- ENTREE de SECOURS -



vendredi 17 octobre 2014

Ces hauts fonctionnaires, en vrais parasites de la société

Alexis Constant
Contrepoints
jeu., 16 oct. 2014 06:30 CEST
.
Ils trustent tous les postes clés de l'État et, spécificité française, produisent des hommes politiques qui, formatés par ce système, renoncent à le réformer quand ils sont élus.
.
Comme disait Clemenceau, « les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque : ce sont les plus haut placés qui servent le moins ». Combien sont-ils, ces bouquins inutiles ? Difficile de le savoir. Selon les dernières statistiques de l'INSEE, la France comptait plus de 5,5 millions de fonctionnaires fin 2012.
.
Dans ce sérail, qui représente près de 22 % de la population active, les hauts fonctionnaires occupent quelques milliers de postes, dont environ 5 000 pour les anciens de l'ENA. Corps de direction des administrations, corps préfectoral, corps diplomatique, corps des magistrats, corps techniques de l'État, corps d'inspection générale, corps supérieurs de l'éducation et de la recherche... Ils trustent tous les postes clés de l'État et, spécificité française, produisent des hommes politiques qui, formatés par ce système, renoncent à le réformer quand ils sont élus.
.
Selon le journaliste Yvan Stefanovitch qui a consacré un livre au haut clergé administratif, on recense environ 15 000 hauts fonctionnaires en France, pour la plupart formés par l'ENA, Polytechnique ou l'École normale supérieure. Au sein de cette caste, domine une aristocratie de 400 à 500 personnes que l'on trouve à l'Élysée, à Matignon, dans les grands ministères et à la tête des principales entreprises publiques. Outre la fonction publique d'État, ces privilégiés de la République pullulent dans la fonction publique territoriale dont les effectifs ne cessent d'enfler (+ 1,6 % en 2012) mais aussi dans la fonction publique hospitalière (+ 0,7 % en 2012). Une fois en place, ni l'incurie, la paresse voire l'incapacité, ne permettent de se débarrasser de ces indé­boulonnables recrutés sur concours, pouvant travailler à leur guise (même si, reconnaissons-le, beaucoup d'entre eux sont extrêmement compétents et ne rechignent pas à la besogne), et libres de se lancer dans des aventures politiques avec une position de repli assurée.
.
Sauf cas rarissimes, les hauts fonctionnaires resteront à la charge des contribuables durant leurs 42 années de carrière, 21 ans de retraite plus, en moyenne, 10 ans de pension de réversion.
.
656 fonctionnaires gagnent plus que le chef de l'État
.
Si le coût d'un rond-de-cuir gagnant 2 200 euros nets par mois peut être évalué à près de 50 000 euros par an, charges comprises, l'addition s'envole quand il s'agit des fonctionnaires de catégorie A. Le « canard est trop gras ». Voici quelques mois, Sébastien Denaja, député socialiste de l'Hérault, a proposé de baisser les salaires de ces grands commis de l'État pour réduire la dépense publique.
.
Le député PS pointait notamment du doigt Nicolas Dufourcq, énarque et ancien inspecteur des finances, aujourd'hui directeur de la Banque publique d'investissement (BPI), dont le salaire s'élève à 450 000 euros bruts annuels, 37 500 euros bruts par mois ! Le patron de la BPI n'est pas le seul canard à se gaver au sein de la basse-cour publique. Si, à leur arrivée au pouvoir, le Président « normal » et son Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, ont baissé leur salaire de 30 %, les hauts fonctionnaires n'ont pas eu à faire les mêmes efforts. Avec chacun un salaire de 14 910 euros bruts par mois (12 696 euros nets), les numéros 1 et 2 de l'exécutif se situent au 657e rang des rémunérations de l'État. Ils sont supplantés par une tribu de hauts fonctionnaires, plus de 600 personnes, employés pour une bonne part par le ministère des Affaires étrangères et celui des Finances. « Dans les capitales les plus prestigieuses, les rémunérations des ambassadeurs peuvent frôler 38 000 euros par mois et environ 120 sur 157 gagnent plus de 18 000 euros mensuels », souligne Yvan Stefanovitch.
.
Après les diplomates, les attachés de défense (des militaires faisant partie d'une mission diplomatique) sont les plus gâtés par l'État avec une moyenne de 15 000 euros pour un lieutenant-colonel et de 30 000 euros pour un général. Avec ceux du Quai d'Orsay, ce sont les hauts fonctionnaires de Bercy qui piochent le plus dans les fonds publics. Les instances financières regroupent 193 des 219 fonctionnaires les mieux payés de France. Au sommet de cette pyramide, on trouve d'abord les administrateurs généraux des finances publiques. Ils exercent notamment en tant que directeurs départementaux des finances publiques (les anciens tréso­riers-payeurs généraux, TPG, dont le nom et le statut ont été réformés en 2009, lors de la fusion entre les Impôts et le Trésor public).
.
Leur patron, Bruno Parent, le directeur général des finances publiques, est à la tête de 115 000 agents. Il percevrait 20 000 euros bruts par mois. On emploie le conditionnel tant les hauts fonctionnaires de Bercy ont su organiser (au grand dam de leurs ministres de tutelle qui auraient aimé y mettre leur nez) l'opacité autour de leurs revenus. Selon un rapport de la Cour des comptes de 2008 cité par l'hebdomadaire Challenges, plus d'une cinquantaine de TPG (Hauts-de-Seine, Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Lille...) gagnaient entre 15 000 et 20 000 euros nets par mois, grâce notamment à une part variable fonction du montant des transactions financières gérées.
.
Un mode de rémunération qui n'est pas sans rappeler celui des fermiers généraux du XVIIIe siècle, qui, jusqu'en 1791, gagnaient des fortunes extravagantes sur le dos des Français. Antoine Laurent de Lavoisier, le plus célèbre d'entre eux, eut d'ailleurs à subir les affres de la guillotine. Au Sénat, on s'en sort aussi très bien. Par exemple, les deux secrétaires généraux de la Présidence et de la Questure gagnent plus de 20 000 euros nets par mois (contre environ 15 000 euros pour leurs homologues de l'Assemblée), et les 14 directeurs de services encaissent autour de 15 000 euros mensuels. Autre oasis financière : selon le rapport 2010 des députés Christian Vanneste (UMP) et René Dosière (apparenté PS), les autorités administratives indépendantes offrent également de belles opportunités. Bien qu'il ait vu sa rémunération réduite en 2011, le président de l'Autorité des marchés financiers, par exemple, est rémunéré à hauteur de 19 658 euros bruts par mois. Il est suivi par les présidents de la Haute Autorité de santé, avec 17 178 euros mensuels, de la Commission de régulation de l'énergie (16 017 euros), du Conseil Supérieur de l'audiovisuel (15 413 euros, avantages en nature compris)...
.
En matière de privilèges financiers, la culture n'est pas en reste. Ainsi, Stéphane Lissner, qui vient de prendre la direction de l'Opéra national de Paris, toucherait, selon Mediapart, 30 000 euros par mois (hors primes). Marylise Lebranchu, la ministre de la Fonction publique, avait pourtant annoncé en avril dernier que les fonctionnaires encaissant plus de 9 940 euros bruts par mois manifesteraient un « geste de solidarité » avec le reste de la population. Ladite population attend toujours...
.
Dans les placards dorés de la République
.
Trop nombreux, trop chers, trop puissants, trop gâtés, les hauts fonctionnaires jouissent d'un job à vie, même s'ils ne servent plus à rien. Des centaines d'entre eux seraient payés à plier des trombones, notamment ceux qui ont pu bénéficier du « tour extérieur » qui permet au président de la République et au Premier ministre de nommer à vie leurs chouchous dans différentes institutions (Finances, Affaires sociales, Éducation nationale...). Des placards dorés servent aussi à recycler des fonctionnaires en fin de carrière. Le Conseil général de l'environnement et du développement durable, le Contrôle général économique et financier et l'Inspection des finances seraient les aires de repos les plus fréquentées par ces pistonnés de la République.
.
Au total, ce sont plus de 1 600 hauts fonctionnaires qui regarderaient l'herbe pousser aux frais des contribuables. S'ils gagnent jusqu'à trois fois plus d'argent que le chef de l'État, les hauts fonctionnaires sont également choyés lorsqu'ils entendent partir en préretraite. Alors que l'État a tout fait pour restreindre l'accès aux préretraites dans le privé, la fonction publique sait y recourir lorsqu'il s'agit de choyer son gratin. Ce fut notamment le cas au Quai d'Orsay entre 2011 et 2013, où, selon Le Monde, certains cadres sup âgés de 58 à 62 ans ont pu quitter l'administration après avoir encaissé jusqu'à 100 000 euros de prime. Et tout en conservant une partie de leur rémunération, « jusqu'à 4 500 ou 5 000 euros par mois pendant trois ans au maximum », selon le ministère des Affaires étrangères.
.
On a d'ailleurs vu le haut fonctionnaire et ci-devant Premier ministre Dominique de Villepin revenir « travailler » une journée au Quai d'Orsay, du 30 septembre au 1er octobre 2013, après 20 ans d'absence de son ministère de rattachement, pour toucher une « indemnité exceptionnelle de départ » de 88 787,72 euros. À quoi s'ajoutaient son traitement mensuel de 6 111,99 euros bruts (donc bien au-delà du plafond officiel) et une « indemnité exceptionnelle » de 4 493,94 euros, rému­nérations qu'il aurait touchées jusqu'en mars 2014, selon Marianne.
.
Même cas de figure dans la fonction publique hospitalière, où le congé spécial a longtemps permis aux directeurs d'hôpitaux sans affectation d'être rémunérés jusqu'à l'âge de la retraite (à concurrence de cinq ans maximum). Depuis 2008, un système plus restrictif a été mis en place. Limitée à deux ans, la période d'indemnisation permet toutefois aux cadres dirigeants de la fonction hospitalière de conserver une partie de leurs primes !
.
Les membres de la caste se reproduisent entre eux
.
Après la préretraite, la retraite : pour maintenir le moral des troupes, l'État a décidé, en 2013, de prolonger d'un an la possibilité de déduire les cotisations versées au titre du rachat d'années non cotisées à la Préfon, le régime de retraite complémentaire par capitalisation des ronds-de-cuir. Concrètement, cette disposition leur permet de déduire deux années de rachat de cotisations de l'assiette de leur revenu imposable. Déjà bardés d'avantages statutaires, les hauts fonctionnaires peuvent ainsi déduire jusqu'à deux fois 6 703,20 euros (classe la plus haute de cotisations) soit 13 406 euros et même 26 812 euros si le conjoint (affilié avant 2005) est associé à cette opération.
.
Alors que les salariés du privé sont mis au pain sec et à l'eau, le gouvernement a présenté ce cadeau fiscal comme le moyen « de garantir l'équilibre et la justice de notre système de retraites ». De qui se moque-ton ? Sociologiquement, les hauts fonctionnaires constituent une caste endogamique qui s'auto-reproduit. « Prenez l'exemple de François Hollande. On a, là, la caricature du politique qui est avec une journaliste, une énarque puis une comédienne, (...) en raccourci (...), on lit tout le corps social... », raille le sociologue Michel Maffesoli. Si elle touche toutes les « élites », cette auto-reproduction concerne d'abord les hauts fonctionnaires : une étude de 2013 portant sur 600 anciens élèves de l'Institut national des études territoriales (INET) révèle notamment que 67 des reçus sont passés par un Institut d'études politiques (IEP), où les rejetons de catégories socioprofessionnelles supérieures (haut fonctionnaires inclus) sont sur-représentés. Ce qui vaut pour l'INET vaut également pour Polytechnique et l'ENA dont les membres partagent un langage, une méthode et une façon d'être qui les rend identifiables pour qui est sorti du même moule. Seule petite différence entre les lauréats des grandes écoles qui forment environ 5 % d'une génération : leur mentalité. Dans une note consacrée à la psychologie des directeurs des grandes administrations, Marie-Christine Kessler, directrice de recherche au CNRS, note que si Polytechnique soude réellement ses élèves, l'ENA ne crée pas un sentiment de fraternité collective.
.
À voir la pétaudière qui règne dans certains ministères, on ne peut que se rallier à cette thèse !
.

4 commentaires:


  1. Merci à l'incompétence d'Obama, le virus Ebola est maintenant hors de contrôle en Amérique


    Par Michael Snyder,
    le 15 Octobre 2014



    Une grande partie de la responsabilité de la crise de l'Ébola que les Etats-Unis est aujourd'hui confrontée peut être posé carrément les pieds de Barack Obama. Si Obama avait interdit tout voyage en avion non-essentiel entre les Etats-Unis et l'Afrique de l'Ouest, Thomas Eric Duncan n'aurait jamais obtenu sur un plan pour ce pays en premier lieu. Et si Obama avait ordonné la CDC pour obtenir tout le personnel de l'hôpital en Amérique une formation de base sur le virus Ebola, nous ne pourrions pas avoir deux infirmières infectées à ce stade. Mais au lieu, cette épidémie d'Ebola en Amérique est maintenant officiellement hors de contrôle. Le fait que l'une des infirmières malades obtenu dans un avion alors qu'elle se sentait fébrile dépasse l'entendement, et cela crée une énorme quantité de la peur dans toute la nation. Déjà, un voyageur s'est présenté à l'aéroport Dulles dans un costume de matières dangereuses complet. La Maison Blanche a annoncé que Barack Obama a annulé un voyage de collecte de fonds et sera la tenue d'une "réunion d'urgence" sur le virus Ebola. J'espère qu'il peut commencer à avoir une idée sur ce qui se passe avant qu'il ne soit trop tard.

    Nouvelles qu'un deuxième infirmière qui s'occupait de Thomas Eric Duncan a envoyé des ondes de choc Ebola dans tout le pays. Apparemment, ceux qui s'occupent de lui ne portaient pas de combinaisons de matières dangereuses pour les deux premiers jours . C'est une telle erreur monstrueuse qu'il est difficile à mettre en mots.

    Ce qui a rendu les choses encore pire, c'est que ce deuxième infirmière a décidé de prendre l'avion , même après qu'elle ait commencé présentant des symptômes ...

    Le CDC a annoncé que le deuxième travailleur de la santé diagnostiqué par le virus Ebola - maintenant identifiée comme Ambre Joy Vinson de Dallas - voyagé par avion le 13 octobre, avec un peu de fièvre, un jour avant elle est arrivée à l'hôpital présentant des symptômes.

    La CDC est maintenant tendre la main à tous les passagers qui ont volé sur Frontier Airlines vol 1143 de Cleveland à Dallas / Fort Worth. L'avion a atterri à 20h16 CT.

    Tous les 132 passagers du vol sont invités à composer le 1 800-CDC INFO (1 800 232-4636). Professionnels de la santé publique vont commencer interroger les passagers sur le vol mercredi après-midi.
    Si elle a été présente des symptômes, ce qui signifie qu'elle était contagieuse .

    N'est-ce pas ce que nous avons dit tout au long ?

    Mais Thomas Frieden directeur du CDC, qui, comme Barack Obama aurait été une fois "organisateur de communauté», explique que le risque pour les autres passagers de ce vol était "très faible" ...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  2. Directeur du CDC Thomas Frieden a dit qu'elle avait violé les lignes directrices des CDC contre toute personne utilisant les transports en commun tout en subissant l'auto-surveillance de l'exposition aux virus Ebola. A déclaré Luc Frieden Vinson n'a pas déclaré que sa température a augmenté d'une petite quantité, à 99,5 degrés, avant qu'elle ne quitte pour Dallas. Il a dit que son risque pour les autres passagers était "très faible".
    Comment dans le monde peut-il dire que, avec un visage impassible?

    Elle montrait des symptômes.

    Elle était contagieuse.

    N'importe qui sur ce vol peut maintenant avoir Ebola.

    Et nous ne pourrions pas savoir qui l'a depuis un certain temps. Selon le CDC, la période d'incubation du virus Ebola peut être jusqu'à 21 jours ...

    La période d'incubation, lors d'une exposition à des signes ou des symptômes apparaissent, pour Ebola varie de 2 à 21 jours (le plus souvent de 8 à 10 jours). Les premiers symptômes comprennent la fièvre, des frissons et des douleurs musculaires. Autour du cinquième jour, une éruption cutanée peut se produire. Nausées, vomissements, douleurs thoraciques, maux de gorge, des douleurs abdominales et de la diarrhée peuvent suivre.
    Mais cette information pourrait même ne pas être exacte.

    Un rapport de l'OMS qui vient de sortir dit que le virus Ebola peut avoir une période d'incubation de 42 jours .

    Donc plusieurs semaines, nous pourraient avoir des cas d'Ebola fleurissent un peu partout au pays.

    Nous ne savons tout simplement pas.

    Et ce qui rend tout cela encore pire, c'est le fait que le plan de ce qui s'est passé sur le maintien à utiliser pour cinq vols après la garde-malade est descendu ...

    Le Frontier Airlines jet qui a effectué un travailleur de la santé Dallas diagnostiqué avec le virus Ebola a fait cinq vols supplémentaires après son voyage avant qu'il ne soit mis hors service, selon un site de vol de surveillance.

    Basée à Denver, Frontier a déclaré dans un communiqué qu'il la terre l'avion immédiatement après que le transporteur a été informé mardi soir par les Centers for Disease Control and Prevention sur le patient Ebola.
    Quel cauchemar.

    En outre, il peut-être déjà plus de cas d'Ebola à Dallas.

    Shtfplan.com rapporte que le petit ami de l'infirmière Nina Pham est un cas potentiel.

    Et CNN a rapporté que la CDC est "d'évaluer" quatre travailleurs de la santé supplémentaires à l'Hôpital presbytérien de santé Texas. Il suffit de consulter cette capture d'écran .

    Normalement, l'incompétence de Barack Obama ne provoque pas immédiatement une situation d'urgence d'envergure nationale.

    Mais dans ce cas, c'est peut-être exactement ce qui s'est passé.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  3. Obama aurait dû ordonner la CDC d'être dans le premier cas d'Ebola à Dallas.

    Mais au lieu, CNN rapporte que les infirmières affirment que «il n'y avait pas de protocole" pour traiter avec le patient Ebola ...

    Mardi également, National Nurses United fait troublant allégations au sujet de l'hôpital, affirmant "lignes directrices ont été en constante évolution» et « il n'y avait pas de protocole »sur la façon de traiter avec le virus mortel".

    "Les protocoles qui auraient dû être en place à Dallas n'étaient pas en place, et que ces protocoles ne sont pas en place partout aux États-Unis dans la mesure où nous pouvons dire , "a déclaré le directeur exécutif UNA ROSEANN DeMoro. «Nous sommes profondément inquiets."

    Les infirmières ont dit à envelopper le cou avec du ruban adhésif médical lorsque le matériel laissé leurs cous exposés; ils se sentaient pris en charge et non préparés, et ils n'ont pas reçu de formation pratique, syndicat co-président Deborah Burger dit.
    En outre, il est indiqué que l'hôpital il y avait "personne à ramasser les déchets dangereux comme il empilés jusqu'au plafond" lors du traitement de Thomas Eric Duncan.

    Draps et les vêtements souillés juste assis là et conservés sur s'accumulent.

    À ce stade, la tête de la CDC devrait immédiatement démissionner dans la honte. L'incompétence qu'il affiche est absolument épouvantable.

    Par exemple, au cours d'une seule conférence de presse, il a récemment affirmé que vous ne pouvez pas obtenir Ebola en s'asseyant sur un bus, mais que vous pouvez étaler par circonscription sur un bus ...

    Dr Tom Frieden, directeur du Center for Disease Control and Prevention (CDC), a déclaré lors d'un point de presse téléphonique, mercredi, que vous ne pouvez pas obtenir Ebola en s'asseyant à côté de quelqu'un dans un bus, mais que les personnes infectées ou exposées ne devriez pas monter les transports en commun parce qu'ils ne pouvaient transmettre la maladie à quelqu'un d'autre.
    Tu peux répéter s'il te plait ?

    A ce stade, la confusion règne à Washington.

    Et ils vont mieux agir ensemble rapidement parce que nous pourrions être sur le point de la pire crise de santé dans l'histoire des États-Unis.

    Certains dirigeants de Washington sont déjà en train de devenir extrêmement critique de la «direction» de l'administration Obama et la CDC. Par exemple, cette semaine, Rand Paul a accusé Obama de "mentir au peuple américain" de cette crise ...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  4. Le sénateur Rand Paul a accusé Barack Obama de minimiser la menace posée par le virus Ebola à des fins politiques, alléguant que le président a «échoué à faire preuve de leadership» sur la question.

    Dans une interview ce matin avec Talk Radio 1210 WPHT, le sénateur du Kentucky a été demandé par l'hôte Dom Giordano si l'épidémie d'Ebola se métamorphosait en une question d'incompétence et de la Maison Blanche "mentir au peuple américain."

    »Il ajoute juste une litanie de choses que le président nous a laissés tomber sur et n'a pas réussi à faire preuve de leadership», a répondu Paul . "Donc, je pense que c'est une chose après l'autre, ce n'est pas seulement une question. Le manque de leadership sur le virus Ebola, le tergiverser, la minimisation, la sous-estimant, en quelque sorte, en essayant de calmer tout le monde avec vraiment pas être totalement franc sur la transmissibilité de la maladie, je pense, n'aide pas l'un d'eux à l' sondages. "
    Comme je l'ai dit plus tôt, la plupart du temps l'incompétence d'Obama n'a pas des conséquences dramatiques immédiates.

    Mais cette fois, il pourrait entraîner la mort d'un nombre incalculable nombre d'Américains.

    Nous avons atteint un point de basculement. Si Ebola n'est pas contrôlée rapidement, nous pourrions être confrontés à la pire pandémie de l'histoire moderne. En fait, l'ONU dit que nous n'avons que 60 jours pour éviter une crise mondiale sans précédent ...

    Selon l'ONU, l'épidémie d'Ebola doit être contrôlé dans les 60 jours, ou bien le monde est confronté à une situation «sans précédent» pour laquelle il n'existe pas de plan.

    L'Organisation des Nations Unies a fait l'avertissement sévère car il a averti que la maladie "est en cours d'exécution plus rapide que nous et il est en train de gagner la course."

    Près de 9000 cas d'Ebola ont été signalés jusqu'à présent en Afrique de l'Ouest, y compris 4 447 décès.
    Il en est de Obama et le reste de nos «dirigeants» à Washington à la hauteur ?

    S'il vous plaît, n'hésitez pas à partager vos pensées sur la question en postant un commentaire ci-dessous ...

    http://endoftheamericandream.com/archives/thanks-to-obamas-incompetence-ebola-is-now-out-of-control-in-america

    RépondreSupprimer