- ENTREE de SECOURS -



lundi 31 mars 2014

Le rapport du GIEC sur le changement climatique: la Grande-Bretagne devrait «s'habituer» à plus d'inondations et de tempêtes

Universitaire britannique, s'exprimant lors du lancement du rapport du GIEC sur le changement climatique, prévient que le Royaume-Uni doit se préparer à une augmentation du «réfugiés climatiques»
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Par Danielle Demetriou à Yokohama
09:08 BST le 31 mars 2014
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La Grande-Bretagne doit se préparer à une hausse des inondations, vagues de chaleur et les tempêtes côtières, un universitaire britannique impliqué dans l'étude la plus complète à ce jour sur l'impact du réchauffement de la planète a averti lundi.
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Le Royaume-Uni est susceptible de faire face à un nombre croissant de scénarios météorologiques extrêmes en raison du réchauffement climatique, selon Neil Adger, un professeur de géographie à l'Université d'Exeter et auteur du dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental de l'ONU sur les changements climatiques (GIEC).
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Ces modèles seront également alimenter une flambée des britanniques "réfugiés du changement climatique", y compris les familles forcées de quitter leurs maisons à cause des inondations, ainsi que l'augmentation des décès liés à des vagues de chaleur extrêmes.
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"Les impacts du changement climatique sont déjà là et ils font sentir partout dans le monde", a déclaré The Telegraph.
"Il n'y a aucun pays, aucune région qui est en fait à l'abri des changements climatiques.
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Ces impacts se font déjà sentir et ils vont être en conséquence entrer dans l'avenir. Tous ces messages s'appliquent au Royaume-Uni ".
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Les observations du professeur Adger ont été faites comme le Royaume-Uni a émergé de sa plus humide l'hiver sur le disque, ce qui entraîne 7.000 foyers à travers le pays inondé, 11 morts et un coût de petites entreprises autour £ 830.000.000.
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Il parlait à Yokohama, au Japon, où le rapport complet du Groupe de travail II du GIEC examine l'impact global du réchauffement climatique a été publié le lundi, compilé par plus de 300 auteurs de 70 pays différents.
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"Les documents montrent déjà qu'il y a eu une augmentation des précipitations," a déclaré le professeur Adger. "Pluie vient dans des périodes plus courtes que nous avons une augmentation de l'intensité des précipitations. C'est ce qui conduit à un risque accru d'inondations."
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Se référant à une série de défis susceptibles d'influencer le Royaume-Uni - y compris les inondations, les pénuries d'eau et des vagues de chaleur - il a ajouté: «Nous allons avoir à s'habituer à ces choses Ces risques ne sont pas négligeables.».
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En plus des zones côtières et de basse altitude vulnérables, villes à travers le Royaume-Uni ont également été signalées comme étant à risque particulier, avec des vagues de chaleur et les décès liés chez les personnes âgées deviennent un problème croissant.
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«Le plus grand mouvement unique de personnes dans le monde est encore dans les villes, en particulier les villes urbanisées," a t-il dit. «Ces villes sont de plus en plus - et c'est là le creuset de l'impact va se faire sentir."
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Il a ajouté: "La canicule 2013 d'été au Royaume-Uni a conduit à la surmortalité d'au moins 2.000 personnes dans le sud-est de l'Angleterre, principalement à Londres juste d'un seul événement..
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"Nous allons avoir à traiter avec plus de canicules, alors que les températures moyennes mondiales augmentent."
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Exhortant le gouvernement britannique à "lire le rapport", il a également mis en évidence la façon dont les risques associés aux changements climatiques devaient être intégrées dans les politiques à travers le spectre de suspendre la réalisation de pires scénarios de réchauffement de la planète.
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"Les mesures immédiates que le gouvernement doit prendre sont de prendre en compte les risques dans toutes leurs politiques - en termes de planification environnementale et les inondations, ainsi que du littoral, l'agriculture et la planification de la santé publique."
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Le dernier rapport du GIEC, la première mise à jour depuis sept ans, confirme que les scientifiques du climat semblent plus certain que jamais que le comportement humain est le coupable clé du réchauffement climatique.
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Déclaration de la tendance au réchauffement «sans équivoque», il met en lumière la façon dont les températures pourraient augmenter autant que 4.8°C d'ici la fin du siècle - avec une augmentation minimale de l'ordre de 0,3° C si les gouvernements réussissent à couper fortement les taux d'émission à effet de serre.
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"Une chose qui est très claire, c'est que nous ne sommes pas prêts pour les questions climatiques auxquels nous sommes confrontés», Chris Field, directeur de l'écologie mondiale à la Carnegie Institution à Washington et co-président du rapport, a déclaré au Telegraph "Mais elle a aussi est clair que "quand on regarde la littérature sur le changement climatique et l'adaptation, que l'investissement dans l'amélioration de l'adaptation et de réduire la vulnérabilité au risque auquel nous sommes confrontés aujourd'hui, est un très bon point de départ pour faire face aux risques auxquels nous serons confrontés à l'avenir.
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http://www.telegraph.co.uk/earth/environment/climatechange/10733869/IPCC-climate-change-report-Britain-should-get-used-to-more-flooding-and-storms.html

dimanche 30 mars 2014

Journal hebdomadaire – 31 mars 2014 - FIN

LE TRAITÉ QUI VA NOUS MALTRAITER …

Publié le mars 29, 2014
par citoyensindignezvous
Le Canard Enchaîné – 19 mars 2014 Jean-Luc Porquet
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Sans tambour ni trompette, des délégations européennes et américaines se sont rencontrées tout au long de la semaine dernière à Bruxelles pour le quatrième round de négociations sur le fameux traité de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis.
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Ce trait, dont François Hollande à dit devant Obama qu’il souhaitait sa ratification « le plus vite possible », ce qui nous promet bien du plaisir… Car son but est d’éliminer « les obstacles réglementaires inutiles au commerce ». Et ce dans tous les domaines : à part le cinéma, exception culturelle qui confirme la règle, tout sera passé au karcher: agriculture, environnement, énergie, aéronautique, services, contrats publics, normes, etc. Ça va saigner !
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Un exemple ? On se souvient que le pétrolier texan Schuepbach, furieux que ses permis de forer en France soient devenus caducs à cause de la loi de juillet 2011 interdisant la facturation hydraulique pour extraire le gaz de schiste, avait attaqué celle-ci en justice. Et que le Conseil constitutionnel l’avait envoyé bouler en octobre. Pur archaïsme, évidemment!
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Et les tribunaux français n’auront plus leur mot à dire.
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Lorsque le traité transatlantique sera ratifié, le Conseil constitutionnel et les tribunaux français n’auront plus leur mot à dire. C’est le Cirdi, un tribunal d’arbitrage sis à Washington et dépendant de la Banque mondiale, qui sera juge. Plusieurs pays se mordent déjà les doigts d’avoir signé pareil traité de libre-échange, qui, sous prétexte de protéger les investisseurs, permet aux firmes privées d’attaquer les pouvoirs publics, et au droit privé de primer sur le droit international.
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Ainsi l’Uruguay, dont le Président, un ancien cancérologue très sensible aux méfaits du tabac, avait mené une vigoureuse campagne anti-clopes qui a fait baisser la consommation de 44%. Le géant de la cigarette, Philip Morris, estimant que ses « droits d’investisseur » ont été bafoués, réclame à l’Uruguay une indemnité de 2 milliards de dollars. Le Cirdi rendra son jugement l’an prochain (« Courrier International », 13/2)…
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Dans un excellent petit ouvrage (1) qui décrypte les 46 articles du mandat de négociation, de la Commission européenne, et permet donc d’imaginer ce qui se passe dans les très opaques négociations actuellement en cours, Raoul Marc Jennar rappelle qu’il existe un précédent, l’Alena, accord de libre-échange qui lie depuis vingt ans États-Unis, Canada et Mexique. « En vingt ans, le Canada a été attaqué 30 fois par des firmes privées américaines, le plus souvent pour contester des mesures en vue de protéger la santé publique ou l’environnement, ou pour promouvoir des énergies alternatives. Le Canada a perdu 30 fois. » Et de raconter une plainte actuellement en cours.
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La ville américaine de Détroit est reliée par un pont à la ville canadienne de Windsor. Ce pont est totalement saturé par le trafic. Le Canada a donc décidé d’en construire un nouveau… Mais la firme privée américaine à laquelle appartient le pont embouteillé ne l’entend pas de cette oreille ! Elle réclame 3,5 milliards de dollars de compensation au Canada. Car « elle considère que la construction du nouveau pont est une expropriation de son investissement et qu’elle bénéficie d’un droit exclusif au franchissement de la rivière par un pont. » C’est-y-pas beau ?
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On se demande bien pourquoi les tractations entre l’Europe et les États-Unis concernant ce merveilleux mécanisme dit du règlement des différents, qui sera l’une des pierres angulaires du traité, ont été prudemment repoussées après les élections européennes. Mieux vaut tenir le peuple à l’écart : il serait capable de comprendre que c’est dans ses poches que les multinationales s’apprêtent à se servir…
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Voir sur mon blog tout ce qui a trait avec l’hégémonie américaine et :
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http://uncitoyenindigne.wordpress.com/2013/07/18/libre-echange-ou-arnaque-a-sens-unique-danger-2/
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http://uncitoyenindigne.wordpress.com/2013/11/04/ce-traite-va-favoriser-la-fin-de-leurope/
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- Voir aussi:

Le nouveau Traité européen (TSCG) expliqué en quelques minutes

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http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/03/le-nouveau-traite-europeen-tscg.html
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vendredi 28 mars 2014

Blog est lu au premier tour

Si ce n'est rien de plus que la politique protocolaire de derrière le rideau, le peuple serait à demander "a bas les masques !", or - et nous le voyons chaque jour - les phénomènes à la candidature (suprême ?) modifient au 'grand malaxeur' leurs politiques de campagnes où les promesses ne sont tenues dès que l'individu est élu !
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Serait-ce due à leur arrivée en 'grands bâtiments austères' ? qui les ferait (avec leurs valises) changer d'opinion où les papiers-peints seraient à refaire ?
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Imaginez un président (ou ministre) choisi qui débarque là aux lendemains des élections: "Eho ??! Il y a quelqu'un ?". Là, effectivement, 'il y a quelqu'un !'. Quelques centaines de 'secrétaires, femmes de ménage, cuisiniers et chasseurs en livrées attendant les voitures' (!). Donc, qu'il ne faille tirer à 'boulets rouges' envers ces gens-là qui sont là depuis... des décennies (et qui en ont vu passer des plus croquignolesques), ne seraient pas le sujet à en découvrir 'l'envers du décor'. Or, et c'est bien là que réside the problème, cette gente de serviteurs fait partie du 'rideau' (de fer ?).
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Ils sont là, et vous attendent ! Attendent que vous en dépliassiez vos 'plans stratégiques de 'nouvelles normes' et répondent par oui à toutes vos demandes. Et là, vous 'découvrez' vite que vous n'êtes qu'un(e) fonctionnaire attaché(e) à vos supérieurs (!).
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Mais, qui a t-il donc derrière ces masques ??! Vous ne tarderez pas à être mis(e) au courant, au parfum, à l'éclos-du-jour, que ce ne sont pas vos manières qui doivent être adoptées mais les leurs ! Tout ce chemin pour rien ??! Bêh oui. 'Faut faire avec'. Écartez derechef toutes possibilités d'en dénoncer leurs attitudes sur internet (même sous un 'pseudonyme') et contentez-vous de poursuivre la voie de vos prédécesseurs !
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Et là, vous vous apercevrez que n'est pas 'Kadhafi/Poutine/Saddam hussein/Maduro qui veut ! et que Laurent Bagbo en a fait les frais ("Vous voulez le rejoindre ?").
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Ainsi, même si vous avez fait grandement campagne approbative à 100% sur les dragages de fleuves & rivières ou de parler des chemtrails, il vous faudra donc en oublier ces critères de bon aloi pour vous disperser vers ceux des problèmes (hahaha !) de dettes sans en évoquer (même partiellement) du combien il y a encore d'or en soutes !
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Vous êtes devenu(e) le ou la président(e) de La Planche-à-Billets. Point barre.

Poutine me fait peur...

Olivier Berruyer
Causeur
jeu., 27 mar. 2014 15:56 CDT
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Il est temps de dire la vérité sur « l'abominable nouveau tsar du Kremlin »
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Il est grand temps de dénoncer haut et fort Vladimir Poutine. D'abord sur le plan économique. Car qu'a-t-il fait depuis 15 ans, concrètement ? Le pouvoir d'achat des Russes : il a doublé. L'inflation : passée de 100 % à presque rien. La balance commerciale : largement redressée et désormais excédentaire. Le taux d'emploi : en très forte hausse. La dette publique : passée de 90 % du PIB à 10 %. La pauvreté : divisée par 2. Bref, les chiffres parlent d'eux-mêmes : un échec lamentable.
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Au niveau politique : des élections régulières, de gros succès électoraux - bien loin de la situation de nos alliés en Chine ou en Arabie Saoudite. Évidemment, sa côte de popularité n'est jamais descendue sous les 65 % d'opinions positives, et elle est remontée à 80 % actuellement - tout ceci étant prévisible vu les chiffres économiques catastrophiques précédemment avancés. D'ailleurs, on se rend bien compte que les chiffres sont évidemment truqués, Obama plafonnant à 40 %, Hollande étant descendu à 15 %, et le taux d'approbation du Congrès américain venant de réussir l'exploit d'atteindre un seul chiffre, avec 9 % de satisfaction des Américains.

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Mais c'est au niveau géopolitique que le pire est à craindre. Car que prône M. Poutine ? Des référendums ! Pour demander leur avis aux gens ! Non mais, sérieusement, jusqu'à quand allons-nous tolérer ceci en Europe ?

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Faisons bien attention aux conséquences de notre pusillanimité : si nous laissons des référendums se développer en Europe, cela en sera fini de la marche vers le « Progrès Européen ». Terminé les traités budgétaires. Fini l'austérité pour complaire aux marchés financiers. Plus d'augmentation de l'âge des retraites jusqu'à 69 ans. Personne n'acceptera de saigner la Grèce pour rembourser des hedge-funds vampires. Personne n'élira Hermann Van Rompuy Président du Praesidium Européen.

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De même, si nous faisons un référendum au Royaume-Uni, il est clair que ce pays quittera rapidement l'Union. Comme le feront pas mal d'autres pays si nous demandons leur avis aux citoyens.

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Et quel peuple acceptera de voter pour l'accord d'association UE/Ukraine signé le 21 mars dernier, qui met désormais les entreprises européennes en concurrence avec le pays le plus pauvre d'Europe, où le salaire minimal est de 100 € par mois ? Aucun peuple sensé ne l'acceptera - craignant évidemment le chômage. Il faut donc bannir le référendum et laisser Bruxelles décider.

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Mais là où apparaît clairement la perfidie du président russe, c'est que, non seulement il fait voter les habitants de Crimée sur leur avenir pour la première fois, mais en plus, alors que, essentiellement Russes, ils ont logiquement demandé leur rattachement à la Russie à une écrasante majorité, incontestable, eh bien il les écoute et il répond à leur demande ! Imagine-t-on ceci en Europe ? Mais nous n'aurions jamais pu signer le traité de Lisbonne si on avait accepté la demande des Français de 2005.

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Alors que, dans cette affaire, la solution était tellement simple - et nous l'aurions surement appliquée si des ministres russes avaient alimenté des manifestations populaires pro-russes au Canada, puis avaient surtout fomenté un coup d'État avec des néonazis qui auraient interdit le français au Québec.

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Il fallait donc punir très fortement Poutine (la punition étant désormais un axe central en Diplomatie), renvoyer la Crimée dans le giron du gouvernement putschiste ukrainien non élu, puis envoyer des chars ukrainiens noyer dans le sang le soulèvement qu'il n'y aurait pas manqué d'avoir envers un gouvernement comportant un tiers de néonazis russophobes assumés 1 et soutenu par un Occident cynique comme jamais. Là, au moins, dans un scénario à la yougoslave, l'UE sait agir : tweets, discours enflammés, résolutions, condamnations, envois d'observateurs et de Bernard-Henri Lévy, puis d'enquêteurs, puis de médecins légistes, saisie de la Cour pénale internationale, etc.

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Mais au lieu de cela, Poutine à tout gâché, et le peuple de Crimée a fêté dans la liesse populaire son rattachement à la Russie. Et le peuple de Kiev a manifesté sa révolte le 23 mars, l'ampleur de la manifestation phénoménale de 5 000 personnes montrant bien le caractère totalement illégitime de la chose pour les Ukrainiens - tout comme le fait qu'à peine 20 % des militaires ukrainiens en Crimée aient obéi à l'ordre de rentrer au pays...

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Tout ceci est donc désolant, c'est à désespérer du « rêve européen »... Et comme nous ne savons pas jusqu'où ira Poutine, il nous faut donc surtout nous armer de lucidité !
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jeudi 27 mars 2014

Ceux qui dirigent vraiment et ceux qui obéissent


Que faire quand c'est le docteur qui est malade ? La déontologie stipule qu'aucune personne du corps médical y compris la recherche se servent eux-mêmes de cobayes pour des expériences. Ainsi, les chefs d'Etats ignorent tout de ce qui ronge le peuple puisqu'ils n'appliquent pas leurs politiques à eux-mêmes. Mais, les chefs d'Etats ont tous des comptes en banque obèses ('Too big to fail' ?) qui ne correspondent en rien avec leurs idées de 'redressement productif'. Mais alors, à quoi bon devoir passer par de 'grandes écoles' pour en arriver là ??! (ont-ils séché les cours ?). Avez-vous déjà entendu 'l'opposition' critiquer le pourquoi de la dette ? et menacer de poursuivre les instigateurs de cette dépendance ? Donc, si l'on analyse leurs parcours depuis leur sortie de Centrale, il ne fait plus de doute qu'ils y ont tous préparé un 'gros coup' ! (ont-ils encore un bracelet à la cheville ?).
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Après la nouvelle 'abstention record' aux municipales, des questions se posent, pourquoi promettre la lune quand il y a encore des gens qui crèvent de faim ? Ainsi les 'hommes de l'ombre' que personne n'a vu/reconnu ou posé de question et qui dirigent le monde se complaisent-ils à inventer des frais on peut plus supportables ainsi que des taxes sur les taxes et impôts divers car le monde bouge, le monde évolue et quand le monde avance il fait des économies. Or, il ne faut nullement que les gens en fassent et deviennent riches d'où le contrôle de tout sur les spéculations en Bourses comme aux écoutes téléphonique qui doivent dater probablement de l'invention du téléphone, et les motifs de guerre pour faire diversion !
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Tout est donc là pour entretenir la foule qui serait passionnée par le sport (alors que le sport tue !) et que les films dits 'x' seraient à proscrire ! (rendez-vous compte ! des films d'amour ! quelle horreur ! Vivement des films de guerres, de meurtres avec du sang partout ! Il paraîtrait d'ailleurs que - d'après des sondages gouvernementaux - que le public en redemanderait !!).
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Donc, en psychologie, comme l'on sait que peu de gens acceptent de déménager et que ce maigre pourcentage se réduit encore pour partir à l'étranger (et que l'on a beau leurs dire que Tahiti est le plus beau pays du monde... ils y vont mais ils n'y restent pas !!). C'est pourquoi il ne sert à rien d'ouvrir les frontières sinon pour volontairement créer des contrariétés.
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Et, comme en réalité l'or n'a pas de valeur et que les tonnages annoncés dans les 'réserves' (HAHAHA !) sont loin d'être contrôlables ! il est donc facile de créer de l'argent avec la planche-à-billets. Mais... mais il n'y a pas des images pour tout le monde ! (alors que près de chez soi existent des photocopieuses !). Donc, ils peuvent tous les jours parler de scrash-test à venir et de guerre thermonucléaire apocalyptique (où tout le monde perdrait tout !), si ce type de mise-au-point à lieu ce ne sera que pour mieux recommencer et que de nouvelles précautions (terroristiques ?) seraient à prendre et que chacun sera rfidé de façon à le tenir en laisse.
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Que des troupes russes s'entraînent aux USA ou inversement, que du matériels militaires de haute technologie soit vendu par l'un vers l'autre, ce n'est pas du pipeau mais de la réalité qu'il n'existe qu'une armée dans le monde avec seulement des régiments différents.
Donc, si c'est le peuple qui dirige (et non l'inverse), le chefs d'Etat et gouvernement ne devraient pas avoir peur des référendums et ainsi, si le peuple dit non à la dette et se prononce pour l'arrestation et jugement des crapules qui l'ont inventé, tout-à-coup, comme par enchantement, tout va pour le mieux ! Bizarre, non ?
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PS: Vous imaginez un ou une candidat(e) aux élections qui ferait campagne pour promettre des référendums et de parler des chemtrails ?

mercredi 26 mars 2014

La Terre vue par le trou de la serrure

Imaginez une grande entreprise. A chaque secteur est attribué un budget et parfois seulement s'il y a bénéfice. Les patrons discutent tour à tour où chacun défend son secteur suivant les conjonctures, bref, une grande surface ne se gère pas comme une épicerie. Donc - me direz-vous - dans le 'domaine tout-va-bien' , il n'est là question d'argent mais de performances. Ainsi, vue que les 'performances' sont le propre de l'homme et pseudonymes de progrès, il n'est donc de 'bonne aventure' que de leur allouer qq deniers. Or, si le métal du même nom n'est point-là la question, il en résulterait au conditionnel comme au présent de l'impératif que se développent (sournoisement ?) - en des milieux peu encore définis - des agents-du-trouble qui feraient (comme dirait l'autre) 'chambre-à-part' !
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Ainsi va le monde où 'la grenouille voulut se faire plus grosse que le boeuf' et n'éclatât dans sa panse qu'une phrase "pourquoi ne suis-je pas dieu ?!" Mais, le 'dieu' des contes de fées, n'appartient qu'à l'imagination, et, si vite débordés, les 'hommes de l'ombre' se révèlent-ils au grand-jour.
Car, au 'non-sens' que des 'employés' (dans leurs fonctions subalternes misérabilisantes) fassent commerce en douce/dessous de table/ marché noir, peut-on (ou 'pourraithon' ?) répondre que chacun n'a que ces facultés qui lui manquent (!) et qu'il se doit (ou se devrait) de n'en écouter que ses 'supérieurs'. (Hahahaha !).
Donc là, en chaque secteur, 'règne' (excusez de l'injure venue de 'têtes couronnées') une offense au 'bon vouloir de sa majesté' que de faire pour soi ce qu'il pense être bon.
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C'est un peu fort de l'enclume. Soit.
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Donc là, se 'conclut-il' (me direz-vous) que la responsabilité de chacun, dépassasse d'un 'chouya' celles d'autres 'un peu plus loin', car, ceux qui nous observent... ne sont (après tout) que des gens 'comme les autres'.
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Exact. Et de là naquirent les 'hommes de l'ombre' !
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Ceux qui 'accueillent les nouveaux Dirigeants' à la Maison Blanche ou à l'Elysée. Ceux qui sont là depuis des décennies pour 'faire le ménage' ou 'la cuisine' ou 'servir de chauffeur' à l'éminence-grise-élue' (Hahaha !). Ceux qui n'apparaissent en premières pages des journaux (qu'ils dirigent).
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Ceux qui nous approchent se rapprochent !
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Oui. Oui car, les boîtes cervicales de chaque humain ne renferment que ce que d'autres avaient avant !! D'où chacun se prétendre être 'la reine d'Angleterre', le tout étant de se convaincre (comme d'être convaincu) que le trou du cul en face appartient à quelqu'un d'autre !
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Les 'hommes de l'ombre' dépassés par le dépassement ?!
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Ainsi, depuis que l'on sait que l'homme ne peut dépasser l'ordinateur (en vitesse) et, qu'il ne lui reste donc que l'espace congru de la réflexion, soumet-il sont savoir au nombre plus important du peuple de la Terre. D'où le "Qu'en pensent-ils ? et le (plus fréquent:) "Qu'en suggéreraient-ils donc ?! ('Putain de merde-de con de sa race' !!).
La réponse évidente étant "Montre-nous ton cul on te dira ce que t'es !" D'où le caractère providentiel de ne tourner le dos à personne susse t-il de celui qui t'aurait promis de te rendre au centuple ce que tu hésites encore à prendre en main !
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De sorte que par l'histoire et mathématiquement, ceux qui durant des siècles nous ont pris pour des 'demeurés', s'aperçoivent-ils incidemment qu'ils n'ont pu durant cette 'éternité' garder une 'distance de sauvegarde' et sont désormais submergés par ce rattrapage !
Car - hors passage en live du témoin - il y a encore ceux qui dans 'leur coin' ne veulent suivre les ordres 'venus d'en haut' (Hahaha !) et qui - comme l'a fait le président Kadhafi et tant d'autres qui l'ont suivi comme Saddam Hussein/Laurent Bagbo/Hugo Chavez et tant d'autres qui s'en réfèrent - n'en font qu'à leur tête !
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'Dès lors', sommes-nous passés en 'mode dépopulationniste' avec dans la séquence 'sida' l'intervention "ne bougez-pas, on va vous soigner !" à l'interventiométrie du 'gare, on va sanctionner' (!!Hahaha !) à 'j'en peux plus, je vais y aller !' (Hahaha !) de la mesure dite économique envers un pays qui a tout ! (HAHAHAHA !).
Los problémos est que le "j'ai le pouvoir de" ne marche plus et que chacun s'en branle !! Et que le 'G8' peut se réduire au 'G1' (voire le 'GZéro' ou '-50' ?) cela ne changera plus grand-chose.
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Donc, pour en revenir au tout début où "les patrons cherchent à mener l'entreprise", les tas, (les petits tas ?) qu'ils ont fait ou qu'ils se sont aperçu d'avoir construit, (avec leur 'Chefs Des tas') réfléchissent maintenant d'eux-mêmes ! (rebellions ?) et, qu'ils en seraient même au point d'en dénoncer ceux qui tirent les ficelles derrière le rideaux !! 'Sacrilège' !!? 'Blasphème' ? où le sacré n'appartient qu'à la rondelle sur quoi le boulon (du peuple) peut serrer.
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Ainsi, désormais, les 'hommes-du-jour' (le peuple) n'ont été aussi près des 'hommes-de-l'ombre' et, l'inquiétant, c'est qu'ils (ces derniers) s'en seraient aperçu ! D'où les politiques de foutre le bordel sur Terre en tombant les frontières et faire appliquer une même loi à tout le monde ! Ainsi, le 'président de la Terre' serait-il (noir ? chinois ? arabes ? papous ?) ou 'tout simplement' le dernier 'E.T.-drone' de chez Macintosh en modèle portable pour les infirmes ou, implanté dans le cul pour les récalcitrants ? (rigolez pas, çà va venir !).
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D'où, dans l'attente de virus féroces propres à détruire la machine et mettre un terme à l'NSA, l'espoir que bientôt pétera l'IEM, et chacun ses baskets, chacun sa carriole !

mardi 25 mars 2014

2014 ne sera pas non plus "l'année du dollar"

25 Mars 2014
Par Myret Zaki
De nombreux analystes annoncent chaque année le retour du dollar. Or, la devise américaine continue de perdre de la valeur aussi bien face au franc ou à l'euro que par rapport à sa valeur passée.
Monnaie
2014, «année du dollar» ? Cette année encore, les stratèges des banques pourraient bien se tromper. Depuis 2001, le dollar a perdu la moitié de sa valeur face au franc suisse. D'importants facteurs baissiers, trop souvent ignorés, s'accumulent pour peser sur la valeur du billet vert à long terme. Analyse en vidéo.
http://www.bilan.ch/tv-bilan-myret-zaki-les-plus-de-la-redaction/2014-ne-sera-pas-non-plus-lannee-du-dollar


L'effondrement (?)

D'abord (et règle n°1): supprimer les prédateurs autres que les humains, car, en matière de concurrence féroce, certains gros poissons nous ôtent le caviar de la boite ! et encore là, je ne parle pas des bestioles qui volent (en tout sens du terme) et qui s'appellent Mouettes, Albatros, ou Hirondelles de mer et consorts. Secundo, s'occuper des animaux sauvages de types carnassiers qui prélèvent pour nous des gigots de gazelles qui manquent après sur les tables. Là, déjà, nous avons fait un bon bout de chemin dans l'auto-suffisance au rayon consommateurs. Ainsi, en l'absence de candidats à manger en nos assiettes, peuvent se développer (élevages ?) des viandes sélectionnées.
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Ainsi, dès lors que nous savons tous que 16 porte-containers polluent plus que toutes les voitures du monde ( http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html) et que le nombre de 'porte-containers' qui sillonnent le globe est bien plus important que cela, et, que ces derniers seraient susceptibles de nous apporter de 10.000 km ce que nous avons déjà tout sur place, et que les serres ne sont pas faites pour les chiens, ni la bonne information non plus, l'on pourrait donc par cette compréhension envisager de faire des économies.
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Ainsi, comme l'énergie se ferait rare, il serait temps de penser à mettre de larges roues à aubes sur les fleuves et rivières afin d'exploiter cette énergie gratuite, éternelle et non polluante qui alimenteront (entr'autres) nos chères imprimantes 3D qui nous permettent de fabriquer sur place ce que nous étions obligés d'aller chercher 'au bout du monde' !
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Ajoutons à cela que si les fonctionnaires ne sont plus payés à rien foutre ils auront encore la possibilité de découvrir le travail à la ferme en plantant des salades et vivre enfin du fruit de leurs efforts. Notons que la présence quotidienne de chemtrails a permis entr'autres la baisse de fertilité masculine et donc, que moins il y a d'enfants... plus il y a de vieux. Mais, comme ces 'vieux' ont cotisé toute leur vie et que les caisses de retraite... sont vides, l'explication de la mise en place de robots valides en pleine forme et surtout armés pour contrer toutes rebellions est arrivé juste à temps.
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Donc, face aux réalités que le pétrole abiotique est éternel et que l'eau ne manquera jamais et qu'elle ressort propre toute seule aux sources, l'Administration aux bras qui tombent s'est-elle résolue à ne plus savoir que faire face aux têtes pleines qui les dépassent et aux conflits de gestion où les citoyens osent répondre !
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Donc, les 'autorités' se voyant dépassées, ont-elles choisi de commencer l'hégémonie d'éclaircissage par des 'petites' guerres/épidémies où le nombre de morts réels sera plus proche de millions, car, après tout, le domaine du recensement ne leur appartient-il pas ?
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Mais, à la lecture de tout cela, si l'on découvre la solution et qu'il n'y aurait donc plus à s'en faire, reste le problème pyramidal de la dette fabriquée par 'la majorité au pouvoir' ainsi que par 'son opposition qui la remplace'. D'où la planche-à-billets et les 'réserves d'or' qui sont vides (depuis belle lurette) et que... çà finit par se voir !
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Donc, s'il y a 'effondrement' il ne peut qu'être du côté de ceux qui pompeusement se nomment 'élite' (Hahaha !), et non du côté des citoyens lamda qui eux... s'en sortiront toujours !
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samedi 22 mars 2014

SCOOP - Les Russes retirent massivement leur argent de l'ouest : 105 milliards en bons du trésor US vendus rien que cette semaine !!!

Encore un scoop du blog : aucun journal ou site , pas même économique ou financier n'en parle !!!

Rappelez vous , POUTINE avait menacé de "dumper les treasuries, ET d'abandonner le Dollar US Si il y avait des sanctions" !!! Les russes s'étaient séparé de 13.5 milliards d'us treasuries dés la semaine dernière : là ils auraient carrément vendus ou "réaffectés" (c'est pareil) 105 milliards ! Pres de 80 % de leurs avoirs !!

La corrélation n'est pas encore officiellement établie, mais elle est fort probable et serait logique ... et c'est, énorme !


Si les Russes ont l'intention de couler le dollar, c'est un pas qui va dans ce sens
, et il suffirait qu'ils provoquent une contagion en incitant leurs proches partenaires, comme la Chine (qui a déjà commencé) , à faire de même !

RAPPELS :

ATTENTION : La Banque centrale de Russie transfère ses réserves placées aux États-Unis

ZH - "Ça commence : Gazprom met en garde les européens que "des ruptures d'approvisionnement" sont possible " / la russie vend un montant record de dollars pour soutenir le rouble - Analyse globale

Exclusivité - Énorme ! Le conseiller de Poutine menace les américains de "dumper " les Bons du trésor , ET d'abandonner le Dollar US Si il y a des sanctions !!!

L'économiste John Williams - Effondrement financier : Si la Russie vend effectivement ses avoirs en U.S. Dollar , ce serait la fin du monde tel que nous le connaissons !

D'abord, zerohedge avait publié ce papier :


Les données hebdomadaires de la Fed pour les titres du Trésor américain détenus pour le compte d'institutions étrangères et de banques centrales ont fortement baissé au cours de la semaine dernière et peuvent offrir une explication plausible pour expliquer pourquoi l'USD a baissé peu près toute la semaine contre ses principaux homologues.

Les avoirs étrangers de titres du gouvernement américain détenus à la Fed ont chuté d'un bond de 104.5 milliards de $ dans la semaine, jusqu'au mercredi 12 Mars, selon les données publiées cette nuit (voir tableau ci-dessus).Il s'agit de la plus grande chute hebdomadaire unique , a comparer avec juste la goutte que représente les 13,5 milliards de $ de la semaine précédente, et une baisse moyenne sur 4 semaines de 1,5 milliard de dollars. La précédente plus forte baisse était à la mi-2013 (le 26 Juin, une semaine après la réunion du FOMC) quand les avoirs avaient diminué de 32.4 milliards de $. La vente au cours de la dernière semaine coïncide avec les dernières statistiques de l'emploi américain, une série de données faibles provenant de la Chine et une aggravation de la situation en Crimée et en Ukraine.

La Russie a menacé de répondre par ses propre sanctions contre les mesures économiques qui devraient être imposées par l'UE et les États-Unis après le référendum en Crimée ce week-end. La Russie détient actuellement 138,6 milliards d'EUR de dollars d'us treasuries (sur la base des données de décembre) et le pays a été un vendeur net pour une somme combinée de 11,3 milliards de dollars de t bonds au cours des deux derniers mois, selon les données disponibles. La Chine a vendu 47.8 milliards de $ seulement en Décembre. Les dernières données du Trésor pour Janvier n'arriveront que la semaine prochaine, et donc nous ne saurons pas officiellement avant mai de combien les avoirs de dette du gouvernement américain détenus par la Russie ont chutés en Mars.

Donc, soit la Chine vent du T BOND et achète de l'euro pour rendre les importations d' énergie aux européens plus forte.... Ou soit c'est la Russie, qui a peut être dumpé les t bonds pour soutenir le rouble ... Ou juste pour le dumping.
http://www.zerohedge.com/news/2014-03-14/it-begins-past-week-foreigners-sell-record-amount-over-100-billion-treasurys-held-fe

Ensuite ils ont « affiné » en se basant sur le FT , ce qui a donné ce papier :

Plus tôt aujourd'hui,
nous avons signalé que, selon les données hebdomadaires de la Fed, un montant record - environ 105 milliards - en bons du trésor avait été vendue ou simplement réaffectés (qui ,pour des raisons politiques, est la même chose) à partir des comptes de la Fed, ce qui porte le montant total de papier US détenu à la Fed à un niveau jamais vu, depuis Décembre 2012.

Alors que la Chine était l'un des coupables suggéré pour avoir retiré l'équivalent en papier USD , un candidat extrêmement plus probable est la Russie, qui, comme c'est bien connu, a eu une brouille avec l'Occident en général, et son système financier modeste en particulier . Il s'avère que ce que les institutions officielles russes ont pu faire avec leurs bons du trésor (et nous ne saurons pas avec certitude avant Juin), n'était que le début.

En fait, comme le rapporte le FT, dans les préparations silencieuses et non silencieuses pour ce qui seront des sanctions financières quasi-certaines (qui inclurait un gels des compte et des confiscations d'actifs après le référendum de Crimée de ce dimanche) les oligarques, ont déjà retiré des milliards des banques de l'ouest ..

Du Financial Times :

"Les Entreprises russes retirent des milliards des banques occidentales, craignant que des sanctions américaines sur la crise en Crimée pourraient conduire à un gel des avoirs, selon des banquiers à Moscou.

Sberbank et VTB, les banques géantes partiellement publiques de la Russie, ainsi que des entreprises industrielles, tels que le groupe d'énergie Lukoil, sont parmi ceux qui ont rapatrié du cash provenant des prêteurs occidentaux, par des opérations aux États-Unis. VTB a également annulé un sommet des investisseurs aux États-Unis prévue le mois prochain, selon les banquiers.

La dernière chance de pourparlers diplomatiques entre le ministre des Affaires étrangères de la Russie et le secrétaire d'Etat américain pour résoudre les tensions en Ukraine s'est terminée sans accord.

Les marchés étaient nerveux avant le référendum en Crimée de dimanche, sur la sécession de l'Ukraine. Les commerçants et les hommes d'affaires craignent que cela pourrait déclencher des sanctions occidentales contre la Russie dès lundi."

Ça aura probablement lieu . L'impact de ces sanctions forcent la Russie à engager la Chine beaucoup plus activement dans un commerce bilatéral avec elle et, finalement, à effectuer des transactions en utilisant soit des Roubles ou des Renminbi, et de contourner le dollar .

Peut-être même avec de l'or, ce que le prix du métal jaune a reniflé cette semaine, se propulsant à des sommets de 6 mois. Ce qui créera également des liens financiers entre les deux pays riches en matières premières, encore plus proche, tout en éloignant davantage encore le "diable impérialiste," , les Etats-Unis.

Superbe job, Obama: vous venez de pousser la Russie et la Chine a se rapprocher encore plus par nécessité ! En outre, il n'est donc pas surprenant que pendant que les Russes retiraient leur argent de l'ouest, les entreprises occidentales sortaient du Dodgeski.

Un haut banquier de Moscou a dit que 90 pour cent des investisseurs se sont déjà comportés comme si les sanctions étaient en place, ajoutant que c'était de "la gestion à l'exposition prudente".

Ces mesures constituent le revers de la plus évident de l'ouest, par le retrait des marchés russes de l'argent de l'Ouest , au cours de la dernière quinzaine.

Les commerçants et les banquiers ont dit que les banques américaines ont été particulièrement lourdes vendeuses d'obligations russes. Selon les données de la Banque des règlements internationaux, les banques américaines et les gestionnaires d'actifs ont entre eux 75 milliards de dollars d'exposition à la Russie."
http://www.zerohedge.com/news/2014-03-14/russians-have-already-quietly-pulled-their-money-west

The guardian a suivi aussi :

Les Marchés craignent que la Russie ait dumpé les bons du Trésor US sur fond de crise en Ukraine.

Le Transfert de plus de 100 milliards de dollars US laisse penser que la Russie est en mouvement pour mettre ses fonds hors de portée des sanctions possibles

Les marchés financiers étaient en état ​​d'alerte la nuit dernière au milieu de a crise en
Ukraine, sur des spéculations que le Kremlin avait retiré ses vastes fonds en bons du Trésor, hors des États-Unis.

La Nouvelle que plus de 100 milliards de dollars avaient été retirés aux États-Unis la semaine dernière - au moins trois fois plus qu'à tout autre moment depuis le début de la crise financière - a renforcé les craintes que
la Russie se prépare à un retour de bâton de l'Ouest, sous la forme de sanctions et qu'elle déplace ses fonds pour trouver refuge au-delà de l'influence américaine.

Les bonds ont été transférés en dehors des entrepôts de dépôt de la banque centrale des États-Unis la semaine dernière, alors que l'administration Obama avait augmenté la menace de sanctions en réponse à la crise croissante dans l'est de l'Ukraine. L'an dernier, le plus gros montant déplacé en une semaine était de 32 milliards $. Les analystes estiment que si le fait peut être attribuée à la Russie, il représente environ 80% des avoirs du pays en
obligations de bons du Trésor américain .

La banque centrale russe est susceptible d'être derrière le mouvement, si les riches hommes d'affaires russes devaient également être concernés par les sanctions imposées par Washington qui pourrait geler les fonds qu'ils ont entreposés a la banque centrale américaine. Alexei Miller, le patron de la société d'énergie Gazprom, et
Igor Setchine, qui dirige la compagnie pétrolière Rosneft , sont susceptibles d'être parmi les nombreuses personnalités à Moscou , affectés par des sanctions ciblées imposées à la Russie. L'affaire est venu dans la lumière après que la banque centrale américaine a indiqué que ses avoirs hebdomadaires en bons du Trésor , des placements qu'elle détient pour le compte d'investisseurs extérieurs , ont chuté de 105 milliards de dollars pour la semaine se terminant le 12 Mars, avec une chute de 2.96 billions de $, à 2.85 billions de $ . http://www.theguardian.com/business/2014/mar/14/russia-us-treasury-bill-bonds-ukraine-sanctions
http://fr.sott.net/article/20186-SCOOP-Les-Russes-retirent-massivement-leur-argent-de-l-ouest-105-milliards-en-bons-du-tresor-US-vendus-rien-que-cette-semaine

Dette, crise, chômage : qui crée l'argent ?

http://www.youtube.com/watch?v=syAkdb_TDyo

vendredi 21 mars 2014

Le gaz de schiste sera exempté d’étude d’impact environnemental en Europe

Les lobbys pétroliers et gaziers se frottent les mains. Le 12 mars, le Parlement européen a adopté la révision de la directive portant sur les Études d’impact environnemental (EIE). Et a décidé que les activités d’exploration et d’extraction des hydrocarbures de schiste seront exemptées d’études d’impact environnemental. Une telle étude est pourtant obligatoire pour près de 200 types de projets, tels que la construction de ponts, de ports, d’autoroutes, de décharges de déchets ou d’élevages intensifs.
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Ces études, de nature technique, ont été développées depuis les années 1970, et dans certains cas sont devenues obligatoires pour apprécier les conséquences environnementales de la réalisation de projets d’aménagement et d’infrastructures publics et privés qui, par l’importance de leurs dimensions ou leurs incidences sur le milieu naturel, pourraient porter atteinte à ce dernier. Après l’analyse du projet, et une éventuelle consultation publique, une telle étude émet des recommandations afin de « limiter, atténuer ou compenser les impacts négatifs du projet ». Environ 5 000 études de ce type seraient menées chaque année en France.
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La fin des « lourdeurs administratives » et « exigences inutiles », selon les lobbys
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La nouvelle directive européenne prévoit que de nouveaux facteurs environnementaux tels que la biodiversité et le changement climatique soient pris en compte dans les études. Fruit d’un compromis avec le Conseil européen, où siègent les représentants des États membres, la nouvelle directive a été approuvée par le Parlement européen (avec 528 voix pour, 135 contre et 15 abstentions). Ses promoteurs avancent qu’elle permettra « de rendre les méthodes d’évaluation plus claires, de faciliter la participation du public, d’inclure des règles plus strictes pour lutter contre les conflits d’intérêt, et de limiter les recours aux dérogations ». Par exemple, la nouvelle directive prévoit que les États membres de l’UE devront assurer une « séparation fonctionnelle » entre l’autorité compétente pour mener l’étude et le promoteur du projet. Ce qui semble bien être un minimum !
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En revanche, le texte voté exempte les activités d’exploration et d’extraction des hydrocarbures de schiste de l’obligation d’une étude d’impact environnemental. Le Parti Populaire européen (PPE) – la droite européenne – a salué un texte qui « permet de réduire les lourdeurs administratives pour les porteurs de projets ». De son côté, l’Association internationale des producteurs de gaz et de pétrole (OGP) s’est réjoui d’une décision qui n’impose pas « des exigences inutiles » et permet « l’évaluation des ressources énergétiques nationales ». Insistant lourdement sur l’intérêt d’explorer les potentielles réserves européenne de gaz de schiste en Europe, le lobby pétrolier et gazier considère que la décision du Parlement est « un pas en avant pour rendre l’Europe plus compétitive ».
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De l’amiante pour fracturer la roche...
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En première lecture, le Parlement européen avait pourtant introduit les activités d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures de schiste dans la liste des activités obligatoirement soumises à une étude d’impact environnemental, comme l’avait réclamé la société civile. En janvier dernier, craignant que les États membres refusent cette proposition, plusieurs centaines d’organisations de la société civile ont appelé les institutions européennes à « un sursaut de sagesse » (voir notre article). Finalement, la Pologne et le Royaume-Uni, plus soucieux de faciliter les projets pétroliers et gaziers sur leur territoire que de satisfaire aux demandes de la société civile et des nombreuses régions et communes désireuses d’interdire ou encadrer l’usage de la fracturation hydraulique, auront eu gain de cause.
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Ce ne sont pourtant pas les preuves qui manquent pour décrire les graves conséquences environnementales de l’usage de la fracturation hydraulique, y compris dans l’étape exploratoire, avant même la phase d’exploitation. Ainsi, une récente étude de l’Office américain de géologie démontre que l’usage de la fracturation hydraulique peut générer des tremblements de terre pouvant atteindre 5,7 sur l’échelle de Richter. Au même moment, la production de gaz issu de la fracturation hydraulique vient d’être stoppée dans le Queensland en Australie où une entreprise ajoutait de l’amiante pour fracturer la roche. Toujours insuffisant pour déclencher une étude d’impact environnemental préalable ?
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jeudi 20 mars 2014

Bonheur/malheur II

Imaginez un oiseau survolant la Terre et qui est comme un poisson dans le vaste océan où il peut monter comme descendre et aller à droite ou à gauche comme à l'avant ou en arrière en se retournant, sa définition de l'espace qui l'entoure est donc qu'il est libre d'y aller n'importe quand, n'importe où et sans l'autorisation de personne. Or, l'humain - saisissant l'oiseau comme le poisson - l'enferme dans un réduit appelé 'bocal' ou 'cage' pour ne pas le perdre de vue !!
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Cela correspond donc à la situation dont il se voit d'être enfermé comme un con mais... mais de pouvoir encore bouger ses bras et ses jambes !! "J'suis beau, non ?"
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C'est autrement le fait constaté que des personnes parlent/avouent leurs malheurs/mésaventures (de s'être fait enculer ?) comme pour partager leurs problèmes avec d'autres. Le terme de 'partager' n'étant pas là pour étendre la confiture afin qu'il y en ait moins mais de vouloir réellement foutre les autres dans la même merde que l'on a connu afin qu'ils comprennent le ce que c'est que d'y être dedans !! Et, 'comble' de l'explication... il arrive même que le locuteur en question en rajoute... pour faire plus vrai ! (Hahaha !).
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Donc, la liberté est encore un terme qu'il ne faut pas employer exagérément envers quiconque car, des personnes peuvent en être dépassées/surpassées/aplaties-ras-plat-plat voire terrassées par de telles informations crachées tout cru en pleine gueule et, qu'il serait peut-être mieux (d'après ses avocats) de lui avoir administré par voie rectale comme elle avait pris l'habitude de recevoir et éprouvant même quelques jouissances à se faire encore entretenir par du gros matériel de chantier en attendant d'être envahie par les petites bêtes !
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Donc, alors qu'il n'y aurait qu'un malheur sur Terre perdu dans un coin où l'on ne va jamais, le voilà qui fait les titres de la 'une' et se répand sur la planète comme traînée de poudre afin d'être informé qu'il n'y a pas que le bonheur sur la planète ! Putain de sa race ! et que l'on doit descendre de son piédestal (où l'on s'assied élégamment tous les jours sur sa cuvette) se torcher le cul vite-fait sans regarder derrière et tirer la chasse et partir en courant comme si de l'avoir fait incombait en terme juridique à un meurtre du fait de rendre cette planète dans un état où l'on ne l'aurait pas découverte en entrant !!
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Ainsi, après "Quel bonheur de bouffer et de s'en foutre plein la panse" voici donc venir (non-pas "Quel bonheur de bouffer et de s'en foutre plein la panse II") mais: "Quel malheur de devoir en chier et d'en faire participer les autres !"
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Donc, si le bonheur se partage ("Encore un peu de merde ?") le malheur (des autres) serait tout sucré au point d'en redemander en textes et photos plus films tournés avec l'aide d'historiens sur les lieux d'époque et qu'il est quand même plus captivant/émotionnellement parlant de voir une tête tomber et rouler en tout sens jusqu'aux bas de la rue qu'un lâcher de ballon par un attardé mental qui a perdu le fil ou de celui qui crache en l'air pour voir si ça retombe !
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Ainsi l'humain vogue t-il entre ce fort esprit de liberté de se foutre tout seul dans la merde en demandant à d'autre le comment çà marche, et, cette excitation sublime que le bonheur véritable serait de voir les autres malheureux !
 

Voir:

mercredi 19 mars 2014

"Secret" Exporter Boom de l'Amérique

par Matt Insley
18 mars 2014
 
Un boom de schiste d'America fait rage - et nous avons les exportations pour le prouver.
Cependant, de l'extérieur regardant dans - avec l'approbation du pipeline Keystone dans les limbes, les exportations lents à venir en ligne de gaz naturel et un embargo américain sur les exportations de pétrole brut premières - Vous pensez que les États-Unis n'exporte pas beaucoup de la manière de l'énergie ces jours.
 
Mais si vous pensez que les Etats-Unis scène à l'exportation de l'énergie est en attente d'une approbation du gouvernement, vous avez mieux un oeil à ce tableau ...
 
- voir graphique sur site -
 
Depuis 2007, les exportations d'énergie des États-Unis (ci-dessus) sont en plein essor !
 
Les États-Unis exporte l'équivalent de près de 4,5 millions de barils par jour. À une estimation basse-ball que ces produits raffinés commande 50 $ le baril, qui représente plus de 82 milliards de dollars d'exportations par an.
 
Mais ce n'est que la moitié de l'histoire !
 
Depuis Janvier 2007, les États-Unis des importations de pétrole brut et de produits pétroliers sont en baisse de 4,2 millions de barils par jour.
 
Additionnez le tout et au cours des sept dernières années, les États-Unis est en hausse de près de 8 millions de barils par jour, net. C'est un énorme retournement - de l'ordre de 146 milliards de dollars par jour ! Parler d'un plan de relance de schiste !
 
C'est boom des exportations secrète de l'Amérique. Et tandis que les têtes pensantes et les opposants continuent de ridiculiser les perspectives de l'Amérique, un boom comme cela va ajouter de la vapeur à la reprise économique et créer encore plus de possibilités pour les noms de l'énergie dans notre portefeuille.
 
Le mois dernier, dans notre newsletter de ressources, encours de placements, j'ai écrit la section «5 Hot Buys". Là, j'ai discuté de la difficulté de prévoir l'avenir. "Nous pouvons connecter les points, le plan et les prévisions," j'ai écrit. Mais «on ne sait pas ce que l'économie va faire," j'ai conclu.
 
Bien sûr, le mois dernier, il y avait beaucoup de points à relier autour de l'Ukraine - un pays dans la tourmente, avec des émeutes dans les rues. Peu envisagé le gouvernement de l'Ukraine va tout simplement s'effondrer. Et quiconque ne prévoit président pathétique du pays il haut-tailing de son luxueux palais à l'exil en Russie ? C'est bizarre et tragique.
 
Maintenant l'Ukraine est sous une nouvelle direction, après une mode. De plus, pour tout ce que nous savons, l'Ukraine est le fractionnement le long de lignes ethniques - ukrainienne contre origine russe, avec les forces militaires de la Fédération de Russie à proximité, se préparant à bondir. En effet, il me rappelle un vieux dicton russe, "les Russes prennent leur temps pour monter en selle, mais ils roulent vite."
 
Pourquoi mettre en place l'Ukraine et la Russie dans un article sur les ressources - en particulier le pétrole ? Parce que nous avons une crise géopolitique à part entière sur les bras, et qui vous touche en tant qu'investisseur de ressources.
 
En termes de lignes de front et des bottes sur le terrain, la gamme est lointain Russie par rapport lointain Ukraine. Mais l'Union européenne (UE) et des États-Unis sont profondément engagés ainsi, l'engagement politique et la crédibilité stratégique. Maintenant, après des années de paix et de stabilité relative en Europe, nous avons une nouvelle version de l'ancienne confrontation de la guerre froide. Dans l'ensemble, ce n'est pas bon pour la croissance économique, le commerce de plus en plus et / ou l'amélioration de l'investissement.
 
À l'avenir, comment la confrontation en Ukraine peut se résoudre ? Peut-être les têtes saines vont s'asseoir et travailler à un accord. Je l'espère. Là encore, l'Ukraine pourrait s'effondrer, dans tous les sens du mot. Le "Anschluss" russe de Crimée, d'utiliser un célèbre vieux terme allemand, est tout sauf finalisée. Et peut-être que nous allons voir pire, l'Ukraine pourrait briser le long des lignes de, disons, la Yougoslavie dans les années 1990. Pire encore, on peut se demander si l'Ukraine est le prochain Syrie.
 
Encore une fois, qu'est-ce que cela a à voir avec les achats «à chaud» de ressources ? Eh bien, d'abord, ne vous attendez pas les banques centrales en Europe ou aux États-Unis de resserrer les robinets de l'argent. Les taux d'intérêt vont probablement rester faible, et monétaire "assouplissement" va se poursuivre. Autrement dit, il est assez mauvais que les dirigeants occidentaux doivent comprendre la façon de traiter avec la Russie et ses ambitions vers l'Ukraine. Il n'y a pas de sens pour les banques centrales d'ajouter un ralentissement économique au mélange de questions.
 
Je l'ai dit maintes et maintes fois ... mais il faut posséder des métaux précieux physiques.
 
Pendant ce temps, les gouvernements de l'UE et les États-Unis doivent mordre la balle (façon de parler) et renforcer les budgets de défense. Personne ne peut changer le passé à l'égard de l'Ukraine. Et l'avenir de l'Ukraine se dérouler à sa manière, quel qu'il soit. Mais l'avenir, attendent des gouvernements occidentaux à revoir les priorités de dépenses pour les nouveaux avions, sous-marins et beaucoup plus. Ça va être coûteux.
 
Mon point est que l'investissement en temps d'incertitude politique comme cela, parie sur l'inflation. Pour tous les problèmes, il y a menace de soutien pour les métaux précieux et les biens durables fortes comme les jeux d'énergie.
 
Je l'ai dit à plusieurs reprises ici dans La Chronique Agora et d'autres forums, mais vous devez posséder des métaux précieux physiques. Si vous ne possédez pas de métal précieux, ou si vous ne possédez pas beaucoup (par exemple, 5-10% de votre portefeuille), puis utilisez l'environnement actuel des prix à acheter de l'or et de l'argent. Acheter métal réel et en prendre livraison !
 
Or et d'argent prix se sont raffermis dans la première partie de 2014, après avoir été dans les décharges pendant environ 18 mois. Avec le recul, les prix des métaux précieux ont dépassé en 2011 et 2012, puis a commencé la dérive. Il peut encore être un inconvénient pour les prix des métaux précieux à partir de là aussi, mais je ne pas envisager un accident ou prix rester pour longtemps.
 
Quand il s'agit de la confrontation Russie-Ukraine et la façon dont il aura un impact sur l'Union européenne et des États-Unis, nous sommes encore dans les premières manches. Cela glisser au fil du temps. Il ya beaucoup d'incertitude pour tout le monde sur tous les côtés. Beaucoup de roues doivent encore tourner. On ne sait jamais ce que les titres de la matinée porteront.
 
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Cordialement,
 
Matt Insley
pour La Chronique Agora
http://dailyreckoning.com/americas-secret-export-boom/