- ENTREE de SECOURS -



vendredi 10 avril 2015

Le vent n’est pas écologique !

Par Michel Gay,
le 10 avril 2015 dans Environnement
.
Qui l’eut cru : la production d’électricité par les éoliennes n’a rien d’écologique !
.
Les éoliennes ne poussent pas sous le soleil en les arrosant. Ce moyen de production d’électricité dit « écologique » nécessite des matériaux ainsi que des travaux industriels et d’entretien. Il ne suffit pas juste de récupérer l’énergie produite… quand il y a du vent.
.
Une éolienne récente de puissance 2 mégawatts (MW) mesure environ 150 m de haut en bout de pale (environ 100 m pour le mât) et sa durée de vie est de 20 ans. Sa construction nécessite 425 mètres cubes (m3) de béton et 40 tonnes d’acier.
.
Le poids total des matériaux de construction atteint presque 1200 tonnes (1). Des « composites » entrent dans la fabrication des pales (3 fois 7 tonnes, soit 21 tonnes par hélice), des métaux (dont le cuivre) et des « terres rares » composent la nacelle et le générateur, ainsi que 300 à 400 litres d’huile de lubrification et de refroidissement.
.
En étant optimiste, son facteur de charge, en moyenne en France, est de 23% (temps de fonctionnement en équivalent pleine puissance), soit environ 2000 heures par an (2). Sur sa durée de vie, cette éolienne produira donc 80 gigawattheures (3) (GWh).
.
Or, la durée de vie d’un réacteur nucléaire EPR de 1650 MW est de 60 ans (minimum prévu). Sa construction nécessite 85.000 m3 de béton et 40.000 tonnes d’acier. Son facteur de charge prévu est de 85%, soit environ 7500 heures/an.
.
Pendant sa durée de fonctionnement, ce réacteur produira donc au minimum… 9000 fois plus que l’éolienne (742.500 GWh). En d’autres termes, il faudrait 9000 éoliennes de 2 MW pour produire autant d’électricité que l’EPR, mais de manière beaucoup plus erratique puisqu’il n’y a pas toujours du vent, et pas forcément corrélé avec le besoin.
.
Ainsi, chaque GWh produit par une éolienne de 2 MW nécessite environ 0,2 m3 de béton et 0,5 tonne d’acier tandis qu’un réacteur nucléaire de 1650 MW n’en nécessite respectivement que… 0,12 m3 (soit presque deux fois moins de béton) et 0,05 tonne (soit.. 10 fois moins d’acier) !
.
Qui a dit que produire de l’électricité avec du vent était écologique et minimisait l’impact sur la nature ?
.
-----------------------
.
1 - Rotor (moyeu et pales) 50 T, nacelle 90 T, mât 180 T, fondation 800 T http://eolienne.f4jr.org/aerogenerateur ?
2 - Un an = 8760 heures. ?
3 - 2 MW x 20 ans x 2000 h/an = 80.000 MWh = 80 gigawattheures (GWh). ?
.

17 commentaires:

  1. Lire aussi:
    Le Royaume Uni s'apprête à construire le plus grand parc éolien du monde

    http://www.express.be/sectors/fr/energy/le-royaume-uni-sapprete-a-construire-le-plus-grand-parc-eolien-du-monde/211485.htm

    http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html

    RépondreSupprimer
  2. Pourquoi le réchauffement climatique me laisse froid ( + commentaire*)

    Le Kergoat
    AgoraVox
    sam., 02 août 2014 07:27 CDT

    En science, comme en politique, rien n'est sacré ! Toutes les croyances doivent pouvoir être confrontées aux faits. Toutes les croyances doivent pouvoir être analysées critiquées et éventuellement rejetées ! Même si on est pas soit-même un expert super-diplômé, il n'est pas interdit de réfléchir à partir des faits et se forger une idée.

    Quand vous trouvez un squelette, vous n'avez pas besoin d'avoir fait médecine pour dire : « Tiens ! Il est mort ! »

    Le réchauffement climatique fait partie de ces croyances qui n'ont pas à être sacralisées et encore moins rendues obligatoires !

    Au même titre que nous devrions croire Big Bang (1), à la naissance de l'Homme en Afrique (2) ou à l'apport de la Civilisation Arabe à la Science Européenne (3) nous devrions parait-il ne pas douter du Réchauffement Climatique ! Cela sous peine d'être voué aux gémonies et insulté à chaque forum, à chaque tweet, à chaque détour de phrase.

    Or, une simple mise en lumière des données scientifiques prouvées, disponibles sur Internet, une petite réflexion de bon sens sur l'état de notre savoir permet de douter, au combien, de beaucoup de choses quand à ce réchauffement !

    A quoi devrions nous croire ?

    Le Réchauffement Climatique en bonne religion qu'il est possède sa propre trinité !

    Nous devrions croire en :
    Le Père : La Terre se réchauffe.
    Le Fils : Le réchauffement est dû au gaz carbonique, donc à l'Homme
    Le Saint Esprit : Le réchauffement est une catastrophe.
    Evidemment dans la Grande Bible du Réchauffement, certaines légendes s'ajoutent comme : la montée des océans est inéluctable ! Nous allons voir ce qu'il en est vraiment.

    Que disent les faits ?

    Les faits sont têtus. Et en matière scientifique, c'est au théoricien de se soumettre aux faits et pas l'inverse.

    La Terre se réchauffe-t-elle ?

    Je joins au présent article, la courbe des températures globales de surface extraite de wikipedia, de 1850 à 2013.

    La courbe montre plusieurs choses :
    Il n'y a pas de réchauffement continu entre 1850 et 2013 mais des fluctuations avec une nette augmentation qui explique le niveau élevé actuel, entre 1980 et 2000.
    La température a cessé d'augmenter et même décroit légèrement depuis l'an 2000, donc depuis à peu près 15 ans.
    Actuellement rien ne prouve que la température continue d'augmenter.
    - voir graphique sur site -

    Evolution du climat - Extrait de wikipedia (voir texte)

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  3. Commentaire : De plus il faut savoir que les relevés de températures ont été "arrangés" en mettant les sondes près d'endroits moins froids ou en supprimant les résultats qui dérangeaient. Des mails piratés avaient conformé la chose.

    Le gazcarbonique est-il responsable de tout cela ?

    Le moins qu'on puisse dire en lisant la courbe, c'est que ce n'est pas évident du tout ! En tout cas, il n'existe aucune corrélation évidente sur celle-ci entre le dégagement de gazcarbonique par les humains et la température moyenne de la Terre. Si une telle corrélation existait, on ne voit pas bien pourquoi la température descendrait assez nettement entre 1900 et 1910 ainsi qu'entre 1940 et 1950 ! Je ne sache pas que les dégagements de gazcarbonique aient diminué à ces périodes, ni quelques années avant si on veut tenir compte d'un effet d'inertie.

    Atmosphère, atmosphère, est-ce que le gazcarbonique a une gueule d'atmosphère ?

    On m'objectera pourtant que la paléontologie montre que les ères chaudes correspondent à des niveaux de gazcarbonique élevés dans l'atmosphère !

    C'est exact. Mais ça ne permet aucune conclusion. Le fait que deux événements apparaissent simultanément ne prouve nullement que l'un soit la cause de l'autre ! Sinon, nous devrions très rapidement nous débarrasser des lits qui sont dans nos maisons, car les statistiques sont formelles : la majorité des Français meurent dans leur lit !

    En réalité, par le passé, l'augmentation du gazcarbonique a été la conséquence des réchauffements et non leur cause ! Qui dit Terre plus chaude, dit plus de plantes dit plus de gazcarbonique. Les causes seraient davantage à chercher du côté du Soleil.

    Un réchauffement serait-il catastrophique ?

    La réponse est clairement non.

    L'Histoire nous le démontre. La Terre connut un réchauffement autour de l'an mil qui correspondit à une époque d'extension, au moins en Europe. C'est à ce moment que les Vikings conquièrent l'Islande, le Groenland et, c'est désormais prouvé par l'archéologie, atteignent l'Amérique. L'Europe Occidental connait la Renaissance Carolingienne et Byzance son âge d'Or.

    Et la géographie le prouve aussi. C'est une question de bon sens ! S'il fait froid, s'il gèle, moins de plantes poussent, l'élevage est plus difficile, la chasse plus hasardeuse, donc la survie plus compliquée que quand il fait chaud ! C'est peut-être pour cela qu'il y a plus d'habitants en Chine ou en Inde qu'en Sibérie !

    Un certain Vladimir Poutine l'avait fait remarquer, sarcastique, qui dit que « Quelques degrés de plus en Sibérie ne seraient pas une malédiction ».

    Le GIEC peut dire ce qu'il veut, la Sibérie, c'est pas terrible en hiver !

    Et pour finir, la bonne blague des océans qui remontent à toute allure.

    La fonte des glaces, provoquée par un réchauffement climatique qui reste à démontrer, ferait remonter les océans de façon catastrophique, parce que la glace qui fond, en provenance du Pôle Nord (Au Pôle Sud, on sait que la glace ne fond pas, ce détail a une importance nous allons voir pourquoi) amène de l'eau qui fait remonter le niveau des océans.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  4. Pour comprendre ce qu'il en est, pas besoin d'avoir fait Polytechnique ! Servez vous un verre d'eau, avec un glaçon dedans. Ça marche aussi avec un verre de whisky, mais la présence d'alcool fausse un peu le raisonnement. Restons sobre ! Servons nous un verre d'eau avec un glaçon, laissons fondre le glaçon et... nous constatons que le niveau de l'eau n'a pas monté !

    Celà est dû au fait que la glace est moins dense que l'eau liquide et à masse égal occupe un volume plus important. La partie du glaçon immergée, en fondant, libère donc de l'espace. Cet espace est disponible pour accueillir la partie du glaçon émergée qui a fondu ! Et au final, le niveau de l'eau reste inchangé.

    Les glaces du Pôle Nord sont des glaçons posés sur l'eau. Leur fonte ne peut pas faire monter le niveau des océans !

    Au Pôle Sud, les glaces sont sur la terre. Mais on sait que l'Antarctique ne fond pas.

    Quod erat demonstradum (Ce qu'il fallait démontrer), comme on dit dans Astérix !

    GIEC, fais moi peur !

    Face à tout cela que dit le GIEC, parce-que lui doit quand même justifier son existence. Il coûte cher, mais son site est étrangement très discret sur ce sujet !

    Le GIEC nous dit une simple chose : oui le réchauffement climatique est arrêté depuis 15 ans, amis quand il va redémarrer, ça va être terrible ! Ça valait bien une instance ONU avec 3 groupes de travail internationaux qui publient en 5 langues pour arriver à ça !

    Pour arriver à ça, car personne ne sait aujourd'hui modéliser correctement l'évolution du climat terrestre. Il y a trop de paramètres, nous ne connaissons pas la réalité des interactions entre ces paramètres.

    Alors, on nous dit dans des émissions très savantes que le GIEC a beaucoup de modèles (de simulation) qui corroborent ses dires... Oui, mais... 10 ânes ne vont plus vite qu'un cheval ! Si tous les modèles sont mauvais, on peut en produire autant qu'on veut, ça ne prouvera rien.

    Je citerai, pour finir, M. Paul Deheuvels du CNRS :

    « Les modèles sur lesquels s'appuient la plupart des conclusions des climatologues paraissent ajustés de manière assez sommaire, et sur des données, le plus souvent indisponibles. Leurs conclusions sont présentées par des organismes officiels, tel que le GIEC, comme vérité d'Evangile, sans que de telles affirmations soient systématiquement assises sur des vérifications statistiques crédibles. » extrait de « CNRS, Images des Maths »

    Notes :

    (1) A chaque émission scientifique ou prétendue telle de la télévision, de la radio, sur 99% des livres paraissant sur l'Histoire de l'Univers, cette fable nous est assenée comme une Vérité Absolue. Or, ce qui reste une hypothèse : le Big Bang, repose sur une ignorance phénoménale : on identifie que 4% de la matière de l'Univers, le reste on dit que c'est de la matière noire ou de l'énergie sombre ou je-ne-sais-quoi, donc ça veut dire qu'on ne sait pas du tout de quoi est composé 96% de l'Univers ! Être capable de retracer de manière certaine 15 milliards d'année d'Histoire d'un objet dont on ignore 96% de la composition, c'est un tour de force, avouons le ! Evidemment, il existe de nombreuses théories alternatives au Big Bang, mais elles n'ont pas droit de citer ! Non qu'elles soient mauvaises, elles ne sont pas pires que le Big Bang, mais elles vendent moins.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  5. (2) L'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence. Le fait que les fossiles humains les plus anciens proviennent actuellement de l'Afrique ne prouve pas qu'il n'y en ait pas de plus anciens ailleurs. D'ailleurs on nous a déjà raconté sur la naissance de l'Homme en Afrique, des belles histoires, qui se sont révélées après coup, i.e. après découvertes de nouveaux fossiles des fables fumeuses et vaseuses. Voyez l' « East Side Story » à ce propos ! Belle ânerie, du célèbre Yves Coppens, que les médias nous ont assenée comme une Vérité Absolue pendant des années !

    (3) Cette légende des Arabes qui aurait retransmis à l'Europe Occidentale entre autres le Savoir de l'Antiquité me fait à chaque fois bondir, comme elle fait bondir toutes celles et tous ceux qui connaissent un tant soit peu l'Histoire Byzantine. L'Empire Byzantin conserva intact dans sa capitale inviolée jusqu'en 1204 tout le savoir de l'Antiquité. Nous en avons la preuve entre autres par les écrits d'Anne Comnène qui vécut aux XIem et XIIem siècle. Les contacts entre Byzance et l'Europe Occidentale étaient nombreux. Via Byzance, l'Occident n'a jamais été coupé du Savoir Antique et donc n'a jamais eu besoin des Arabes pour le récupérer ! Même s'il se trouve que les Arabes ont accédé à ce savoir !

    http://fr.sott.net/article/22490-Pourquoi-le-rechauffement-climatique-me-laisse-froid-commentaire

    http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-pourquoi-le-rechauffement-climatique-me-laisse-froid-commentaire-124288200.html

    RépondreSupprimer
  6. Arabie Saoudite: une loi autorise les hommes à manger leurs femmes

    vendredi 10 avril 2015


    * Quels drames doivent vivre les femmes de cette dictature débile, amie et alliée de nos bons gouvernements... Qu'un pays et des dirigeants politiques cautionnent le cannibalisme, donnant le droit à l'homme de manger sa femme s'il a faim, c'est le pire acte de sauvagerie et c'est purement diabolique!
    Pour le grand Mufti, cet acte serait considéré comme une forme d'obéissance ultime de la femme à son époux.
    Le grand Mufti de l'Arabie Saoudite aurait publié un décret autorisant les hommes mariés à manger leurs femmes en cas de faim extrême, ont rapporté jeudi les médias arabes.
    Abdul Aziz Al-Shaykh aurait émis une fatwa (avis juridique sur la loi islamique, ndlr) qui permettrait aux maris affamés de pratiquer le cannibalisme.
    D'après l'édit, cet acte serait considéré comme une forme d'obéissance ultime de la femme à son époux.
    L'Arabie Saoudite qui reste un pays très conservateur aujourd'hui encore, n'autorise pas les femmes à conduire.
    La Charia reste la source principale de législation, imposant aux femmes le port du voile intégral, appelé aussi burqa.

    Source:
    http://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/67134-150409-arabie-saoudite-une-loi-autorise-les-hommes-a-manger-leurs-femmes

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/04/arabie-saoudite-une-loi-autorise-les.html

    RépondreSupprimer
  7. La décadence du journalisme scientifique


    Publié le 8 avril 2015
    par Benoît Rittaud

    On veut bien que, Le Monde voulant le sauver (le monde), il ait choisi d’enfourcher le cheval de bataille du carbocentrisme le moins nuancé et le plus militant. Mais lorsqu’il est question d’un autre type de science, on attendrait quand même une certaine tenue de la part du « journal de référence ». Las ! Le compte-rendu publié hier d’une étude sur l’importance du patrimoine dans la constitution des couples montre jusqu’à la caricature l’absence totale de culture scientifique chez ceux qui ont la charge de nous informer. Mes pensées vont à la victime principale de cet article du Monde, Nicolas Frémeaux, l’auteur de l’étude dont l’article prétend rendre compte. Pensez donc : à lire Le Monde, il semble que Frémeaux a redécouvert l’eau chaude en constatant au terme de recherches poussées que, le plus souvent, les gens riches se marient avec des gens riches. Apparemment, c’est une révélation pour le journal du soir, qui précise aussi que l’auteur de l’étude aurait obtenu l’équation que voici :

    RicheConjointj = a+r×ß1 RicheHéritieri+ß2 RicheTravailleur+?Xij+u.

    Ça en jette, hein ? Mais n’attendez pas que le journal de référence vous explique ce que recouvrent ces notations : en effet, une formule mathématique ne doit pas être expliquée, encore moins comprise, mais seulement énoncée. C’est, au sens propre, une formule magique.

    Je tiens pour à peu près certain que la journaliste n’a pas compris ce qu’elle écrivait. Lorsqu’on a un minimum de culture scientifique, on sait qu’une expression comme la précédente n’a aucun intérêt, et même aucun sens, si ses notations ne sont pas expliquées. Sans avoir vu l’équation de la publication originale, j’ai d’ailleurs tendance à penser qu’elle a été mal recopiée (vu de loin, le a et le u sont redondants et, surtout, la variable muette i n’apparaît que dans le membre de droite — je soupçonne l’oubli d’un signe somme).

    Au-delà du chercheur dont le travail est ainsi caricaturé, qui fait les frais d’une telle incompétence ? C’est hélas fort simple à deviner à la lecture des commentaires accompagnant l’article, et qui se partagent en trois catégories. La première, la plus rassurante, est celle de ceux qui se moquent, à juste titre, de la pauvreté de l’article. La seconde regroupe ceux qui croient pouvoir en tirer quelque chose (que ce soit pour approuver que les riches restent entre eux ou le déplorer). La troisième, la plus triste mais hélas la plus compréhensible, regroupe ceux qui s’indignent de l’indigence apparente du contenu de l’étude. « C’est quand même avec nos impôts, ne l’oublions par, que l’Université entretient des Diafoirus de ce genre, pour pondre des équations à la Einstein censées révéler à un aréopage ébahi ce que chacun sait depuis toujours », exprime l’un d’eux. Comment lui donner tort, si la journaliste elle-même est incapable de présenter ce qui peut faire l’originalité d’un travail de recherche ? La victime de l’article du Monde, c’est donc la science elle-même, qui se retrouve affaiblie un peu plus en perdant du soutien populaire.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  8. Une perte de soutien qui, pour cette fois, apparaît de loin comme injuste. Je n’ai pas lu l’article de Frémeaux, mais j’ai quand même un peu de mal à l’imaginer aussi mauvais que le suggère le compte-rendu du Monde. (J’imagine que son intérêt doit plutôt résider dans une quantification précise du phénomène considéré.) Si d’aventure il s’agissait effectivement d’un de ces trop nombreux papiers qui ne font qu’habiller vainement de statistiques des observations banales, alors Le Monde n’avait aucune raison sérieuse d’en parler (à part peut-être le plaisir de caser le mot « Cendrillon » ?), encore moins de l’encenser. Les splendeurs régulièrement découvertes par la science font 1) qu’il n’est nul besoin de s’attarder sur un résultat insignifiant 2) qu’il est fort dommage de dénaturer un travail de valeur en le réduisant à l’énoncé d’une évidence. Que ceux qui ont lu l’article de Frémeaux rayent la mention ici inutile.

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2015/04/08/la-decadence-du-journalisme-scientifique/#more-975

    RépondreSupprimer
  9. Piscine de monnaie de réserve BRICS 100 milliards $ pour apaiser les chocs mondiaux – Medvedev

    9 avril 2015 17:24


    BRIC, services bancaires, la Russie et l'économie mondiale
    La création de la piscine de monnaies de réserve BRICS d'une valeur de $ 100 milliards permettra aux États membres à compter moins sur des processus négatifs dans l'économie mondiale et contourner la volatilité des marchés, a déclaré le premier ministre russe Dmitry Medvedev.

    « Avec le lancement de la nouvelle banque de développement, c'est une des initiatives plus importantes pour les pays entrant dans cette association. L'accord portant création d'un pool de monnaies de réserve a été signé l'été dernier, » dit Medvedev lors d'une réunion du gouvernement jeudi.
    La Russie accorde $ 18 milliards. Chacun des membres du BRIC peut demander à toute partie au traité, pour prêt" Medvedev a déclaré, en ajoutant que les décisions clées seront prises par le Conseil des gouverneurs, qui comprend les ministres des finances et gouverneurs des banques centrales. La Russie sera représentée par le chef de la Banque centrale de Russie Elvira Nabiullina.

    J'espère qu'il [l'accord sur la création de la piscine – éd.] va non seulement renforcer notre coopération économique, mais aussi fournir aux participants de l'indépendance « cinq » plus de la situation financière internationale et les problèmes existant dans les institutions financières internationales, « dit-il, ajoutant que c'est une des initiatives pratiques plus importantes des BRICS.
    La Commission gouvernementale sur les activités législatives a approuvé mercredi le projet de loi portant ratification de l'accord portant création du pool de monnaies de réserve des BRICS. La ratification de cet accord aidera la Russie appuyer sa stratégie de coopération monétaire, notamment dans le développement de relations privilégiées avec ses partenaires du BRIC, a déclaré le gouvernement russe.

    Le 15 juillet 2014 les pays membres a signé un accord pour mettre en place la Banque de développement nouvelle $ 100 milliards BRIC et d'une piscine de monnaie de réserve vaut un autre $ 100 milliards. La Banque est un rival aux systèmes financiers de l'Ouest et est censée contrer leur influence sur l'économie mondiale.

    BRIC est une association informelle entre États du Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud avec une population totale de 2,83 milliards de personnes (42 % de la population mondiale). Pays du groupe BRICS occupent 26 % du global zone avec leur PIB total est de $ 15,435 billions, qui est de 14,6 % du PIB mondial.

    http://rt.com/business/248249-brics-bank-currency-pool/

    RépondreSupprimer
  10. Pourquoi élisons-nous des idiots

    Sputnik
    mer., 08 avr. 2015 16:49 UTC

    Le journal Guardian tente d'expliquer pourquoi l'on continue à voter pour des personnes dont les capacités intellectuelles suscitent souvent de sérieux doutes.

    Le quotidien britannique dresse un triste constat: un candidat intelligent est contraint de faire semblant d'être bête afin de réussir dans l'arène politique.

    "Tous les hommes politiques ne sont pas des idiots, mais nombre d'entre eux le sont", écrit le journal.

    Pour expliquer ce revers de la démocratie occidentale, le Guardian s'adresse à la psychologie. En vertu du dénommé effet de Dunning-Kruger, les personnes les moins intelligentes surestiment leurs compétences tandis que les plus intelligentes ont généralement tendance à les sous-estimer. Ainsi, être moins compétent rend plus confiant, et donc plus convaincant.

    D'autre part, les électeurs préfèrent ceux qui sont en mesure de leur expliquer des problèmes compliqués de manière simpliste, même si la solution est à peine envisagée. Selon la "loi de la futilité" de Parkinson, toute communauté a tendance à attacher une importance disproportionnée à des questions insignifiantes mais plus accessibles au grand public. Aussi, pour être convaincant, il faut savoir condenser des choses compliquées de façon simple, bien que souvent fausse, conclut le journal.

    Et même lorsqu'on est intelligent et cultivé, mieux vaut feindre de ne pas l'être pour réussir en politique. Il faut donc savoir se faire passer pour "un homme du peuple", comme le faisait autrefois George W. Bush qui expliquait qu'il fallait que l'électeur ait "l'impression de pouvoir aller boire une bière avec lui".

    Le Guardian indique en outre que la majorité des gens, électeurs compris, sont sensibles aux stéréotypes et aux clichés, et donnent la préférence à des groupes sociaux dont ils se considèrent proches. De ce fait, les candidats moins intelligents qui jouent sur des phobies des électeurs et nient des évidences gênantes ont plus de chances de réussir que ceux qui évoquent des faits "indésirables".

    "C'est vraiment une situation malchanceuse, mais telle est la façon dont notre conscience fonctionne", conclut le journal.

    http://fr.sott.net/article/25265-Pourquoi-elisons-nous-des-idiots

    RépondreSupprimer
  11. Folie de Harper : Le Canada perd $ 30 milliards par an sur le pétrole des sables bitumineux


    Soumis par Argent Sprott
    le 10/04/2015 04:58-0400

    ...Écrit par Jeff Nielson


    L'huile est notre produit plus précieux comme combustible pour l'économie mondiale. Il est également devenu une denrée rare, car la production mondiale a aplani, tandis que la demande mondiale continue de grimper sans relâche, partout dans le monde sauf pour les mourantes économies d'Europe et d'Amérique du Nord. C'est un classique « marché vendeur. »

    Puis nous avons le Canada. Sous le régime de Harper ; Le Canada a rapidement/témérairement rampe-vers le haut la production de pétrole de sables bitumineux (en lice avec la production d'huile de schiste américaine pour le titre « huile de plus sale du monde »). En moins de 20 ans ; la production des sables bitumineux a augmenté d'un facteur de dix, de moins de 200 000 barils par jour à plus de 2 millions de barils par jour (mb/j) en 2014. Cela revient à la production des sables bitumineux annuelle d'environ 750 millions de barils.

    Grâce à cette surproduction téméraire ; Production de pétrole des sables bitumineux canadiens a créé trois ultra-expensive/ultra-inefficient goulets d'étranglement pour lui-même :

    a) une insuffisante capacité de raffinage

    b) infrastructure insuffisante expédition/pipeline

    c) manque main-d'œuvre qualifiée

    En raison de (a) et (b) ; Pétrole de sables bitumineux du Canada a été vendu au « rabais » de jusqu'à 40 dollars le baril. En raison de (c) et d'autres facteurs ; les coûts de production de pétrole des sables bitumineux (qui était déjà le monde de plus cher) continuent de s'envoler.

    Légions de travailleurs doivent être à bord, logé et nourri, en ajoutant aux coûts. Pour travail, la concurrence est si féroce que certaines entreprises désormais subventionnent les versements hypothécaires sur $ 600 000 maisons pour inciter les travailleurs à rester dans les parages.

    La combinaison d'une main-d'oeuvre grossièrement insuffisante et infrastructure manifestement insuffisante pour soutenir cette production, c'est que bien qu'il soit « le plus bas prix pétrole au monde », négocient actuellement à un pathétique de 36,02 $ par baril, c'est le pétrole plus cher au monde à produire.

    J'ain une étude récente, CERI [Canadian Energy Research Institute] a mis le prix couvrant les coûts de West Texas Intermediate (WTI) pour un projet de sables vapeur à 84,99 $ le baril...Pour une nouvelle mine c'est $105,54.

    Grâce à la réduction de Harper ; huile des sables bitumineux est actuellement 'vendu' (c'est-à-dire vu de loin) à une perte de près de 50 $/ baril pour producteurs existants (et bien plus encore pour les nouveaux producteurs). Avec une production annuelle totale de 750 millions de barils ; C'est une perte annuelle sur les sables bitumineux huile production de plus de $ 30 milliards.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Dont les revenus représentent maintenant moins de la moitié des coûts d'exploitation; tout gouvernement sensé chercherait pour échelle-dos production (sinon il mothball entièrement), mais pas le régime de Harper. Selon le Financial Post :

    Un total de 14 nouveaux projets de sables bitumineux sont programmés pour démarrer l'année prochaine [2015] avec une capacité totale de 266 240 barils par jour, selon les données publiées par l'examen des sables bitumineux. C'est 36 pour cent plus qu'a été lancé en 2014.

    Qui se chiffre à 97 millions barils supplémentaires par an et aux prix courants, il augmenterait les pertes annuelles sur la production des sables bitumineux par un $ 4 milliards/an. Heureusement, tous ces projets ne verront jamais une start-up. Comme la conscience de ce gâchis catastrophique, financières commencent à définir les producteurs de pétrole eux-mêmes commencent à renflouement.

    Après des années de faux départs, Goffart [Directeur général de Total SA] a confirmé les soupçons...Mine de Joslyn $ 11 milliards de la société a été étant abandonné indéfiniment, il a dit...

    En annulant Joslyn, conçu pour produire 100 000 barils par jour des dix prochaines années, Goffart a souligné pourquoi se tordant le pétrole des sables bitumineux de l'Alberta est, par la prise en compte de Total, devient plus difficile de justifier...(Il suffit de demander Statoil norvégienne – il a décidé en septembre de reporter son entreprise de sables bitumineux de coin, blâmant les coûts élevés et des retards de construction de pipelines de plusieurs milliards de dollars).

    L'extrait précédent illustre plus que le suicide financier de tout nouvel investissement dans le pétrole de sables bitumineux ; elle démontre le manque de bonne foi du régime Harper, notamment de Stephen Harper lui-même. Comme a été observée dans les commentaires précédents ; Il n'y a aucun moyen possible que cette catastrophe économique (et environnementale) pourrait être simplement un « accident » d'incompétence flagrante.

    Il s'agissait d'une trahison délibérée par le gouvernement Harper (c'est-à-dire un acte de trahison économique). Comme déjà indiqué ; la raison pour le courant, $ 30 milliards par la perte de l'année sur la production des sables bitumineux est directement attribuable à trois "goulets d'étranglement". Mais les lecteurs doivent garder à l'esprit que tout gouvernement devrait se poser trois questions avant qu'il a commencé à rapidement montée en puissance de production de cette huile ultra sale :

    1) où le pétrole sera affiné ?

    2) comment il est expédié ?

    3) qui fournira la main-d'œuvre pour produire cette huile ?

    Quand une administration a réalisé qu'elle n'avait pas de réponses à n'importe quel de ces trois questions ; tout gouvernement légitime placerait un moratoire immédiat sur le développement ultérieur, jusqu'à ce qu'elle n'a pas ces réponses. Même si l'on considère Harper donc personnellement incompétent quant à ne pas se poser ces questions ; Il a des conseillers – beaucoup d'entre eux.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  13. Il n'est pas à distance plausible pour Stephen Harper de faire semblant qu'il ne savait pas que témérairement augmentant sortie de sables bitumineux sans n'importe quel plan (viable) à tout pour éliminer les goulets d'étranglement évidents trois, se traduirait par la remise de Harper : parvenant à perdre une quantité d'argent en vendant un produit dans un marché vendeur catastrophique.

    Si nous analysons les intention de Harper sous l'angle de ses actes et les résultats de ces actions ; Il n'y a qu'une seule conclusion, nous pouvons atteindre. Stephen Harper est de s'efforcer (et réussir) :

    i) gaspiller cette ressource précieuse, non renouvelable comme possible, humainement parlant vite

    II) donner tout ce pétrole au plus bas, de prix possible (c'est-à-dire maximiser la perte économique pour la population du Canada).

    Mais cela laisse encore un, reste la question : pourquoi a Stephen Harper choisi de s'engager dans la trahison économique ? La réponse à cette question est la même réponse qui s'applique à la plupart des motifs pour les actions de Harper : pour servir son maître américain.

    Où est la quasi-totalité du « plus bas prix pétrole dans le monde » "vendue" (c'est-à-dire donné loin) ? Aux États-Unis. Qui est le bénéficiaire de l'escompte de Harper et le $ 30 milliards par année des pertes pour l'économie canadienne ? Aux États-Unis.

    Cependant, il y a encore une pièce de puzzle restante à mettre en place ; afin de relativiser la remise de Harper (et de la trahison de Harper) appropriée. Américains, la consommation d'énergie a chuté brusquement ; pour quel but est les États-Unis à l'aide de toute cette huile canadienne fortement réduits ? Réponse : dans le secteur de huile de schiste des carburants aux Etats-Unis (énergivore).

    Alors que le pétrole de sables bitumineux du Canada est maintenant produit à 85 $/ baril pour producteurs existants (et 105 dollars le baril pour les nouveaux producteurs), production de schiste américaine qui est au moins aussi difficile et technologiquement difficile à extraire est produite pour entre $60 – 80 $ par baril, selon l'Agence internationale de l'énergie.

    Alors comment/pourquoi des producteurs de schiste américains peuvent-ils multiplier leur huile pour un coût d'environ 25 % de moins par baril ? L'escompte de Harper. Avec Stephen Harper donner du pétrole aux prix de jusqu'à 40 dollars/baril inférieur à tout autre producteur dans le monde ; Le Harper Discount subventionne les États-Unis schiste-industrie pétrolière par quelque part autour de $ 25 milliards par an.

    Sans cet apport énorme de pétrole canadien ultra-bon marché ; On peut dire que le secteur d'huile de schiste US jamais était viable (même au prix précédents) les niveaux de production de plus qu'une infime fraction de la production actuelle. Sans doute, Harper reçoit une « carte de Noël » chaque année de producteurs d'huile de schiste américains et (bien entendu) Barack Obama.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  14. En encapsulant la trahison de Harper de la population du Canada, il serait négligent de ne pas inclure la dévastation environnementale et économique spécifique, que son insouciance surproduction de pétrole des sables bitumineux a eu sur la province de l'Alberta – la province maison (ancien) de Harper, lui-même. La production des sables bitumineux viole l'environnement de l'Alberta, de multiples façons (ne pas comprenant les dommages globaux de ses émissions massives de "gaz à effet de serre"). Mais Harper est également responsable d'une catastrophe économique imminente dans les communautés de sables bitumineux, dont les économies locales ont été incroyablement gonflés par cette surproduction téméraire.

    Tiré d'un article intitulé "sang dans les sables bitumineux : dents de scie en Alberta », nous voyons ce sombre tableau économique émergent :

    À Fort McMurray, la ville de 76 000 hab. au centre des plus grands gisements de pétrole du Canada, les ventes de logements sont plongés de 66 % en février et sont en baisse de 30 % dans les deux premiers mois de l'année, la Chambre immobilière locale rapporte. Seulement 48 maisons vendues le mois dernier et la vacance de location a taux a dopé à 12 %, le plus élevé en Alberta...

    Le prix moyen d'une maison composite à Fort McMurray reste près de 597 600 $ – le plus élevé en Alberta...

    Quand Barack Obama a proclamé que le gouvernement américain manipulait huile prix plus bas, dans le « cadre de sa stratégie » de terrorisme économique contre la Russie, il était clair qu'il ne pouvait pas se soucier moins quelle sorte de « dommages collatéraux », il fit pour les économies de nombreux pétroliers (supposés) alliés de la U.S. – comme le Canada.

    Quand Stephen Harper fut donné ses ordres à la montée en goudron sables production comme vite que possible et à donner que du pétrole (aux États-Unis) au prix le plus bas, possible ; il était clair, qu'il a également été totalement sans se soucier des dommages collatéraux qui causerait à l'action. La différence est que tout le mal de trahison économique Harper ont été infligé (délibérément) à son propre peuple.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-04-09/harper%E2%80%99s-folly-canada-losing-30-billionyear-tar-sands-oil

    RépondreSupprimer
  15. Voilà ce qui se produit sur le cours de vos actions lorsque votre société annonce qu'elle vient de trouver 100 milliards de barils de pétrole


    par Audrey Duperron
    10 avr. 2015

    Les actionnaires de la petite compagnie pétrolière britannique Oil & Gas UK Investments PLC (UKOG) ont assisté à l’envol de près de 200% du cours de l'action de la compagnie jeudi, peu après que le CEO de cette société a révélé que des sondages réalisés dans l’un des terrains qu’elle prospecte, situé près de l'aéroport de Gatwick, indiquaient la présence d’une grande nappe de pétrole dans le sous-sol.
    Le gisement de Horse Hill, situé dans le Sud de l’Angleterre, contiendrait ainsi l’équivalent de près de 100 milliards de barils de pétrole, plus du double de la production de la mer du Nord en 40 ans d’exploitation (45 millions de barils). Même si l’on ne peut pomper qu’une fraction de ce pétrole, cette découverte reste phénoménale:
    « Nous pensons que nous avons réalisé une découverte très importante, probablement la plus grande découverte des 30 dernières années », a déclaré le CEO d’UKOG, Stephen Sanderson à la BBC.
    Le pétrole en question devrait être facilement extractible, et il ne nécessiterait pas de mettre en œuvre la méthode controversée de la fracturation hydraulique.
    UKOG est une petite société dans le secteur, avec une valeur de marché d'environ 20 millions d'euros. Ce jour-là, le cours de ses actions a gagné 169% à la clôture de la bourse britannique.

    http://www.express.be/business/fr/economy/voila-ce-qui-se-produit-sur-le-cours-de-vos-actions-lorsque-votre-societe-annonce-quelle-vient-de-trouver-100-milliards-de-barils-de-ptrole/212622.htm

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme il existe des vieilles nappes de pétrole abiotique qui se reremplissent, il existe aussi de 'nouvelles' poches qui montent en pression suffisante pour être rentablement pompées. Et, c'est aussi grâce aux mesures scalaires par satellites que s'établissent les surfaces/volumes/profondeurs et qualités de l'or noir en sous-sols.

      Supprimer

  16. http://www.veteranstoday.com/2015/04/10/your-radiation-this-week-2/

    RépondreSupprimer