectif ? Il est, en réalité, double : réduire les coûts de production d’électricité et augmenter les capacités exportatrices du géant tricolore. Jean-Bernard Lévy l’a en effet très clairement affirmé après le récent rachat de l’activité réacteurs d’Areva : « Ensemble nous seront plus forts, efficaces et compétitifs pour conquérir de nouveaux marchés ».

    Reste à mettre en pratique cette volonté. Valérie Faudon, déléguée générale de la Société française d’énergie nucléaire (SFEN), n’hésite pas à parler de l’atome comme d’ « un choix d’avenir qui correspond pleinement aux enjeux du 21ème siècle ». A cela deux raisons, selon cette dernière: « le nucléaire se place au carrefour des enjeux environnementaux et climatiques de ce siècle » et il « est une filière industrielle d’excellence » – avec pas moins de 2 500 entreprises réparties sur tout le territoire. Ce qui pourrait tout changer ?

    La « révolution numérique qui transforme le secteur en profondeur et accélère le développement des technologies de rupture ». D’après une note d’information publiée par la SFEN en novembre 2016, le numérique offrirait en effet « des possibilités nouvelles en vue d’améliorer la compétitivité de la filière nucléaire ». Les gains espérés ? Supérieurs à « 5,1 % des dépenses d’investissements d’un projet de réacteur nucléaire » selon la société, sachant que « 70 % à 80 % du prix de l’électricité produite par un réacteur dépend du coût du chantier ».

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  39. Alors qu’EDF est engagée dans un vaste programme de rénovation de son parc nucléaire, le groupe investit massivement pour adapter ses outils aux nouvelles technologies numériques. D’après Pierre Béroux, directeur de la transition numérique industrielle chez EDF, « le grand enjeu, c’est de se servir des dernières technologies disponibles en matière de numérique pour faciliter la maintenance du parc et notamment la réalisation du programme de rénovation du Grand Carénage ». L’électricien entend former ses agents aux multiples possibilités ouvertes par la simulation digitale, tout en « matérialisant » des situations d’urgence jamais explorées, ceci afin de parer à tout incident.

    Partenariats à l’international

    Difficile, en effet, de faire l’impasse sur la sécurité des installations. Sur ce point, si les récents événements survenus dans certaines centrales françaises mettent en lumière leur aspect faillible, ils soulignent surtout la réactivité de tous les acteurs de la filière, à commencer par EDF et l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Le gendarme du nucléaire tricolore avait demandé à l’électricien, en juin dernier, de vérifier les générateurs de vapeur de dix-huit réacteurs après la découverte d’une anomalie. Pour la SFEN, « l’arrêt de certains réacteurs et la demande de tests complémentaires témoignent du bon fonctionnement du contrôle de l’ASN ainsi que de son haut niveau d’exigence, de ses pouvoirs et de son indépendance ».

    Au mois d’octobre, EDF comptait donc douze unités à l’arrêt, ce qui faisait craindre une pénurie d’électricité cet hiver. Il n’en sera finalement rien. L’ASN a autorisé l’électricien à redémarrer certains de ses réacteurs au début du mois de décembre. Une bonne nouvelle non seulement pour les Français – qui bénéficient d’ailleurs, grâce à l’atome, de l’électricité la moins chère d’Europe –, mais également pour l’environnement ; en cas d’absence prolongée de certaines centrales nucléaires, la France aurait été obligée d’avoir recours à ses centrales à charbon, bien plus polluantes.

    A plus long terme et indirectement, le redémarrage des réacteurs nucléaire peut être une bonne nouvelle pour l’économie tricolore. Grâce à sa production d’électricité nucléaire, la France exporte en effet quantité d’énergie vers ses voisins européens.

    D’après la SFEN, la filière exporte chaque année quelque six milliards d’euros de biens et de services. De plus, afin de redresser la balance commerciale de l’Hexagone, EDF tente de nouer des partenariats à l’international, comme au Japon ou en Chine, où l’électricien dispose de 10 % de parts sur le marché des réacteurs de 1 000 MWe (mégawatt électrique).

    Outre l’Empire du Milieu, le groupe tricolore est présent en Finlande et, depuis l’an dernier, en Angleterre, où il doit construire en partenariat avec Pékin, deux EPR à Hinkley Point (Sud-Ouest). Si le chantier scandinave présente des retards, on note du côté de la SFEN qu’ « en investissant dans la centrale britannique, la Chine, plus grand constructeur de centrales au monde, témoigne de sa confiance envers cette technologie ». Reste à présent aux nouvelles installations de gagner la confiance des Français.

    https://www.contrepoints.org/2017/01/24/278913-nucleaire-choix-davenir-present-incertain

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  40. Edition week-end : I. Il fait froid !


    22 JANVIER 2017
    NATHALIE MP


    Chers lecteurs, ce week-end vous avez droit à DEUX articles ! D’abord « Il fait froid ! » puis « Melania était en Ralph Lauren. » Ce ne sont pas à proprement parler des articles comme je les fais habituellement, mais plutôt des petits billets d’humeur inspirés par l’actualité saisonnière et les rumeurs de la ville.

    C’est scandaleux, nous sommes en janvier et il fait froid ! Hier, j’ai dû passer 20 minutes à réchauffer le moteur de ma voiture au sèche-cheveux pour qu’elle consente enfin à démarrer, et ce matin encore, nous avons du – 6 °C à Lille. Le pic de chaleur promis en milieu de journée n’excédera pas + 3 °C. Ce genre de chose ne devait plus arriver. Encore un échec du quinquennat Hollande ! Encore des promesses non tenues !

    On nous avait dit qu’il n’y avait plus de saison, que les émissions de gaz carbonique de nos voitures et de nos industries réchauffaient dangereusement la planète, que nous entrions dans l’ère d’un été éternel et meurtrier, que la banquise fondait à vue d’oeil, que les ours blancs dépérissaient, que les îles des mers du sud disparaissaient sous les flots.

    Et on nous avait dit qu’on ne pourrait jamais revenir en arrière, qu’on ne pourrait jamais retrouver les neiges d’antan, sauf peut-être – et encore rien n’est moins sûr, car on parle d’une catastrophe climatique extrême, sauf donc à faire des efforts considérables, c’est-à-dire suivre un chemin de rédemption révélé par la COP21, baptisé « transition énergétique » – et mis en bonnes œuvres par une flopée de taxes et d’interdictions.

    Et voilà que contre toute attente il se met à faire froid en janvier. La belle affaire ! aurait dit ma chère grand-mère, c’est l’hiver ! Et pourtant, à lire tous les articles dont les médias nous inondent à propos du froid polaire qui s’est abattu sur nos douces contrées depuis une semaine ne croirait-on pas que nous vivons une situation inédite, une anomalie colossale qui nous fait revenir à des temps aussi reculés qu’oubliés, février 2012 par exemple ?

    Côté France, nous sommes en pleine primaire de gauche. Mais il importe surtout d’informer les Français que les services de l’équipement s’organisent au mieux pour leur assurer une voirie en parfait état de circulation et qu’ils ne reculerons devant aucun effort pour venir à bout de ces décimètres de neige effrontément accumulés sur les chaussées. C’est gentil à eux et je suis la première à admirer tout le dévouement citoyen dont les agents municipaux font preuve en ces circonstances difficiles, mais finalement, n’est-ce pas un petit peu leur job aussi ?

    A l’international, nous sommes dans la semaine où Theresa May nous a expliqué son idée du Brexit, où Xi Jinping a donné son avis enthousiaste sur le libre-échange et où Donald Trump a accédé officiellement à la Maison Blanche. Mais laissons ces sujets mineurs, se sont dit nos journaux, et faisons vraiment notre travail d’éducation des populations plongées dans un désarroi profond par le retour impromptu de l’hiver en hiver : expliquons-leur par le menu tout ce qu’elles doivent faire pour se protéger du froid.

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  41. Et là, je vais certainement vous étonner, mais figurez-vous que quand il fait froid, il faut bien se couvrir ! Il faut mettre des gants, un bonnet et une écharpe, et il faut porter des chaussures anti-dérapantes qui maintiennent les pieds au chaud ! Je n’ose imaginer comment je me serais vêtue cette semaine si je n’avais pris quelques secondes pour lire les précieux conseils du Point ou du Figaro. Et grâce au Huffington Post, je vais pouvoir apprendre à me tricoter une « couverture météo » pour la prochaine vague de froid !

    Tout ce froid complètement inattendu a aussi la mauvaise grâce de tomber assez mal. Qui dit froid dit chauffage et qui dit chauffage dit besoin en énergie, notamment en électricité. Or sur nos 58 réacteurs nucléaires, 12 ont été arrêtés depuis octobre 2016 pour des opérations de maintenance demandées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

    Pas de panique, les énergies renouvelables sont là pour combler les manques, c’est du moins ce dont nous assure régulièrement Ségolène Royal. En réalité, elles ne représentent jamais qu’un très petit 5 % de la production électrique, et encore, en visant bien selon les moments de la journée. Aussi, compte tenu de la situation tendue que la vague de froid a provoquée sur le réseau électrique, l’ASN a autorisé le 12 janvier le redémarrage de 9 réacteurs et la presse y va à nouveau de ses petits conseils pratiques du style : « Vague de froid : pourquoi faire sa machine la nuit, c’est du sérieux. »

    Et pourquoi pas « vivre dans le noir et sans chauffage » pendant qu’on y est ? Car si le Nouvel Obs nous incite à adopter une attitude « citoyenne » pour éviter les coupures d’électricité, il ne manque pas de préciser que c’est bien aussi pour notre empreinte carbone, cette fameuse empreinte carbone qui est responsable du réchauffement climatique. Est-ce à dire que lorsque les températures descendent il faut continuer à lutter contre le réchauffement climatique ?

    Eh bien, oui ! Il serait naïf de penser que tout ce froid fait plaisir à nos réchauffistes ! On se tromperait beaucoup en s’imaginant qu’ils sont soulagés de constater que les températures sont capables de baisser dans des proportions tout à fait conformes à ce qu’on appelle hiver. Car le réchauffement climatique anthropique a ceci de formidable qu’il se produit toujours, partout, quoi qu’il arrive.

    S’il est assez facile de maintenir l’opinion publique en alerte lorsqu’il fait chaud, c’est un peu plus compliqué lorsqu’elle grelotte. La série d’hivers rigoureux des années 2009 à 2012 a plongé les climatologues dans le désespoir, mais ils ont vite trouvé la parade sous la forme d’une nouvelle théorie connue sous le nom de « Warm Arctic, cold continent. » Comme le titrait Libération à l’époque, nous avons « des hivers plus froids parce qu’il fait plus chaud. » Il fallait y penser.

    Alors d’accord, il fait froid, mais ce n’est qu’une ruse du réchauffement climatique. N’ayons garde de l’oublier et continuons la lutte, camarades.

    https://leblogdenathaliemp.com/2017/01/22/edition-week-end-i-il-fait-froid/

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    1. Pourquoi en tant que 'scientifique ?' ne pas expliquer que TOUTE pollution est passagère et que les volcans polluent un millions de fois plus que les 7 milliards d'habitants et que si la pollution ne s'était pas recyclé... l'homme ne serait même pas apparu sur Terre !

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  42. Records dans les stations de ski de la Californie : la moyenne des chutes de neige en janvier multipliée par plus de trois


    Robert
    Ice Age Now
    sam., 21 jan. 2017 19:24 UTC


    La station de ski « Squaw Valley Alpine Meadows » au lac Tahoe, en Californie, a battue son record d'enneigement malgré ses 45 ans d'existence :

    Jusqu'à présent, la plus forte chute de neige était de 513 cm et datait de mars 2011. C'était jusqu'à ce mois de janvier où il est tombé 538 cm. C'est plus de 5 mètres.

    Jusqu'à présent, les chutes de neige de janvier ont été en moyenne de "seulement" 178 cm.

    « Nous avons officiellement battu le record de neige en un mois en 45 ans ! Le plus fort était 513cm en mars 2011.maintenant 538cm »

    https://fr.sott.net/article/29899-Records-dans-les-stations-de-ski-de-la-Californie-la-moyenne-des-chutes-de-neige-en-janvier-multipliee-par-plus-de-trois

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